Un hомо est pris en stop par un routier. L'hомо se met a draguer le routier, lequel se dit qu'après tout ... pourquoi pas .
Il arrête le camion et ils s'installent tous les deux sur la couchette à l'arrière.
Le gаy se déshabille, et se met de l'huile partout sur le corps.
Le routier médusé demande :
- Qu'est-ce que tu fais ?
- Oh oui moi je mets toujours de l'huile comme ça, tu vas voir c'est très excitant !!!
Sur ce, le routier, imperturbable, prend sa gourmette et se l'enroule autour du sexe.
Le gаy, médusé, demande a son tour :
- Qu'est-ce que tu fais ?
- Chez nous les routiers, quand ça glisse, on met les chaînes...
C'est l'histoire d'un Polonais qui a demandé l'asile politique en France, à une époque où la Pologne était aussi penchée vers la démocratie que mon percepteur vers le mécénat. Comme il est plutôt connu, une foule de journalistes l'attendent en bas de l'avion :
- Alors ? Monsieur Daissentaski, que pouvez-vous nous dire des droits de l'homme en Pologne ?
- Lai droa de l'homme ? Of, on ne peut pas se plaindre.
- Ah ? Bon. Et la dureté de la vie quotidienne ? Dites-nous quelques mots sur la dureté de la vie quotidienne.
- La vy cotidiane. Baf, non, on ne peut pas se plaindre.
- !! Mais alors, parlez nous de la répression politique !
- La raipraition politisky ? Non, la non plus, on ne peut pas se plaindre.
- Ben alors, pourquoi avoir demander l'asile politique ?
- ... Ben, justement, c'est qu'en France on peut se plaindre !
Un Corse désespère :
- Enfin, Didier, dit-il a son fils, je sais bien que ton arrière grand père est un fainéant, que ton grand père est un fainéant, que ton grand oncle soit fainéant? je suis moi même fainéant comme mon frère. Je comprend donc que toi aussi tu sois fainéant, mais il n'y a plus de limites ! A trente ans, tu devrais fonder un foyer. Imagine que tu aies des enfants. ils pourront peut-être travailler pour toi et te nourrir quand tu sera vieux.
- C'est une воnnе idée ça, papa, que je me marie. Mais, par hasard, tu connaîtrais pas une femme enceinte ?
Dans un bus rempli de petits vieux, une mamie tapote l'épaule du chauffeur et lui tend une воnnе poignée de cacahuètes.
Le chauffeur, un peu étonné, la remercie et avale d'un trait les arachides.
Cinq minutes plus таrd, la mamie remet ça. Le chauffeur la remercie à nouveau et gobe les cacahuètes.
Cinq minutes plus таrd, le même cirque recommence.
Au bout de dix poignées, le chauffeur commence à en avoir marre et demande à la vieille :
- Dites donc, Mamie, c'est bien gentil de me gaver de cacahuètes, mais vos quarante collègues, ils n'en veulent pas un peu ?
- Oh non! Voyez-vous, avec nos dents, on ne peut pas les mâcher. Y'a que le chocolat autour qu'on aime.