Blague sur les juifs, Humour Juif
MOURICE BEN FENECH se présente, pour un emploi, de vendeur dans un Super Bazar où l'on vend de tout.
Le patron lui demande s'il a de l'expérience.
- Si j'ai de l'expérience ?
- Dans la vente ?
- Aaiaiaiaiaille, ti me dimande ça à moi, Mourice Ben F'nech ? J'suis le Roi de la vente, moi ! Mon cousin il avait une boutique, j'ai tout vendu. Maintenant il est parti au souleil, tellement j'l'ai rendu riche... sir la tête de ma mère, y'a pas meilleur vendeur que moi. "
Le Patron, amusé par la situation décide d'essayer le jeune homme pour la journée.
Le soir, il revient pour voir ce qu'il a bien pu vendre.
- Alors, combien de ventes as-tu fait aujourd'hui ?
- Une seule, sur ma tête Patron , il est v'nu qu'un client !
- Ce n'est pas très brillant ça, et une vente de combien ?
- Seulement 100.000 Euros, patron.
- Quoi ? 100.000 ? Tout rond ? Mais... Comment ça ?
Et Mourice, il raconte :
- Y a un type qu'est v'ni et j'li ai vendu un hameçon. Pis, j'li propose la petite canne à pêche au lancer et une série de mouches.
Et comme j'li dit qu'il peut pas pêcher sans être bien équipé, j'li vends aussi la grande canne avec la ligne et les bouchons et un moulinet. Sir la tête de ma mère, t'en as jamais vi un comme ca, que j'li dis... Ti peux r'monter MobyDick avec ça ! Après, pour pas qu'il ait honte devant les autres pêcheurs, j'li ai vendu l'équipement, les bottes, le ciré et le bob. Parce qu'avec sa canne toute neuve, s'il a pas l'équipement, y va passer pour un plouc, hein chef ? Et les clients de Ben F'nech, ils peuvent avoir l'air соn mais pas l'air plouc. Pis, j'li demande où il va aller pêcher. I'mm dit " sur la côte. Alors, j'li dis qu'il ferait bien d'acheter un bateau pour pêcher au large, et j'li vends le hors-bord de 12 mètres avec les deux moteurs. Et j'li demande comment y va emmener son bateau sur la côte. Y savait pas. Alors, j'li ai vendu la nouvelle Mercedes et une remorque pour tracter le bateau. Et pis on a fait les comptes. Ca faisait 101.124 Euros.
Alors j'li dis :
- Comme t'es un bon client, j'ti fais un prix: 100.000 tout rond, mai ti paies cash.
Il a dit " j'passe à la banque et j'arrive " . Et 1/2 heure après, il est rev'nu avec l'argent et il a tout pris, patron. Les sous sont là dans la caisse !
Le Patron est scié, complètement ahuri, assis par terre. Il n'en croit pas ses oreilles, il regarde l'argent dans la caisse et dit :
- T'as vendu une Mercedes et le hors bord à un gars qui venait pour acheter un hameçon ?
- Heu... Bin non, pas vraiment, patron. L'client, y vnait pour ach'ter une boîte de TAMPAX pour sa femme, alors j'li ai dit :
- Puisque ton week-end il est foutu, pourquoi t'irais pas à la pêche ?
Un riche banquier juif va marier son fils.
La veille des noces, il prend le jeune homme à part pour une conversation
En tête à tête.
- Simon, mon fils, je réalise que je ne t'ai jamais parlé de la vie, etc. Dès demain, tu seras avec ta femme, il faut quand même que tu saches certaines choses... Tiens, tu connais les doigts de la main ?
- Mais bien sur, papa ! Il y a le pouce, l'index, le majeur ...
- NON ! NON ! L'interrompt le banquier. Ce n'est pas ça ! Il y a le doigt du voyage, le doigt de la direction, le doigt de la jouissance, le doigt du mariage et enfin, celui de la distinction.
- Ah bon ?
- Je t'explique, Simon : Le doigt du voyage c'est : le POUCE, parce qu'il te permet de faire de l'auto-stop.
