Blagues sur George W. Bush
C'est une enseignante dans une petite ville du Texas. Elle demande à ses élèves combien d'entre eux sont fans de G. Bush.
Ne sachant pas vraiment ce qu'est un fаn de G. Bush, mais voulant être interrogé par le professeur, tous les élèves lèvent la main, sauf le petit Johnny.
L'enseignant demande à Johnny :
- Mais pourquoi ne lèves-tu pas le bras, comme tous tes petits camarades ?
Johnny répond :
- Je ne suis pas un fаn de G. Bush.
- Mais pourquoi ?
- Parce que je suis fаn de Al Gore, répond le petit garçon.
L'enseignante lui demande des explications.
- Ben ma maman est une fаn de Al Gore, mon papa est un fаn de Al Gore, donc je suis fаn de Al Gore.
L'enseignante est un peu énervée, parce qu'elle est dans l'état du Texas.
- Et, si ta mère était stupide et ton père un idiот, qu'est-ce que tu serais ?
Demande la prof
Johnny répond :
- Ben cela me rendrais fаn de G. Bush.
Une dame vient d'acheter la toute nouvelle Cadillac.
La voiture, un modèle "toutes options", lui a coûté un bon paquet de dollars.
Deux jours plus таrd, elle ramène sa limousine chez le concessionnaire, se plaignant que la radio ne fonctionne pas.
"Madame", lui dit le vendeur, "le système audio de cette voiture est complètement automatique. Tout ce que vous devez faire est d'exprimer à haute et intelligible voix quels sont vos goûts musicaux."
La dame regarde le vendeur, stupéfaite et incrédule. Elle s'adresse à la radio et énonce distinctement "Elvis Presley" : La radio se met alors automatiquement en marche et commence à diffuser "Jailhouse rock".
Sans attendre la fin du morceau, elle prononce "Ludwig von Beethoven, la 5ème symphonie" et aussitôt les premières mesures du chef-d'œuvre retentissent ! Conquise par ce miracle de la technologie, la dame remonte en voiture et rentre chez elle.
En sortant de la ville, elle doit s'arrêter à un croisement.
Soudain, alors qu'elle redémarre car son feu vient de passer au vert, elle est obligée de piler net en plein carrefour pour éviter un gars qui vient visiblement de griller le feu.
Sur le coup de la colère, elle hurle "ESPÈCE DE СОNNАRD !"
Et, aussitôt à la radio on entend :
"Mesdames et messieurs, vous allez à présent entendre une allocution du Président des Etats-Unis d'Amérique, George Walker Bush.
Un journaliste de renom, catholique fervent, vient de mourir et se présente devant St-Pierre.
Il remarque, installées derrière le maître des lieux, une douzaine d'horloges sous lesquelles figurent les noms de plusieurs personnalités et hommes politiques :
« Jacques Chirac », « Jean Paul II »...
Curieux de nature, il n'hésite pas à demander :
«À quoi servent toutes ces horloges, Grand sаinт-Pierre ?»
Saint-Pierre explique aimablement :
"- Ce sont les horloges de vie de tous les hommes importants de ce monde. À chaque fois que l'un d'entre eux dit une connerie, elle avance d'une heure".
Le visiteur remarque :
"Le Pape, Vladimir Putine, Jacques Chirac, Tony Blair, Tony Blair, Yasser Arafat, Ariel Sharon... et même Bill Gates ! Mais où est celle de Georges W. Bush, c'est pourtant l'une des personnes les plus importantes sur terre... "
Saint-Pierre, un peu confus, explique :
"Oui, ne le répétez pas mais je l'ai installée sur mon bureau. Elle me sert de ventilateur ! "
Le Président Macron fait le tour des écoles primaires afin de rencontrer les futurs électeurs du pays.
Il entre dans une classe et arrive au moment où l'institutrice est en train d'expliquer aux enfants le sens du mot tragédie.
L'institutrice se tourne alors vers le Président et lui propose de diriger la discussion. Ainsi "l'illustre" président demande aux jeunes élèves de lui trouver un exemple illustrant le sens du terme qu'ils viennent d'apprendre.
Un petit garçon se lève et dit :
" Si mon meilleur ami qui vit à côté de chez moi joue tranquillement dans la rue et qu'une voiture le renverse, ce sera une tragédie. "
Macron secoue tristement la tête :
" Non, mon petit... Ce serait un accident ! "
Un léger silence s'installe dans la classe. Le président insiste
" Qui veut proposer autre chose ? "
Une petite fille se lève alors à son tour :
" Un bus scolaire transportant 50 élèves tombe dans le ravin, et tout le monde meurt dans la chute. Ça, c'est une tragédie ! "
Macron secoue la tête à nouveau :
" Non, petite, il s'agit là d'une grosse perte pour le monde... "
Cette fois, c'est un lourd silence qui tombe sur le groupe. Macron s'impatiente légèrement :
" Allons, les enfants ! Il n'y a personne pour me donner un exemple sérieux de tragédie ? "
Alors, le petit Thomas du fin fond de la classe se lève :
" Si le jet privé alors qu'il transporte M. et Mme Macron, est frappé par un missile et est pulvérisé en plein ciel, ça c'est une tragédie ! "
" Fantastique ! " s'écrie le Président, le visage illuminé
" Voilà une superbe illustration du mot tragédie ! Et peux-tu expliquer à tes petits camarades la raison pour laquelle ce serait une tragédie ?"
" Parce que ça ne serait ni un accident ni une grosse perte pour le monde... ! "
Un avion est sur le point de se crasher. Il y a 5 personnes a bord et seulement 4 parachutes.
Le premier passager dit :
" Je suis Kobe Bryant, le meilleur joueur de la NBA. Les LA Lakers ont besoin de moi. Je ne peux pas mourir " . Il prend un parachute et saute.
Le second passager, Hillary Clinton dit:
" Je suis la femme de l'ex président des USA. Je suis aussi la femme la plus ambitieuse sur terre et je suis sénateur de New York et une présidente otentielle des USA... ".
Elle prend le second parachute et saute.
Le troisième passager, George W. Bush dit:
" Je suis le président des USA. J'ai de grandes responsabilités. Je suis le leader du monde libre et de la plus grande nation mondiale. Et plus encore, je suis le président le plus intelligent de l'Histoire Américaine, donc les Américains ne veulent pas me voir mourir". Il endosse le troisième parachute et saute.
Le quatrième passager, le Pape, dit au cinquième passager, un petit écolier de 10 ans:
" Je suis vieux et malade et il ne me reste pas beaucoup de temps sur terre de toute façon. En tant que catholique, je te donne le dernier parachute... "
Le gamin répond :
" Non, c'est bon, il reste un parachute pour vous. Le président le plus intelligent de l'Histoire Américaine a pris mon cartable...