Blague sur les juifs, Humour Juif
C’est un juif tunisien qui en a marre que son fils ait un рuтаin d’accent pied noir à couper au couteau que c’est pas bon pour son avenir et qui l’envoie à Oxford pour apprendre bien tout comme il faut avec la manière que même les manuels de comment qui faut vivre, à la vérité, ils savaient pas que c’était possible.
Au bout d’un mois, il va voir le doyen de l’université d’Oxford avec la panoplie complète : la chemise, l’attâchécâz, la gourmette, la dent de sanglier sur la moquette et les dents de devant que plus brillant, c’est que t’as pas mis les lunettes de soudeurs pour regarder :
- Alors Monsieur le Doyen, il travaille bien mon fils ?
Et l’autre :
- Pohpohpoh, comment qu’il apprend vite ! La vie d’ma mère, même le prôfesseur de français qu’on vous a dit qu’il allait viendre, jamais il a pensé que çà, un jour ça pouvait que çà y est !
C’est l’histoire d’un rabbin qui faisait les circoncisions. Ce rabbin, peut-être un peu fétichiste, avait gardé tous les prépuces excisés depuis le début de sa carrière. Au moment de se retirer, il rend visite à un tanneur de ses amis et il lui demande ce qu’il peut obtenir avec sa « récolte ». Le tanneur lui promet de faire l’impossible pour obtenir quelque chose d’unique à partir des prépuces.
Un mois plus таrd, le tanneur appelle le rabbin collectionneur pour lui dire que le travail est finit. Lorsque les deux hommes se rencontrent à nouveau, l’homme de foi se voit présenter un joli portefeuille. Surpris, le rabbin s’exclame :
- Quoi ? Je t’amène le produit de 30 années passées à circoncire tous les petits du Sentier, et toi tu ne parviens à me faire qu’un portefeuille ?
- Eh doucement ! D’accord, ce n’est qu’un portefeuille, mais si tu le frottes un petit peu, tu obtiendras une très jolie mallette…
Trois rabbins réformistes se trouvent pris dans un terrible accident de voiture sur l’autoroute. Aucun des trois ne survit. Les voilà donc qui montent au ciel tous ensemble et qui se présentent devant l’Eternel qui les dévisage un par un, puis qui leur demande :
- Réformiste, je veux bien. Mais où est-ce que ça va s’arrêter ? Toi ! Goldblum par exemple, des cendriers dans ta synagogue pour que Mon peuple puisse fumer pendant qu’on lit la Torah ? Bon, allez, je peux faire avec. Les hommes sont faibles, mais le verbe est fort !
Goldblum soupire de soulagement voyant que le courroux de Dieu à son égard s’est apaisé.
- Bauman ! Tu exagères. Je peux accepter que Mon Peuple puisse avoir faim, mais vraiment, servir des sandwichs au jambon aux fidèles du temple pendant Yom Kippour, à quoi ça rime ?
Bauman baisse la tête tant il est honteux.
- Mais même ça, tu vois, je peux passer, même si ce n’est pas casher et même si ça ne me fait pas très plaisir. Un Dieu doit savoir prendre sur lui pour ces entorses aux préceptes qu’il a édicté.
Enfin, Dieu se tourne vers le troisième rabbin et il lui dit :
- Toi par contre, tu es allé trop lоin ! J’en demandais trop peut-être ? Tout ce que MONSIEUR le rabbin MENDELBAUM trouve à faire en ces jours bénis de Rosh ha-Shana et de Yom Kippour, c’est de mettre une pancarte sur la porte de la synagogue qui dit « FERMÉ POUR CAUSE DE VACANCES » !
Moshe Levy veut entrer au Rotary club de Vitrolles. Il demande un formulaire d’inscription. Il découvre les questions au fur et à mesure.
Première question, le nom :
- Aïe ! Je vais pas mettre Levy. Rusons, je mets Dupont (au hasard). Deuxième question, le prénom :
- Si je mets Moshe, ils vont se douter de quelque chose. Je vais mettre Michael… non, plutot Jean.
Troisième question, le lieu de naissance :
- Je ne vais pas mettre Varsovie, plutôt Paris.
Quatrième question, la profession :
- Tailleur ? C’est risqué. Avocat, c’est une profession respectable. Et s’ils me parlent de droit ? Je leur demanderai des honoraires exorbitants, ça les découragera.
Dernière question, la religion :
- Soyons malins… Je vais mettre goy…
Samuel, David et Nathan ont gagné une jolie petite somme au Loto. A peine la nouvelle est-elle tombée que les trois joueurs commencent à se chamailler pour chacun revendiquer une plus grosse part que les autres : l’un parce que c’est lui qui a choisi les numéros, l’autre parce que c’est lui qui a donné l’argent de la mise, et le troisième parce que c’est lui qui a porté le bulletin chez le buraliste…
Incapables de se mettre d’accord, ils décident de demander l’arbitrage du rabbin, homme réputé pour sa grande sagesse. Le rabbin leur dit après qu’ils ont expliqué leur affaire :
- Vous allez devoir partager !
