Un beau jour, dans un train, Chirac, Sarkozy et une belle norvégienne voyagent dans le même compartiment.
Ils roulent ainsi, sans se parler, sans que rien ne se passe pendant des heures.
Soudain, un tunnel vient de plonger le train dans l'obscurité la plus totale.
On entend alors un bruit de bisou, immédiatement suivi, d'un monumental bruit de baffe.
Quand le tunnel se termine et que la lumière revient, Chirac et la norvégienne sont assis comme si de rien n'était... Sarkozy lui, qui vient de se manger une baffe, se tient la tête à 2 mains, visiblement sonné !
Il se dit : Chirac a dû embrasser la norvégienne, elle a cru que c'était moi et m'a collé un pain ?!
La norvégienne pense : Sarkozy a dû vouloir m'embrasser, a loupé son coup et a embrassé Chirac qui n'a pas apprécié !
Et Chirac se dit : Au prochain tunnel, je refait le bruit du bisou, et j'en colle une autre à Sarko !
C’est l’histoire d’un catcheur russe, qui est super fort parce qu’il a une prise spéciale, qui s’appelle la prise du Bretzel, il t’attrape, te bloque, te tord dans tous les sens, tu te retrouves la tête en bas, tout tordu, tu sais plus où t’es et hop, t’as perdu le combat.
Un catcheur américain doit rencontrer ce terrible catcheur russe, alors son coach le met en garde:
- Fais gaffe, petit, méfie-toi de la prise du Bretzel!
Si jamais tu te fais prendre et qu’il arrive à te faire la prise du Bretzel, c’est perdu: personne ne s’est jamais sorti de la terrible prise du Bretzel!
Le jour du combat arrive et, dès le premier round, Paf!
Le russe commence à faire la prise du Bretzel à l’américain!
Le coach, croyant le combat perdu, se prend le visage dans les mains, mais quand il relève la tête, il voit le russe planer dans les airs, retomber lourdement sur le ring et l’américain, extenué, parvient à ramper jusque sur le corps du russe, gagnant ainsi le combat.
Plus таrd, dans les vestiaires, le coach demande à l’américain:
- Mais comment t’as fait pour te sortir de la terrible prise du Bretzel?
Alors le catcheur lui explique:
- Ben voilà: d’entrée, il m’a fait la prise du Bretzel, j’ai rien compris, il a commencé à me faire des nœuds de partout, j’avais de plus en plus mal, j’étais la tête en bas, sur le point de m’évanouir… Quand soudain, devant moi, j’ai vu une paire de couilles. Je me suis dit que mordre dedans lui ferait lâcher prise, alors j’ai rassemblé mes dernières forces et…
Ben c’est dingue l’énergie qu’on peut avoir quand on mord ses propres couilles!