Blague sur les juifs, Humour Juif
C'est l'histoire d'Abraham qui vient d’emménager dans une bourgade très catholique.
Et depuis qu'Abraham s'est installé à côté de l'église, tous les vendredi parmi les grenouilles de bénitier, c'est le branle-bas de combat parce que, au lieu de manger tout bonnement du poisson comme tout le monde, Abraham fait des steaks au barbecue dans son jardin.
Pas décidés à s'en laisser compter, les cathos du coin décident de convertir le juif au catholicisme. C'est dur, mais finalement, à force de menaces et de supplications, ils réussissent ; ils emmènent Abraham chez le curé qui lui balance quelques gouttes d'eau bénite sur le crâne et qui psalmodie :
- « Tu es né juif
Tu as été élevé comme un juif
Tu es maintenant un catholique. »
À la fin de la cérémonie, c'est la liesse parmi les cathos. Ils pensent :
- « Enfin ! Nous n'aurons plus à respirer ces odeurs de viande grillée le jour du poisson ! »
Mais le vendredi suivant, l'odeur du barbecue et de la viande grillée flotte dans tout le voisinage. Tous les cathos foncent directement chez Abraham pour lui rappeler à quel régime alimentaire il est censé souscrire le vendredi… Et ils le voient dans le jardin, en train d'arroser une entrecôte d'un peu d'eau et disant :
- « Tu es né vache
Tu as été élevé comme une vache
Tu es maintenant du poisson. »
Alors qu'il célébrait l'office du Vendredi soir, le rabbin remarqua qu'une de ses ouailles était venu à la synagogue avec son chien, un bon vieux gros Sаinт Bernard !
Le rabbin, horrifié par cet affront demanda au chantre de continuer l'office et alla parler avec l'irrespectueux.
Le rabbin :
- Qu'est-ce que vous faîtes dans ce lieu avec votre chien ?
Le propriétaire :
- Ben c'est le chien qui a réclamé pour venir prier…
- Hé hо, faudrait voir à pas se foutre de moi, hein ?
- MAIS SI, je dis vrai !
- Je ne te crois pas. Ce n'est pas bien de se moquer de son rabbin tu sais…
- Mais c'est la pure vérité, et d'ailleurs, il va vous le prouver. Vas-y Junior, montre au rabbin pourquoi tu as voulu venir.
Alors le chien ouvre son tonnelet qu'il avait accroché au cou, l'ouvre avec sa grosse papatte, en retire une kippa qu'il se place sur la tête, puis un tallith qu'il se met sur le cou, puis enfin, il prend un livre de prières et commence à psalmodier en hébreu ! Le rabbin est tellement estomaqué qu'il écoute le chien bouche bée pendant un quart d'heure sans bouger.
Quand le rabbin reprend ses esprits, il est tellement impressionné qu'il dit au propriétaire :
- Dites un peu, vous n'avez jamais songé à envoyer votre chien dans une école rabbinique ?
Et le gars répond :
- Vous n'avez qu'à le lui demander ! Lui veut devenir docteur !
Une touriste, en promenade dans une ville étrangère, remarque que sa montre ne marche plus. Elle commence à chercher une boutique d'horlogerie pour la faire réparer. Or, dans le quartier où elle se trouve, toutes les enseignes sont écrites en hébreu.
Elle trouve enfin un magasin dont la vitrine est remplie de toutes sortes d'horloges. Elle entre et dépose sa montre sur le comptoir, devant le propriétaire de la boutique.
- Pouvez-vous me réparer cette montre ?
- Non, madame, ça m'est tout à fait impossible.
- Mais pourquoi ? Il s'agit d'un modèle très ordinaire !
- Hélas, je ne peux pas vous aider. Je ne suis pas horloger. Je suis rabbin, et j'effectue des circoncisions.
- Mais alors, pourquoi ces horloges dans votre vitrine ?
- Chère madame, qu'aurais-je dû y mettre, à votre avis ?
Tous les matins depuis 30 ans, Sarah se fait une tartine de confiture au petit déjeuner, et tous les matins depuis 30 ans, la tartine tombe à terre côté confiture. Un jour, un miracle, la tartine tombe sur l’autre côté.
Bouleversée, elle se précipite chez le rabbin :
- Rabbi ! Est-ce Dieu qui me fait un signe ?
Ne sachant que penser, le rabbin demande un délai de 3 jours avant de lui répondre.
Il passe la première journée en prières afin que le Très Haut l’assiste dans sa tâche, il s’isole du reste du monde le second en une intense méditation et enfin, il fait appel le troisième jour à quelques-uns de ses plus éminents collègues.
Sarah revient chercher sa réponse le matin du quatrième jour :
- Alors Rabbi ? Dieu m’a-t-il adressé un signe ?
- Non ma fille, répond le vieux rabbin désolé, ce matin-là tu as mis la confiture du mauvais côté.
Moïse et Sarah, créateurs d’une start-up (option confection) dans la Silicon Sentier, reviennent d’un séminaire sur le capital-risque à San Francisco quand leur avion s’écrase dans l’océan. Ils arrivent à agripper un radeau de sauvetage et, seuls survivants, commencent à ramer au milieu des flots quand
Sarah demande à Moïse :
- Dis, Moïse, avant de partir, tu as payé l’URSSAF ?
- Mais enfin Sarah mais tu es complètement folle ma fille, on s’en fout de l’URSSAF on est au milieu de l’océan, garde ton énergie pour ramer, la vérité.
Sarah hausse les épaules, se tait et continue de ramer. Un peu plus lоin, ils arrivent sur une île déserte et s’échouent sur la plage. Moïse fait le tour de l’île sans trouver d’habitants, il revient désespéré et la Sarah lui redemande :
- Dis, Moïse, avant de partir, tu as payé l’URSSAF ?