- Mais comment ?, répondent en chœur les joueurs.
- Eh bien d’abord, il vous faut choisir entre la « justice des hommes » qui par nature est imparfaite, ou bien la « justice divine » qui par nature est parfaite. Laquelle choisissez-vous ?
- Nous prenons la justice divine, évidemment !
Alors le rabbin leur dit :
- C’est très bien, c’est la réponse que j’attendais de vous : alors Samuel aura 3/4 de la somme, David aura 1/4 de la somme, et Nathan n’aura rien du tout.
David Benchemoul, le fameux homme d’affaire mondialement connu dans le sentier, est dans une mauvaise passe. Pour éviter la faillite, il lui faut trouver la bagatelle de deux millions d’euros.
En désespoir de cause, après avoir fait le tour de tous ses amis et de toutes les banques sans succès, il se rend à la synagogue pour prier et demander un miracle. Il s’installe à côté d’une autre personne déjà en train de prier et s’apprête à implorer Dieu lorsqu’il entend l’autre psalmodier :
- « S’il te plaît D…, je dois 100 euros à mon copain Michel, fais que je gagne le tiercé pour pouvoir le rembourser. »
Alors David Benchemoul sort son portefeuille, prend un billet de 100 euros et le donne à son voisin, qui, fou de joie le remercie en lui baisant les mains.
Une fois seul, l’homme d’affaire ferme les yeux et se remet à prier :
- « Et maintenant, Seigneur, que j’ai toute ton attention… »
Sarah offre à son fils Salomon deux cravates, une rouge et une bleue. Le vendredi soir suivant, Salomon met la cravate bleue pour venir passer Shabbat avec sa mère. Sa mère lui demande :
- Salomon, la cravate rouge, tu ne l’aimes pas ?
- Mais si maman, les deux cravates que tu m’as offertes me plaisent beaucoup. Et c’est pour ça que j’en porte une aujourd’hui.
La semaine suivante, Salomon met la cravate rouge pour venir passer Shabbat avec sa mère. Sa mère lui demande :
- Salomon, la cravate bleue, tu ne l’aimes pas ?
- Mais si maman, les deux cravates que tu m’as offertes me plaisent beaucoup. Et c’est pour ça que j’en porte une aujourd’hui.
La semaine suivante, Salomon met la cravate rouge et la cravate bleue pour venir passer Shabbat avec sa mère. Sa mère s’exclame :
- Mon fils est devenu fou, il met deux cravates !
C’est Clinton qui fait venir son conseiller.
- Dites-moi Henri (c’est son nom, évidement), pouvez-vous m’expliquer la raison pour laquelle les Juifs sont toujours au courant de chaque chose avant tout le monde ?
- C’est tout à fait juste Monsieur le Président, maintenant que vous me le faites remarquer, j’en prends conscience, réponds Henri très inspiré.
- Henri, épargnez-moi vos états d’âme et trouvez-moi la solution pour percer leur secret, s’exclame Clinton excédé par la mollesse de son conseiller. Je vous paye pour vos conseils.
Le lendemain, le conseiller revient l’air ravi et les joues roses, convaincu d’avoir la solution :
- Monsieur le Président, j’ai trouvé, j’ai trouvé ! Lance Henri sur un ton triomphateur. La solution consiste à s’infiltrer dans les milieux juifs, en clair à réussir à se faire passer pour un juif, explique le conseiller un peu évasif.
- Admettons, rétorque Clinton, mais de quelle façon ?
- Monsieur le Président, on va vous déguiser en juif et de cette manière il vous sera aisé de vous mélanger parmi ces derniers, d’ajouter Henri de plus en plus enclin à espérer une augmentation.
- Admettons, répète le Président, mais sur quel terrain pourrais-je agir, poursuit-il incrédule.
- On va vous déposer samedi matin, jour du Shabbat devant une grande synagogue et ainsi il vous sera facile de rentrer en contact avec vos, pardonnez-moi la plaisanterie « coreligionnaires », s’esclaffe Henri, et d’obtenir des informations.
Satisfait de cette idée, Clinton demande à ce que l’on fasse venir un déguiseur. On déguise donc le président comme un juif orthodoxe, barbe noire, papillotes, chapeau, manteau sombre, etc…, tant et si bien que même Clinton à du mal à se reconnaître quand il se regarde dans un miroir.
Le tour est joué, et que cela tombe bien, le lendemain c’est samedi. Donc on conduit Clinton devant la grande synagogue. Evidemment il est un peu perdu au milieu de cette foule de barbus qui arrivent pour accomplir l’office du matin. Aussi il suit le mouvement et pénètre dans le Temple. Ne sachant comment agir et l’attitude un peu gauche, un juif sympathique s’approche de lui :
- Shabbat Chalom, lui dit-il, tu me sembles mal à ton aise ?
- Euh, effectivement je suis nouveau dans cette ville, balbutie le Président, et je ne connais pas les habitudes de votre synagogue, conclu t-il un peu angoissé.
