Blague sur les juifs, Humour Juif
C’est un type Juif qui téléphone à sa mère :
- Allô maman ? C’est David.
- Daviiiid, comment vas tu mon chéri ? tu manges bi…
- Oui, oui maman, tout va bien. Je voulais te dire quelques petites choses…
- Mais oui ! tu sais que je suis toujours là pour toi !
- Bon, ben voilà maman, je vais me marier…
- Mais c’est merveilleux ! Comment s’appelle-t’elle ? Vous allez venir hein ? C’est pour quand ?
- Oui oui… le problème c’est que..
- Mais non, il n’y a pas de problèeeeeme… oh la la que ton pauvre père aurait aimé être là !
- Ben c’est qu’elle est noire..
- Noire ? mais c’est rien ça ! C’est merveilleux mon fils se marie..
- Pi, elle était déjà mariée..
- Eh bien elle aura de l’expérience c’est bien ça mon fils…
- Et elle a déjà 2 enfants…
- Ah déjà des petits enfants, ah c’est fantastique mon enfant !
- Et elle n’est pas juive…
- Ah… mais qu’est-ce que ça peut faire ! tu vas te marier la vie est belle !
- Alors on peut passer ?
- Mais oui, quand vous voulez ! venez dormir a la maison, vous dormirez dans ma chambre !
- Dans ta chambre ? ben et toi maman, tu iras où ?
- Oh moi, pas de problème… Je me couche et je meurs…
Simon vend des frites dans la rue. Il reçoit la visite de Moshé, qu’il n’a pas vu depuis quelques années.
- Alors Simon, ça va ?
- Oui Moshé ça va.
- Ah ! Je suis content pour toi, Simon !
- Merci Moshé.
- Et tu ne me demandes pas comment ça va, moi ?
- Si je te le demande. Moshé, comment ça va ?
- Eh bien Simon, ça va pas bien. Je suis ruiné, je n’ai plus de quoi manger, ni payer mon loyer. Les huissiers sont chez moi tous les jours, ma femme veut se suicider.
- Ah c’est bien triste Moshé.
- Et toi, ton commerce, ça marche bien, Simon ?
- Oh tu sais, comme ci comme ça.
- Simon, on se connaît depuis au moins vingt ans, non ?
- Eh bien, depuis notre Bar Mitsva (communion, à l’âge de treize ans), j’ai trente-trois ans, ça fait vingt ans en effet.
- Simon, au nom de notre amitié, est-ce que tu pourrais me prêter cent euros ?
- Ah Moshé, ça aurait été avec plaisir, mais je ne peux pas, je n’ai pas le droit.
- Comment ça ?
- Tu vois la banque en face ? Nous avons passé un contrat. Le banquier m’a promis qu’il ne vendrait jamais de frites. Et je lui ai promis que je ne prêterais jamais d’argent.
Il y a plusieurs siècles, le Pape décida que tous les juifs devraient quitter le Vatican. Naturellement, ce fut une énorme indignation de la part de la communauté judaïque. Alors le Pape proposa un marché au chef de la communauté : Un débat aurait lieu avec un membre désigné de la communauté juive et le Pape, et si au terme de ce débat les arguments juifs s'avéraient plus forts que les arguments catholiques, alors les juifs auraient le droit de rester.
Par contre, si le Pape était gagnant, ce serait aux juifs de quitter le Vatican.
Les juifs n'ayant pas le choix, ils acceptèrent et désignèrent Moshé que d'aucun s'accordaient à trouver le plus intelligent de tout le ghetto.
Lorsque Moshé fut en présence du Pape, il lui demanda (pour rendre le challenge plus intéressant) de ne pas utiliser la parole, mais uniquement les gestes pour débattre. Le Pape accepta.
Le jour venu, Moshé et le Pape prirent chacun une chaise et se firent face. Au bout d'une minute, le Pape leva la main et montra 3 doigts tendus à Moshé.
Moshé leva sa main vers le ciel et tendit 1 doigt.
Le Pape décrivit alors avec un doigt de sa main un cercle au dessus de sa tête.
Moshé se servit de son index pour pointer alors le sol à ses pieds.
Le pape prit alors une hоsтiе et un verre de vin sur un plateau à côté de lui.
Moshé tira une pomme de sa besace.
A ce moment là, le Pape se releva et dit à la foule « J'abandonne ! Cet homme est vraiment trop bon en rhétorique. Les Juifs pourront donc tous rester au Vatican. »
Lorsque tout le monde fut parti, les Cardinaux restés auprès du Pape lui demandèrent ce qui était arrivé. Le Pape leur expliqua :
- « D'abord, je lui ai montré 3 doigts tendus pour lui représenter la Trinité. Il m'a répondu qu'il y avait pourtant un seul Dieu pour nos deux religions.
Puis, j'ai décris un cercle au dessus de ma tête pour lui montrer que Dieu était partout autour de nous. Là, il m'a répondu en montrant le sol à ses pieds que Dieu était aussi parmi nous.
Enfin, j'ai pris une hоsтiе et du vin pour montrer que Dieu nous absout de tous nos pêchés, et là il a pris une pomme pour me rappeler le pêché originel...
Il avait une réponse pour tout; c'était bien lui le plus fort ! »
Pendant ce temps là, dans la communauté juive, l'heure est aussi au bilan et aux explications de texte. Moshé raconte :
- « D'abord, il m'a dit que les juifs avaient trois jours pour quitter le Vatican. Je lui ai répondu que pas un de nous ne bougerait.
Puis, il m'a dit que toute la ville serait nettoyée des juifs. Je lui ai fait comprendre qu'on resterait tous ici. »
- « Et la fin ? » Demande quelqu'un dans l'assistance, « Qu'a voulu dire le Pape en prenant du vin et une hоsтiе ? »
Et Moshé répond :
- « J'en sais rien. Quand j'ai vu qu'il prenait son en-cas, j'ai pris le mien... »