Le Président du Tribunal :
- Madame, voudriez-vous nous dire votre âge ?
La Gentille Vieille Dame :
- Bien sûr. J'ai 91 ans.
Le Président du Tribunal :
- Voulez-vous nous dire, sans vous contrarier, ce qui vous est arrivé?
La Gentille Vieille Dame :
- J'étais assise devant chez moi, sous la tonnelle. C'était un soir de printemps, il faisait bon.
Un jeune homme s'est approché furtivement, et il est venu s'asseoir auprès de moi.
Le Président du Tribunal :
- Le connaissiez-vous ?
La Gentille Vieille Dame :
- Non, mais je l'ai trouvé sympathique tout de suite.
Le Président du Tribunal :
- Qu'est-il arrivé ensuite ?
La Gentille Vieille Dame :
- Il a commencé à me caresser la cuisse.
Le Président du Tribunal :
- Et vous ne l'avez pas interrompu ?
La Gentille Vieille Dame :
- Non, Monsieur le Juge.
Le Président du Tribunal :
- Pourquoi donc ?
La Gentille Vieille Dame :
- Bien. c'était agréable. Personne ne m'avait fait ça depuis la mort de mon Grégoire, il y a trente ans de cela.
Le Président du Tribunal :
- Et ensuite ?
La Gentille Vieille Dame :
- Il a commencé à me caresser les seins.
Le Président du Tribunal :
- Vous lui avez dit d'arrêter ?
La Gentille Vieille Dame :
- Non, pas du tout.
Le Président du Tribunal :
- Pourquoi ça ?
La Gentille Vieille Dame :
- Bien, Monsieur le Juge. Ses caresses m'ont fait revivre. J'étais excitée. Je ne m'étais pas sentie aussi bien depuis des lustres!
Le Président du Tribunal :
- Et ensuite ?
La Gentille Vieille Dame :
- Bon, je me sentais tellement,sеxy que j'ai écarté … >> Cliquez pour lire la suite