Georges Feydeau, avec tout le sérieux qui le caractérisait, avait manifesté le désir qu’on l’enterre avec un téléphone dans son cercueil afin, disait-il, de pouvoir prévenir quelqu’un s’il se réveillait. Ayant eu vent du souhait de son talentueux confrère, Georges Courteline fit savoir qu’il désirait lui, être enterré avec une brosse à habit pour le moment où, bien sûr, il tomberait en poussière !
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