Hubert et Marie passent leur première nuit de noces
Marie se déshabille, s’couche, Hubert ar’tire l’patalon, l’pose sur le rebord du lit, r’tire sa k’mise met sa k’mise de nuit pi y s’couche.
Il s’endort aussitôt.
La Marie s’dit :
- « la mé m’avions point dit kchétait comme cha la nit d’noces. ».
Elle secoue Hubert :
Marie :
- « Hubert, Hubert ! »
Hubert :
- « m’ouai »
Marie :
- « ai frais du côté drait »
Hubert s’lève, fait l’tour du lit et s’couche à draite de Marie pis y s’endort.
Marie est inquiète et 5 min plus таrd :
Marie :
- « Hubert »
Hubert :
- « mhum »
Marie :
- « ai frais du côté gauche »
Hubert s’lève, fait l’tour du lit et s’couche à gauche de Marie pis y s’endort.
Marie est de plus en plus inquiète :
Marie : (d’une voix ferme) « ai frais du côté drait »
Hubert :
- « Marie, j’veux ben enco’ fair’ un effort, mais est l’dernier »
Hubert s’lève, fait l’tour du lit et s’couche à draite de Marie pis y s’endort.
Marie, 10 minutes plus таrd :
- « Hubert, Hubert, ai frais du côté gauche ! »
Hubert :
- « Non, Marie, j’t’ai dit qu’c’était la dernière fois ! »
Marie :
- « T’as pas besoin d’te l’ver, t’as qu’à passer pa’d’sus mé. »
Hubert :
- « Ah bah cha, est pas bête, y’avait point pensé. »
Hubert entreprend de passer par dessus Marie, et lorsqu’il est sur elle, elle le coince entre ses cuisses et lui dit :
Marie :
- « Hubert, comment qui fait l’taureau ? »
Hubert :
- « Meuh ! »