Cela se passe dans le cabinet du docteur Freud.
- Docteur, je ne sais plus quoi faire, mon fils est odieux, sadique. Il passe son temps à donner des coups de pieds aux animaux, à faire tomber les personnes âgées, il arrache les ailes des papillons en rigolant, je ne sais plus quoi faire.
- Quel âge a-t-il ?
- Il a 4 ans.
- Alors ce n'est pas grave, Il se défoule maintenant et plus grand, il deviendra gentil et doux comme un mouton.
- Ah, vous m'avez tranquilisée, merci beaucoup docteur.
- De rien, au revoir madame Нiтlеr.
Cela se passe à un examem pour devenir policier, l'examinateur demande au candidat :
- Quel personnage a perdu la bataille à Waterloo ?
Pas de réponse.
- Je suis certain que vous savez la réponse, son nom commence par la lettre N
Pas de réponse.
- Ensuite, il y a la lettre A.
- Na, Na ..... Navaro ?
- Mais non NA .. NA... puis il y a une P.
- NAP, NAP ..... Napoléon ?
- Oui, c'est bien cela. Vous avez droit à votre képi.
- Quel était le nom du grand dictateur allemand en 1940 ?
Pas de réponse.
- Allons, réfléchissez, son nom commençait par HI.
- E. T. ?
- Non, il avait une moustache comme ça (et il met 2 doigts sous ses narines), ?
- Нiтlеr ?
- Bravo, vous avez droit à votre ceinturon.
- Qui a tué Jésus-Сhrisт ?
- Ça, je n'en ai aucune idée.
- Ecoutez, lui dit l'examinateur, rentrez chez vous, nous sommes vendredi, vous êtes fatigué, moi aussi, revenez lundi et de préférence avec la réponse.
Le candidat rentre chez lui, tout fier, avec son képi tout neuf et son beau ceinturon et sa femme lui demande comment s'est passé l'examen ?
- Très bien, dit-il, j'ai répondu à 2 questions, les doigts dans le nez et on m'a déjà donné ma première enquête.
23 juin 1940. Trois jours après l'instauration de l'occupation nazie, Нiтlеr vient à Paris et se rend dans une école primaire.
Là, il passe les classes en rеvuе et décide de s'arrêter devant Benoît, jeune garçon de CE1.
"Tu me plais bien, petit, dit Нiтlеr. Ce soir, tu dîneras avec moi !"
Le garçonnet devint immobile, comme glacé par l'annonce de sa mort. Lui qui vient de fêter ses 7 ans, le voilà aux portes de l'indicible.
Le soir venu, c'est l'heure du repas.
"Vient petit, approche toi et vient t'asseoir... à côté de moi." dit le führer cyniquement.
L'enfant s'exécute, tel un robot obéissant à une commande.
"Goûte cela, dit Нiтlеr. C'est un repas exceptionnel, préparé juste pour toi"
L'enfant s'exécute encore, complètement abasourdi par la situation.
"Alors, petit, tu es content d'être ici, dis moi ?" L'enfant hoche doucement la tête.
" Et ce repas te plaît, hein ? Excellente viande, n'est-ce pas ?"
Benoît est tellement traumatisé qu'il ne se rend pas compte qu'il hoche la tête en continu.
Puis Нiтlеr se met sournoisement à s'intéresser à lui :
"Tu as des frères et sœurs, petit ?"
Benoît acquiesce.
"Ah ! C'est bien ça, la famille, quand les petits marmots jouent tous ensemble, hein ?
Tu les aimes tes frères et sœurs, petit, hein ? Et tes parents, petit, tu les aimes aussi, dis moi ?"
Le garçonnet est au bord du gouffre. Il ne comprend rien à tout ça et commence à devenir fou. Il sent que tout son être va imploser. Malgré cela, il parvient à répondre à Нiтlеr.
- Oui, je les aime, monsieur.
" Ah ! Mais c'est formidable ça, petit ! Parce que si tu aimes tant tes parents, tes frères et tes sœurs, alors ne te gêne pas, reprends-en !"