Blague sur les juifs, Humour Juif
Pour la première fois de sa vie, Marcel l’agriculteur peut partir en vacances. Il s’en fut voir Salomon, son meilleur ami, et lui tient à peu près ce langage :
- Ecoute Salomon, c’est la première fois de ma vie que je peux partir en vacances. Pour les vaches, je les ai confiées à Martin. Mais j’ai encore un truc précieux et j’ai pas confiance dans les banques. Si je te le confie, tu me promets d’y veiller comme la prunelle de tes yeux ?
- Pas de problème Marcel, mais c’est quoi ?
- C’est ce petit coffret. Et il tend à Salomon un petit coffret, de la taille d’une boîte à cigares.
- Tu peux partir tranquille, et passe de bonnes vacances !
Mais le Salomon, en cette période de sa vie, il crève de faim. Au bout d’une semaine, il ouvre le coffret et là, oh surprise ! c’est un Сhrisт en or massif de воnnе taille. Salomon se dit que c’est vraiment trop соn de mourir de faim à coté d’un Сhrisт en or massif. Il sort son canif, découpe un petit copeau, va le vendre au bijoutier et s’achète à manger pour la semaine.
Au bout d’une semaine, il a toujours aussi faim. N’y tenant plus, il découpe un autre copeau à un autre endroit, va le vendre, et s’achète à manger.
Et le Marcel rentre de vacances. Il file chez le Salomon lui demander son coffret.
- Tu n’as pas perdu mon coffret, Salomon ?
- Non Marcel, le voila. Marcel ouvre le coffret, regarde le сhrisт et dit, mi surpris, mi étonné :
- Il a pas maigri ?
- Ecoute Marcel, tu m’as demandé de le garder, pas de le nourrir.
C’est un curé, un pasteur et un rabbin qui racontent leur manière de répartir l’argent de leur lieu de culte :
- Moi, dit le curé, pour déterminer la part d’argent que je garde et celle que je donne à Dieu, j’ai une méthode simple : je trace une ligne sur le sol et je jette les pièces de monnaie en l’air. Celles qui tombent avant la lignes sont pour moi, celles qui tombent de l’autre côté de la ligne sont pour le Seigneur.
- Moi, dit le pasteur, je trace un cercle, les pièces qui tombent dans le cercle sont pour moi, celles qui tombent en dehors sont pour le Seigneur.
- Moi, dit le rabbin, je lance les pièces en l’air, si Dieu il en veut il les prend et je ne garde que celles qui retombent !
Moshé a un rendez-vous en centre-ville, il est à la bourre et ne trouve pas de place pour garer sa Porsche.
Il s’énerve car il tourne en vain depuis 30 minutes. Alors il s’adresse à Dieu :
- Mon Dieu, si tu me trouves une place dans les 5 minutes, la vérité si je mens, je ferai Shabbat, je mangerai tous les jours kascher, je ne tromperai plus ma femme Sarah, ni Rebecca ma maîtresse, je respecterai Yom Kippour et toutes les autres fêtes, C’EST PROMIS!!!
Et alors, miracle, une place se libère juste devant lui !
Moshé, se gare, ouvre la vitre se penche à la portière de sa Porsche, regarde le ciel et crie :
- Mon Dieu, ne cherche plus, c’est plus la peine, j’ai trouvé !
Un homme très riche tombe malade. Il fait une annonce pour obtenir du sang afin de guérir. Un juif, voyant l’annonce, donne de bon coeur son sang. Le milliardaire lui offre une Ferrari, un palais, et d’autres choses très chères.
Mais malheureusement un jour, il retombe malade. Il refait donc une annonce, et le juif, revient sans hésiter lui donner son sang.
Le milliardaire, guéri, lui envoie une lettre qui disant :
"Merci beaucoup de ton don."
Le juif étonné répond par mail :
"C’est tout?"
Et là le milliardaire lui répond :
"T’as oublié mon pote, j’ai du sang juif maintenant!"
Un prêtre discute avec son ami rabbin :
- J’ai un bon plan pour manger gratuit.
- A oui ! Donnes-moi ton truc !
- Et bien c’est simple, je vais au restaurant assez таrd, et je commande un menu complet : entrée, plat, fromage et dessert. Et puis je prends mon temps en dégustant un café, un digestif et un cigare. Et comme ceci j’attends la fermeture. Comme je ne bouge pas, et quand toutes les autres chaises sont rangées sur les tables, le garçon vient me voir pour encaisser. Alors je lui réponds :
"Mais j’ai déjà payé à votre collègue qui est parti." Et le tour est joué !
Et le rabbin :
- Très intéressant, on essaie demain?
- D’accord si tu veux.
Le lendemain, les deux amis vont au restaurant et tout se passe comme prévu.
Au moment de la fermeture, le garçon demande s’il peut encaisser et le prêtre lui répond :
- Désolé, mais on a déjà payé à votre collègue qui est parti.
Et le rabbin qui ajoute :
- Et d’ailleurs nous attendons toujours notre monnaie...