- Ne te fais pas de souci, ici c’est comme dans toutes les synagogues le samedi matin, de conclure le religieux.
Alors Clinton se dit que l’occasion est trop propice et discrètement :
- Sans vouloir te déranger, et comme je suis nouveau ici, te serait-il possible de m’apprendre une petite nouvelle, un scoop, quelque chose que je ne saurais pas ? Se hasarde le Président avide de percer le fameux secret.
- Oui, mais alors tout à fait entre nous, lui susurre le juif à l’oreille en observant de chaque côté afin d’affirmer sa discrétion, il paraît que le Président Clinton va venir à la synagogue !
C’est papi Rosenberg, un veuf qui a pas lоin de 90 ans, et tous les midis, il déjeune dans le même restaurant. Et tous les midis, il demande la soupe du jour qu’il mange avec les deux tartines de pain… Et tous les midis, quand il a finit son repas, il paie et s’en va sans rien dire.
Un jour, le directeur lui demande s’il apprécie la cuisine du restaurant. Le vieux lui répond avec son accent yiddish :
- C’est bon, mais vous pourriez donner plus de pain…
Alors le lendemain, la serveuse reçoit la consigne de fournir au vieux Rosenberg 4 tranches de pain au lieu de deux. Et après le repas, le directeur demande :
- Alors Monsieur Rosenberg, comment était le repas ?
Et le vieux répond :
- C’est bon, mais vous pourriez donner plus de pain…
Du coup, le jour suivant, le directeur dit à la serveuse de donner au vieux 8 tranches de pain au lieu de 4… Mais le vieux dit encore à la fin de son repas :
- C’est bon, mais vous pourriez donner plus de pain !
Ce qui fait que le jour d’après, la serveuse apporte carrément un pain de 600 g avec la soupe du vieux… Mais le vieux dit encore à la fin de son repas :
- C’est bon, mais vous pourriez donner plus de pain !
Cette fois, le directeur qui est devenu complètement obsédé par le vieux Rosenberg et son pain. Alors il va voir son boulanger et il commande spécialement un pain d’un mètre de long. Et lorsque le vieux Rosenberg commande sa soupe, il fait couper le pain en deux dans le sens de la longueur, puis il fait beurrer chacune des deux faces et fait disposer le tout à côté du bol de soupe de papi Rosenberg !
Le directeur laisse le vieux finir sa soupe, puis il vient lui demander comment était le repas aujourd’hui, pensant bien combler tous les désirs du vieux.
Et papi répond :
- C’était bon, comme d’habitude, mais je vois que vous en êtes revenu aux deux tartines de pain…
C’est le vieux Jacob qui téléphone à son fils à Paris et qui lui dit :
- David, il faut que je t’avoue quelque chose. Et c’est quelque chose qui ne se discute pas. Je t’en parle parce que tu es l’aîné et que tu dois savoir. Voilà… ma décision est prise, ta mère et moi on va divorcer !
Le fils tombe sur le cul en entendant ça et tout de suite il demande à son père :
- Pourquoi ? Que s’est-il passé ? Vous vous êtes disputés ?…
- Je ne veux pas en parler. Et de toute façon ma décision est irrévocable !
- Mais papa, tu ne peux pas décider de but en blanc de divorcer de maman après 54 ans de mariage ! Dis-moi, que s’est-il passé ?
- Ca me ferait trop de peine d’en parler. Je t’ai simplement appelé pour te le dire parce que tu es mon fils, et que je pensais que tu devais être au courant. Maintenant, je voudrai qu’on arrête de parler de tout ça. Tu n’as qu’à appeler ta sœur et lui en parler si tu veux, ça m’évitera la peine de le faire.
- Mais… Où est maman ? Est-ce que je peux lui parler ?
- Non. Elle n’est pas là. Et je ne lui pas encore parlé de ça. Crois-moi, ça n’a pas été une décision facile à prendre. Ça fait plusieurs moi que je rumine ça mais cette fois ma décision est prise. J’ai déjà pris rendez-vous avec l’avocat !
- Papa, ne t’emballe pas s’il te plaît. Je prends le premier TGV et j’arrive. Ne fais rien d’irréfléchi en attendant.
- Hmmm bon d’accord. Demain c’est Pessah*, je vais reporter le rendez-vous avec l’avocat. Maintenant, appelle ta sœur et discutes-en avec elle. Moi je ne parle plus de ça par téléphone !
Une demi-heure plus таrd, Jacob reçoit un appel de sa fille qui lui dit qu’elle et son frère prendront le train et arriveront dès demain. La fille ajoute :
- David m’a dit que tu ne voulais pas parler de ça au téléphone, alors on vient. En échange, promets de ne rien faire et ne rien dire jusqu’à ce qu’on arrive !
Et Jacob promet à sa fille.
Ensuite il raccroche, puis il se tourne vers sa femme et lui dit :
- Bon. Ça a marché pour cette année, mais je ne sais pas comment on fera pour les faire venir l’an prochain…
* La Pâque juive. Traditionnellement, lors de cette fête, la famille se réunit pour manger ensemble.