- D'accord papa.
- Le doigt de la direction c'est : l’INDEX parce que c'est celui que tu tends quand tu veux montrer quelque chose.
- Ok.
- Le doigt du mariage c'est : l’ANNULAIRE parce que c'est là que tu vas passer ton alliance.
- Oui papa.
- Le doigt de la distinction c'est : l’AURICULAIRE parce qu'il faut le lever, quand on boit une tasse de thé.
- Compris, papa ! Mais papa, tu as OUBLIÉ le doigt de la JOUISSANCE !
- Je gardais le MEILLEUR pour la fin, Simon.
- Le doigt de la jouissance c'est : le MAJEUR. C'est le plus BEAU et aussi le plus LONG ! Pour la JOUISSANCE Simon, Tu MOUILLES ce doigt dans ta BOUCHE et... Tu comptes tes billets !
Tout le monde connait la blague de Maurice qui voulait gagner au loto et demandait à Dieu de l’aider. Dieu lui dit "Je veux bien t’aider, mais joue!".
Voilà la suite de l’histoire:
Alors Maurice joue et gagne la super cagnotte. Le voilà multi-milliardaire. Il s’adresse de nouveau à Dieu et se plaint de son physique car il n’a pas de succès auprès des femmes.
Alors Dieu lui dit "Tu fais chier Maurice, t’es pété de tunes, t’as qu’à te payer un coach et suer un peu ta graisse..." Alors Maurice prend un coach pendant un an, et se met le compte en footing, pompes, abdos-fessiers, musculation, régime diététique, yoga, massage... Au bout d’un an, il ressort avec un corps de rêve, tablettes de chocolat, bâti comme un Apollon...
Mais ça ne lui suffit pas. Il se plaint encore à Dieu "Regarde Dieu ! J’ai une sale gueule, j’arrive pas à emballer des nanas...". Dieu lui répond "Maurice, tu peux tout faire avec ton pognon. Fais toi refaire les dents, le visage, fait toi des implants, tu peux rajeunir de 20 ans !"
Maurice va voir le meilleur chirurgien de la planète, et passe des heures sur le billards. Après des mois de souffrance, il ressort de l’hôpital plus beau que jamais. Un top modèle que tout le monde admire. Sur son passage les femmes se retournent et se prennent à rêver...
D’ailleurs, juste en sortant de l’hôpital, il en voit une magnifique, une bombe! Leurs regards se croisent intensément, tellement longtemps qu’en traversant la route Maurice ne voit pas le bus qui arrive, l’écrase et le tue !
Arrivé au Paradis, il est fou de rage et s’adresse à Dieu "Enfin Dieu, qu’est-ce que c’est ce bordel ? Vous m’avez aidé pour gagner au loto, j’ai ai chié pour avoir un corps de rêve en faisant du sport comme jamais, je suis passé sur le billard pour changer de look, je commence à pouvoir emballer des gonzesses et à peine je sors de l’hosto vous me rappelez à vous, je ne comprends pas !"
Et Dieu lui répond:
"Меrdе, Maurice ! C’est toi ?!? La vérité je t’avais pas reconnu !!"
Un jeune inspecteur des impôts est envoyé pour un contrôle fiscal à la synagogue de Liège. Impitoyable, il pose de nombreuses questions au rabbin.
- Et que faites vous des restes de cire et de bougies ?
- Nous les renvoyons à notre fournisseur qui, une fois l'an, nous offre un paquet de bougies.
- Et les restes de bagels, toutes ces miettes, qu'en faites vous ?
- Mais, la même chose, nous les expédions à notre boulanger et, une fois l'an, il nous donne gratuitement un paquet supplémentaire.
Moqueur, l'inspecteur ajoute :
- Et ce qui reste des circoncisions ... toutes ces petites peaux ... qu'en faites-vous ?
Placide, le rabbin répond :
- Mais, comme pour le reste, nous les envoyons au Ministère des Finances et, une fois l'an, ils nous envoient une tête de gland !
Dans son magasin de confection, le vieux Samuel Wiesenstein accueille sa fille Rachel en pleurs.
