Il y a approximativement deux milliards d'enfants sur terre( moins de 18 ans) Tout le monde sait bien que le Père Noël ne dépose des cadeaux qu'aux enfants en bas âge, de moins de 10 ans. Après, ce sont les parents qui s'en chargent! D'où une restriction importante du nombre d'enfants concernés.
Cependant, comme le Père Noël ne visite pas les enfants Musulmans, Hindous, Juifs ou Bouddhistes ( sauf peut-être au Japon),il est à noter également que seuls les enfants vraiment chrétiens, pas pseudo comme le sont la plupart, sont concernés par les visites du Père Noël.
Les autres, ce sont cette fois encore les parents qui se débrouillent seuls, victimes de notre société de consommation. Faut pas déconner, c'est pas une poire ! ), cela réduit la charge de travail pour la nuit de Noël a 15% du total, soit 378 millions d'enfants. En comptant une moyenne de 3,5 enfants par foyer (Dans les foyers catholiques, la moyenne ne doit pas être si élevée... 2 enfants doit être le maximum!), cela revient à 108 millions de maisons, 54 millions en présumant que chacune comprend au moins un enfant sage. (Avec les problèmes actuels, de banlieue etc.., considérer qu'il y a un enfant sage par foyer est utopique!)
Le Père Noël dispose d'environ 31 heures de labeur dans la nuit de Noël, grâce aux différents fuseaux horaires et à la rotation de la Terre, dans l'hypothèse qu'il voyage d'Est en Ouest, ce qui parait d'ailleurs logique. Cela revient a 967,7 visites par seconde. Cela signifie que pour chaque foyer chrétien contenant au moins un enfant sage (Utopique, j'ai dit!), le Père Noël dispose d'environ un millième de seconde pour garer le traîneau, sauter en dehors, dégringoler dans la cheminée, remplir les chaussettes (seulement les rouges et jaunes à petits pois! Ce qui diminue encore une fois la tâche à remplir. ), distribuer le reste des présents au pied du sapin, déguster les quelques friandises laissées à son intention (N'importe quoi! comme il est horriblement pressé, il ne les … >> Cliquez pour lire la suite
Dans son magasin de confection, le vieux Samuel Wiesenstein accueille sa fille Rachel en pleurs.
- Allons ma petite fille, qu’est-ce qui se passe ?
- Oh papa, si tu savais… Je t’avais dit que je sortais depuis quelques mois avec Jean-Patrick de la Frontinière… Eh bien, je viens d’apprendre que je suis enceinte de lui !
- Enceinte ?! Ma fille ?! Et d’un goy en plus !!! rugit le vieux Samuel. Donne-moi son adresse, je vais aller lui rendre une petite visite à ton Jean-Patrick. Je t’assure qu’il va m’entendre !
Énervé comme pas possible, le vieux Samuel se met au volant de sa vieille Mercedes 220 D et fonce à tout berzingue en direction de l’adresse indiquée. Lorsqu’il arrive sur place, il n’en croit pas ses yeux : au numéro fournit par sa fille, il tombe sur un superbe immeuble sur le toit duquel brille un gigantesque néon publicitaire « Prêt à porter De la Frontinière ».
Mais le vieux Samuel ne se laisse pas impressionner, il entre dans l’immeuble, passe par l’accueil, insiste pour rencontrer Jean-Patrick de la Frontinière himself. On lui demande de patienter pendant que l’on prend contact avec le secrétariat de la direction. Après cinq minutes d’attente, le vieux Samuel a l’autorisation de monter au dernier étage de l’immeuble. Là, il est accueilli par la secrétaire particulière de Monsieur Jean-Patrick de la Frontinière qui le conduit jusqu’au PDG.
Et voilà enfin le vieux Samuel qui entre dans le bureau de celui qui a fait un enfant à sa fille alors qu’ils ne sont même pas mariés ! Il le voit là devant lui et s’apprête à se mettre à l’insulter lorsque Jean-Patrick le prend de vitesse :
- Monsieur Wiesenstein, si vous saviez le plaisir que j’ai à vous voir ! Votre fille Rachel m’a dit tellement de bien de vous. Elle vous adore vous savez. Je pense savoir la raison de votre visite : Rachel est enceinte et nous ne sommes pas mariés. Eh bien je tiens à vous rassurer : je compte lui verser dès maintenant et jusqu’à la majorité de notre enfant une rente mensuelle de 10.000 euros. De plus, je vous propose, puisque vous êtes dans la confection et moi dans le prêt-à-porter de vous offrir la responsabilité de la direction de nos commandes spéciales et de réalisation d’échantillons. Vous seriez gérant de notre filiale, avec un salaire mensuel de 15.000 euros plus un intéressement aux bénéfices.
Alors, qu’en pensez-vous ?
Là, le vieux Samuel reste muet pendant plus d’une minute, ne sachant que dire, et puis enfin il répond :
- Monsieur De la Frontinière, permettez-moi une question : dans le cas où ma petite Rachel ferait une fausse couche, est-ce que vous seriez prêt à lui donner une seconde chance ?
Un homme l’air très préoccupé va voir son rabbin :
- Rabbi, rabbi, quelque chose de terrible est en train de m’arriver ! Il faut que vous m’écoutiez !
Le rabbin pose le livre qu’il était en train de lire et répond :
- Alors, qu’est-ce qui se passe David ?
- Rabbi, ma femme cherche à m’empoisonner.
Le rabbin fronce les sourcils :
- Allons David, ce n’est pas possible. Qu’est-ce qui te fait croire ça ?
Et David explique :
- Je vous assure rabbi, mes aliments changent de goût, je l’ai vue verser des produits dans mon verre en cachette… Qu’est-ce que je dois faire ?
Le rabbin réfléchit et répond :
- Écoute David, voici ce que je te propose : je vais lui parler et je me ferai mon opinion par moi-même. Reviens demain à la synagogue, je te donnerai mon avis.
Le lendemain, David retrouve le rabbin dans la synagogue. Le religieux dit :
- David, j’ai parlé à ta femme. J’ai eu ta femme pendant trois heures au téléphone… Tu veux mon avis ?
David répond d’une voix teintée d’anxiété :
- Oui rabbi.
- Eh bien, prends le poison, David.
Simon Golsdtein et David Birnbaum, deux amis d’enfance, se retrouvent au salon du prêt-à-porter.
- Simon, comment ça va mon ami ? Depuis le temps…
- Pas mal et toi ? répond Goldstein.
- Oh moi… dit Birnbaum, ça allait bien jusqu’à maintenant… Mais alors, la semaine dernière, ça a été le bouquet. Tu ne peux pas savoir les malheurs qui me sont tombés dessus !
- Qu’est-ce qui t’est arrivé ? Demande Goldstein.
L’autre répond avec force gémissements :
- Ma femme et moi sommes allés en Floride en vacances. Il a plu pendant sept jours et sept nuits. Un comble ! Du coup, ma femme est sortie et a dépensé des milliers de dollars sur la carte de crédit. Je suis revenu à Paris et j’ai découvert que mon comptable de beau-frère, ce rat, m’avait arnaqué pour des millions. Et ce n’est pas tout ! Le top du top, ça a été quand je suis rentré à l’usine lundi matin : j’ai trouvé mon fils en train de prendre en levrette mon mannequin vedette sur mon bureau !
- Bah, que ton fils ait forniqué avec ton mannequin vedette, ce n’est pas si grave que ça, répond Goldstein.
- Un peu que si ! Sanglote Birnbaum. Je fabrique des vêtements pour homme !