- Mais enfin Sarah tu as une insolation, lâches moi avec ton URSSAF, on est sur une île déserte, essaye plutôt de faire du feu pour attirer les navires.
Là-dessus un navire croise l’île au lоin, Moïse se met à hurler pour attirer son attention mais rien à faire, le navire passe bien trop lоin, Moïse se met à pleurer et Sarah lui demande encore une fois :
- Dis, Moïse, la vérité, tu as payé l’URSSAF ?
Là, Moïse explose et hurle :
- Mais je m’en fous de ton URSSAF à la fin, et NON je ne les ai pas payés avant de partir si tu veux savoir !
Sarah sourit sereinement et lui répond :
- Aaaah, mais alors t’inquiète pas, ils finiront bien par nous retrouver, va…
Dans un bar du Sentier, un soir, un médecin, un avocat et Simon Benchemoul se retrouvent à discuter devant leur verre.
Après sa énième gorgée de whisky, le docteur se laisse aller aux confidences :
- Demain c’est l’anniversaire de ma femme. Je lui ai acheté un solitaire et une Mercedes. Comme ça, si elle n’aime pas le diamant, elle aura toujours sa voiture et elle saura combien je l’aime.
L’avocat finit son verre et poursuit :
- Oh moi, pour le dernier anniversaire de ma femme, je lui ai payé un collier de perles et une croisière aux Seychelles. Comme ça, moi aussi, j’étais sûr que si le collier de perles ne lui plaisait pas, elle profiterait quand même du voyage. C’était ma façon de lui montrer combien je l’aime.
Simon Benchemoul appelle alors le barman, lui dit de remettre une tournée et avoue :
- Eh ben moi, pour son dernier anniversaire, j’ai acheté à ma femme un robot ménager et un vibromasseur. Comme ça je me suis dit :
- « Si jamais elle aime pas mon cadeau, elle pourra toujours aller se faire mettre toute seule ».
Isaac, représentant de commerce, profite de son passage à Paris pour acheter une belle pièce de tissus. Il se rend dans le Sentier, voit une boutique au nom de « Levy, confection homme ».
- Bonjour Monsieur. J'ai trouvé ce tissu. Pourriez-vous me faire un costume avec ?
- (Il examine la pièce) Oui bien sûr. Mais il n'y a pas beaucoup de tissu, je ne pourrai faire qu'un Spencer et un short.
Ils discutent des tarifs et Isaac ressort, en disant qu'il va réfléchir.
Il marche cinquante mètres et entre chez « Cohen, confection pour homme ».
- Bonjour Monsieur. J'ai trouvé ce tissu. Pourriez-vous me faire un costume avec ?
- (Il examine la pièce) Oui bien sur. Je vous prend les mesures, et dans une semaine vous revenez faire l'essayage. Je vous fais un trois pièces.
Ils s'entendent sur les tarifs, le tailleur prend les mesures, et une semaine après, ils se retrouvent pour les essayages. Le costume tombe pile-poil. Isaac paye, va pour sortir, et voit entrer dans la boutique un petit garçon, marchant à peine, avec un gilet dans le même tissus que son costume. Le tailleur est un peu gêné, et explique :
- Il me restait une chute, alors…
- Bien sur, vous avez bien fait. Au fait, avant de venir chez vous, je suis passé chez Levy, et il m'a dit qu'avec le tissu que j'avais, il ne pouvait faire qu'un Spencer et un short. Or vous, vous m'avez fait le trois pièces impeccable et il reste de quoi faire un gilet pour le gosse.
- Ah Monsieur Levy ?, oui je comprends : c'est que lui, son fils, c'est un géant, il mesure deux mètres et joue au rugby.
Samuel rencontre son vieil ami Simon :
- J'ai une affaire extraordinaire à te proposer, Simon. Un stock de pantalons du dernier cri à moitié prix !
Simon est évidemment intéressé et achète le lot. Malheureusement, en ouvrant les colis il découvre que les pantalons n'ont qu'une jambe...
- Qu'est-ce que tu m'as vendu, escroc ! dit-il furieux. Ces pantalons sont inutilisables !
- Je sais bien Simon, répond Samuel. Mais tu te rends compte, moitié prix !
- Oui... Evidemment...
Le lendemain, Samuel appelle son vieil ami Jacob :
- J'ai une affaire extraordinaire à te proposer, Jacob. Un stock de pantalons du dernier cri à moitié prix !
Jacob achète, découvre le défaut, râle pendant quelques heures et appelle dès le lendemain son vieil ami Nathanaël...
Le stock de pantalons à une jambe tourne ainsi durant quelques années, jusqu'à qu'un acheteur ait l'idée de vendre les pantalons à son vieil ami Martin :
- Mais qu'est-ce que c'est que cette saloperie ! crie Martin en découvrant le stock. Ces pantalons sont invendables !
- Tu veux rire ?!? répond son ami. Ça fait des années qu'ils font vivre tout le quartier !
Deux mères juives sont en train de discuter de leur fils respectifs qui sont l'un comme l'autre en prison.
La première dit :
- Oïe, si tu savais, mon fils, il a vraiment pas de chance. Il est dans un QHS à Fleury-Mérogis, on ne lui permet pas de voir d'autres personnes, il a tout juste le droit de marcher une heure par jour, tout seul...
La deuxième lui répond :
- Oh, le mien, il est à la prison de Fontainebleau. On lui laisse pas mal de libertés : il a droit au parloir, il m'écrit toutes les semaines, il a accès à la librairie de la prison comme il veut, il est même en train de prendre des cours pour passer son bac...
Alors la première :
- Oïe, comme vous devez être fière !