- Allons ma petite fille, qu’est-ce qui se passe ?
- Oh papa, si tu savais… Je t’avais dit que je sortais depuis quelques mois avec Jean-Patrick de la Frontinière… Eh bien, je viens d’apprendre que je suis enceinte de lui !
- Enceinte ?! Ma fille ?! Et d’un goy en plus !!! rugit le vieux Samuel. Donne-moi son adresse, je vais aller lui rendre une petite visite à ton Jean-Patrick. Je t’assure qu’il va m’entendre !
Énervé comme pas possible, le vieux Samuel se met au volant de sa vieille Mercedes 220 D et fonce à tout berzingue en direction de l’adresse indiquée. Lorsqu’il arrive sur place, il n’en croit pas ses yeux : au numéro fournit par sa fille, il tombe sur un superbe immeuble sur le toit duquel brille un gigantesque néon publicitaire « Prêt à porter De la Frontinière ».
Mais le vieux Samuel ne se laisse pas impressionner, il entre dans l’immeuble, passe par l’accueil, insiste pour rencontrer Jean-Patrick de la Frontinière himself. On lui demande de patienter pendant que l’on prend contact avec le secrétariat de la direction. Après cinq minutes d’attente, le vieux Samuel a l’autorisation de monter au dernier étage de l’immeuble. Là, il est accueilli par la secrétaire particulière de Monsieur Jean-Patrick de la Frontinière qui le conduit jusqu’au PDG.
Et voilà enfin le vieux Samuel qui entre dans le bureau de celui qui a fait un enfant à sa fille alors qu’ils ne sont même pas mariés ! Il le voit là devant lui et s’apprête à se mettre à l’insulter lorsque Jean-Patrick le prend de vitesse :
- Monsieur Wiesenstein, si vous saviez le plaisir que j’ai à vous voir ! Votre fille Rachel m’a dit tellement de bien de vous. Elle vous adore vous savez. Je pense savoir la raison de votre visite : Rachel est enceinte et nous ne sommes pas mariés. Eh bien je tiens à vous rassurer : je compte lui verser dès maintenant et jusqu’à la majorité de notre enfant une rente mensuelle de 10.000 euros. De plus, je vous propose, puisque vous êtes dans la confection et moi dans le prêt-à-porter de vous offrir la responsabilité de la direction de nos commandes spéciales et de réalisation d’échantillons. Vous seriez gérant de notre filiale, avec un salaire mensuel de 15.000 euros plus un intéressement aux bénéfices.
Alors, qu’en pensez-vous ?
Là, le vieux Samuel reste muet pendant plus d’une minute, ne sachant que dire, et puis enfin il répond :
- Monsieur De la Frontinière, permettez-moi une question : dans le cas où ma petite Rachel ferait une fausse couche, est-ce que vous seriez prêt à lui donner une seconde chance ?
Un homme l’air très préoccupé va voir son rabbin :
- Rabbi, rabbi, quelque chose de terrible est en train de m’arriver ! Il faut que vous m’écoutiez !
Le rabbin pose le livre qu’il était en train de lire et répond :
- Alors, qu’est-ce qui se passe David ?
- Rabbi, ma femme cherche à m’empoisonner.
Le rabbin fronce les sourcils :
- Allons David, ce n’est pas possible. Qu’est-ce qui te fait croire ça ?
Et David explique :
- Je vous assure rabbi, mes aliments changent de goût, je l’ai vue verser des produits dans mon verre en cachette… Qu’est-ce que je dois faire ?
Le rabbin réfléchit et répond :
- Écoute David, voici ce que je te propose : je vais lui parler et je me ferai mon opinion par moi-même. Reviens demain à la synagogue, je te donnerai mon avis.
Le lendemain, David retrouve le rabbin dans la synagogue. Le religieux dit :
- David, j’ai parlé à ta femme. J’ai eu ta femme pendant trois heures au téléphone… Tu veux mon avis ?
David répond d’une voix teintée d’anxiété :
- Oui rabbi.
- Eh bien, prends le poison, David.