Le FBI décide de sélectionner son agent le plus fidèle pour une mission de confiance.
Après toute une série de sélections, d'entretiens et d'essais, il ne reste que trois candidats. Pour le choix final, les agents mettent les hommes devant une grande portemétallique et leur remettent un pistolet.
- Nous devons être surs que vous suivrez nos instructions, et ce quelles que soient les circonstances. Derrière cette porte, vous trouverez votre femme assise sur une chaise,et vous devrez la tuer.
Le premier dit:
- Vous n'êtes pas sérieux ? Je ne pourrai jamais tuer ma femme.
- Alors, vous n'êtes pas l'homme fait pour ce travail.
On donne au deuxième homme les mêmes instructions. Il prend l'arme et entre dans la salle. Tout est calme pendant environ cinq minutes, puis l'homme revient, les larmes aux yeux:
- J'ai essayé, mais je ne peux pas tuer ma femme.
- Vous non plus, vous n'êtes pas fait pour le job. Emmenez votre femme et rentrez chez vous.
Enfin c'est le tour du troisième. On lui donne encore une fois les mêmes consignes, en lui indiquant qu'il doit tuer sa femme. Il prend le pistolet et entre dans la salle. On entend des tirs, un coup puis un autre. Puis on entend des cris, des coups contre les murs, des meubles qui se brisent. Apres quelques minutes, tout redevient calme.
La porte s'ouvre lentement et l'homme sort. Il s'essuie la sueur du front et dit:
- Vous auriez pu me dire que le pistolet était chargé à blanc ! J'ai dû la finir avec la chaise.

Il était une fois un jeune homme qui, au cours d'une soirée, tomba instantanément amoureux de trois jeunes filles.
Par respect pour ces demoiselles, il mit en place une procédure de sélection : Il confia (fort intelligemment) à chacune d'entre elles, une somme de 2000 euros qu'elles pouvaient employer à loisir durant tout un mois.
A l'issue de ce mois il fut convenu qu'il choisirait celle, qui à son avis, avait le mieux utilisé cet argent.
Un mois plus таrd il demanda donc aux trois jeunes filles de rendre compte de leurs dépenses (certains réflexes masculins ne peuvent pas être corrigés).
La première (qu'il trouva changée) lui expliqua qu'elle avait consacré la somme à des séances d'esthéticienne, de manucure, pédicure, et à un abonnement en salle de gym... car de son point de vue il était absolument essentiel pour une femme d'être toujours belle pour l'homme qu'elle aimait.
Notre jeune homme partit troublé et séduit, rendre visite à... la deuxième qui lui exposa ses dépenses : des dizaines de packs de bière, un abonnement à canal-satellite, et un canapé très confortable. Elle estimait pour sa part qu'une femme devait tout faire pour contribuer au repos et à la détente de l'homme qu'elle aimait. Il la quitta touché et perplexe...
La troisième, quant à elle, lui annonça d'emblée qu'elle n'avait pas dépensé l'argent. Mais qu'elle l'avait fait fructifier, les 2000 euros étaient devenus 3000. Elle lui expliqua qu'elle souhaitait construire sa vie avec lui et qu'il était préférable qu'ils aient de l'argent de coté.
Bien évidemment, la flèche atteint sa cible et notre jeune homme se trouva très embarrassé : les jeunes femmes avaient toutes les trois touché une corde sensible.
Pour conclure, son embarras dura peu, il choisit fort logiquement celle qui avait les plus gros nichons.