Blague sur les juifs, Humour Juif
C’est un juif, David qui va à l’hôpital pour se faire faire un bilan de Santé. L’infirmière arrive pour la radio et lui fait :
- Enlevez votre chemise, s’il vous plaît, et la médaille entre les dents !
L’infirmière, elle est drôlement belle, et David se dit :
- « Qu’est-ce qu’elle est bien foutue, celle-là ! ». Au bout d’un moment, pour passer le temps, l’infirmière lui demande :
- Qu’est-ce que vous faites, comme métier ?
Et le David lui répond :
- Ben je suis dans les affaires…
- Et ça marche ?
Alors là, le David qui est en slip lui fait :
- Ben justement, il se trouve que j’ai une petite affaire qui monte : vous ne voulez pas la prendre en main, non ?
C'est Schlomo qui s'en va consulter le meilleur cardiologue de Varsovie.
A la fin de la consultation, il demande :
- Alors docteur, combien je vous dois ?
- Ça fera 50 zlotys.
- 50 zlotys ? C'est impossible !
- Bon, disons qu'exceptionnellement, pour vous, je peux descendre à 30 zlotys.
- 30 zlotys pour une consultation ? C'est ridicule !
- Bon, alors 20 zlotys ?...
- Mais enfin, qui a autant d'argent ?
Le cardiologue est passablement énervé maintenant :
- Bon, allez, donnez-moi 5 zlotys et fichez le camp !
- Je peux vous donner 2 zlotys, c'est à prendre ou à laisser, dit Schlomo.
- Je ne vous comprends pas... Pourquoi êtes-vous venu consulter chez le médecin le plus cher de la ville, sinon de Pologne ?
- Ah, écoutez Docteur, quand il s'agit de ma santé, rien n'est trop cher !
Un yacht de milliardaire subit un ouragan alors qu'il navigue dans les Caraïbes. L'ouragan est tellement important et soudain que le yacht fait naufrage.
Seules deux personnes du bateau parviennent, on ne sait comment, à s'en sortir : il s'agit du propriétaire du bateau, le milliardaire David Rosenberg, et le steward.
Les deux hommes parviennent à rejoindre un petit îlot complètement désert et éloigné de tout autre partie émergée. Rapidement, le steward comprend la situation et se met à pleurer :
- Monsieur Rosenberg, comment pouvez-vous rester si calme dans une telle situation : vous avez vu où nous sommes ? Il n'y a rien à plusieurs dizaines de kilomètres, et personne ne savait où vous passiez vos vacances. Nous ne serons jamais retrouvés et nous allons mourir ici sans voir personne !
- Allons allons, calmez-vous. Je vais vous raconter une petite histoire qui vous remontera le moral : il y a 5 ans j'ai fait un don de 500 000 dollars à l'Appel à l'Unité Juive (c'est une organisation caritative). Il y a quatre ans, pareil. Il y a trois ans, pareil, il y a deux ans j'ai donné 750 000 dollars, et l'année dernière je leur ai même donné 1 million de dollars…
- Et alors ?, demande le steward.
- Et alors ? Eh bien en ce moment, c'est leur campagne annuelle de recherche de fonds et si il y a une chose qui est sûre, c'est qu'ils me retrouveront…
C'est la vieille Golda Cohen du Sentier qui débarque un jour chez Schlomo l'agent de voyage. Elle lui dit :
- Schlomo, vends-moi un billet pour Calcutta !
- Madame Cohen, pourquoi aller en Inde ? Vous ne préférez pas aller, je ne sais pas moi, en Israël ?
- Non non Schlomo. Je veux juste aller à Calcutta.
- Mais c'est un long voyage. Et puis là-bas, on voyage dans des trains sans confort, remplis à ras bord. Et puis en Inde, qu'est-ce que vous allez manger ? Y'a rien de casher, et puis tout est trop épicé. Et je ne parle pas des maladies que vous risquez d'attraper ! C'est vraiment ce que vous voulez ?
- Oui, c'est en Inde que je veux aller. Alors Schlomo, tu me le vends ce billet ?
Finalement, Schlomo s'exécute et un peu plus таrd, voici la vieille Golda qui arrive à Calcutta. Elle ne se laisse pas démonter par le bruit, les odeurs, la foule et elle se dirige vers l'ashram. Là, elle se joint à la foule qui fait la queue pour voir et dire quelques mots au gourou. Un des assistants du gourou lui dit que ça prendra bien 3 jours de queue avant de le voir :
- C'est d'accord, répond Golda
Enfin, le troisième jour de queue, elle arrive aux portes du bâtiment sасré. Là, un assistant lui dit qu'elle aura le droit de prononcer 6 mots uniquement. :
- Ça ira, répond Golda
Golda est alors escortée à l'intérieur du sanctuaire, dans la salle où le grand sage prodigue ses conseils et donne sa bénédiction aux initiés. Juste avant qu'elle ne s'adresse au Sage, un assistant lui rappelle :
- Attention, pas plus de 6 mots…
Et alors qu'elle arrive devant le vieux gourou, au lieu de s'agenouiller et de se prosterner devant lui comme les autres disciples, la vieille Golda s'arrête, se croise les bras regarde le gourou dans les yeux et lance sur un ton autoritaire :
- Abraham, rentre à la maison maintenant !
C'est deux mouches qui ont passe tout l'été à s'amuser ensemble, et la bise venant, elles décident de se séparer et d'aller passer l'hiver quelque part au chaud, et de se retrouver au printemps.
La mouche n'étant pas migratrice, c'est connu, la première se met en quête d'une étable chauffée dans les environs et passe l'hiver dans le coin d'une poutre.
Le printemps arrivant, elle sort de son trou et volette gaiement jusqu'au point de rendez-vous et elle attend sa compagne.
Le printemps passe, toujours personne.
- « Bah, elle est un peu frileuse et attend l'été », se dit-elle.
L'été passe, toujours personne.
- « Bah, elle a un peu de rетаrd, elle a du folâtrer dans les environs », se dit-elle.
L'automne passe, il commence a faire froid. Alors la première mouche se dit que l'autre est morte ou a été mangée, et elle se prépare a retourner dans sa cachette pour l'hiver.
C'est alors qu'elle voit arriver l'autre mouche, les ailes froissées, volant difficilement, haletant, qui tant bien que mal finit par se poser à côté d'elle et s'écroule.
- Eh, ça va pas ? Qu'est-ce qui t'arrive ?
- Ah, ah, (respiration suffocante), c'est horrible, voilà, j'ai passé l'hiver dans le porte-monnaie d'un juif, et il vient juste de le rouvrir !
Il était une fois un rabbin dont la femme attendait son premier enfant. Lors de la réunion des fidèles à la synagogue, le rabbin demanda une augmentation de ses indemnités. La communauté décréta qu'à chaque fois que le rabbin verrait sa famille s'accroître d'un enfant, sa paie en serait réévaluée d'autant.
Après cinq ou six enfants, la note commença à devenir assez élevée pour la congrégation. Les ouailles tinrent assemblée à ce sujet. Comme on peut s'en douter, les discussions allèrent bon train.
Voyant que tout cela prenait un tour un peu sombre, le rabbin tenta une percée :
- Mais enfin, avoir des enfants, c'est la volonté du tout puissant !
Alors du fond de la salle, un petit homme répondit :
- Vous avez raison rabbin, mais la neige et la pluie sont eux aussi des actes de volonté divine, et cependant, ça ne nous empêche pas de mettre un capuchon !