C'est un bègue qui est incapable de prononcer les mots commençant par un «B». Ce handicap le traumatise, surtout quand il est dans un bar avec ses chums, qu'ils commandent tous une bière et que lui se rabat sur une Limonade sous les moqueries et les jokes plates.
Le soir, devant son miroir, il s'entraîne donc de longues heures afin de prononcer le mot «bière».
Un beau jour, le miracle se produit et il réussit :
- Je voudrais une b..., une b..., une b... une BIÈRE !!!!.
Le lendemain, heureux d'y être arrivé, il rejoint ses amis au bar et les prévient qu'ils ne vont plus pouvoir se foutre de lui puisqu'il va leur montrer qu'il peut commander la même chose qu'eux!
Quand la serveuse arrive, il se concentre et passe le commande:
- Bbb..., Bonjour (ce mot là, il y arrive!) mad... mademoiselle, je... je... je voudrrr... je voudrrrr... je voudrais une b... une b...
Une b... une BIÈRE.
Apothéose, il est heureux et ses copains le félicitent.
La serveuse lui demande alors:
- Blonde ou Brune?
- Euuuuhhhhh, une B... une b... une b... une b..., SSSSSSSALOPE !!!!
Un maitresse veut inciter les enfants de sa classe à acheter la photo de classe, pour cela, elle leur dit:
- Quand vous serez plus grands, quand vous regarderez la photo et vous pourrez vous dire:
"Tiens, là c’est Justine, elle est médecin maintenant! Et là, c’est Anthony, il travaille dans l’électronique!"
Une petite voix se fait entendre au fond de la classe:
- Et là, c’est la maitresse, Mme Durand, maintenant elle est morte!
C’est un samedi après-midi en salle de permanence, le pion surveille les élèves en colle.
Au bout d’un moment, pour contenir son ennui, le surveillant fait le tour des élèves pour connaître le motif de leur punition.
- Ben moi, dit le premier, j’ai fumé aux chiottes.
- Effectivement c’est mérité.
- Moi, dit le suivant, j’ai pas rendu mes devoirs.
- Effectivement, c’est mérité.
- Moi, dit un autre, j’ai jeté du carton par la fenêtre.
Là le pion se dit intérieurement que la punition est bien sévère.
A ce moment, on entend taper à la porte. Le pion ouvre la porte et consterné il voit un élève allongé par terre avec du sang partout.
Affolé, il lui demande:
- Que s’est-il passé, quel est ton nom?
- Ducarton, M’sieu..
Le Président Macron fait le tour des écoles primaires afin de rencontrer les futurs électeurs du pays.
Il entre dans une classe et arrive au moment où l'institutrice est en train d'expliquer aux enfants le sens du mot tragédie.
L'institutrice se tourne alors vers le Président et lui propose de diriger la discussion. Ainsi "l'illustre" président demande aux jeunes élèves de lui trouver un exemple illustrant le sens du terme qu'ils viennent d'apprendre.
Un petit garçon se lève et dit :
" Si mon meilleur ami qui vit à côté de chez moi joue tranquillement dans la rue et qu'une voiture le renverse, ce sera une tragédie. "
Macron secoue tristement la tête :
" Non, mon petit... Ce serait un accident ! "
Un léger silence s'installe dans la classe. Le président insiste
" Qui veut proposer autre chose ? "
Une petite fille se lève alors à son tour :
" Un bus scolaire transportant 50 élèves tombe dans le ravin, et tout le monde meurt dans la chute. Ça, c'est une tragédie ! "
Macron secoue la tête à nouveau :
" Non, petite, il s'agit là d'une grosse perte pour le monde... "
Cette fois, c'est un lourd silence qui tombe sur le groupe. Macron s'impatiente légèrement :
" Allons, les enfants ! Il n'y a personne pour me donner un exemple sérieux de tragédie ? "
Alors, le petit Thomas du fin fond de la classe se lève :
" Si le jet privé alors qu'il transporte M. et Mme Macron, est frappé par un missile et est pulvérisé en plein ciel, ça c'est une tragédie ! "
" Fantastique ! " s'écrie le Président, le visage illuminé
" Voilà une superbe illustration du mot tragédie ! Et peux-tu expliquer à tes petits camarades la raison pour laquelle ce serait une tragédie ?"
" Parce que ça ne serait ni un accident ni une grosse perte pour le monde... ! "