Une religieuse prend un taxi pour se rendre à Dunkerque et constate que le beau chauffeur n’arrête pas de la regarder.
Elle lui demande pourquoi il la regarde si intensément.
Il répond :
- J’ai une question à vous poser, mais je ne voudrais pas vous offenser.
Elle répond :
- Mon fils, tu ne peux pas m’offenser. Quand tu auras mon âge et aura été une religieuse aussi longtemps que je l’ai été, tu auras vu et entendu à peu près tout. Je suis certaine que rien de ce que tu pourrais me dire ou me demander ne serait une offense.
- Et bien, j’ai toujours eu le fantasme qu’une religieuse me donne un baiser.
Elle répond :
- Et bien, nous allons voir ce que nous pouvons faire. Premièrement vous devez être célibataire et deuxièmement vous devez être catholique.
Le chauffeur du taxi est très excité et dit :
- Oui, je suis célibataire et je suis catholique !
- Très bien, tournez dans la prochaine contre-allée.
La religieuse comble son fantasme avec un baiser à faire rougir une prostituée.
Alors qu’ils reprennent leur route, le chauffeur commence à pleurer.
- Mon cher enfant, dit la religieuse, pourquoi pleurez-vous ?
- Pardonnez moi pour d’avoir péché. Je dois confesser que j’ai menti, je suis marié et je suis juif.
La religieuse dit:
- Ne vous en faites pas. Je moi c’est Alain et je vais au carnaval!

Pour la première fois de sa vie, Marcel l’agriculteur peut partir en vacances. Il s’en fut voir Salomon, son meilleur ami, et lui tient à peu près ce langage :
- Ecoute Salomon, c’est la première fois de ma vie que je peux partir en vacances. Pour les vaches, je les ai confiées à Martin. Mais j’ai encore un truc précieux et j’ai pas confiance dans les banques. Si je te le confie, tu me promets d’y veiller comme la prunelle de tes yeux ?
- Pas de problème Marcel, mais c’est quoi ?
- C’est ce petit coffret. Et il tend à Salomon un petit coffret, de la taille d’une boîte à cigares.
- Tu peux partir tranquille, et passe de bonnes vacances !
Mais le Salomon, en cette période de sa vie, il crève de faim. Au bout d’une semaine, il ouvre le coffret et là, oh surprise ! c’est un Сhrisт en or massif de воnnе taille. Salomon se dit que c’est vraiment trop соn de mourir de faim à coté d’un Сhrisт en or massif. Il sort son canif, découpe un petit copeau, va le vendre au bijoutier et s’achète à manger pour la semaine.
Au bout d’une semaine, il a toujours aussi faim. N’y tenant plus, il découpe un autre copeau à un autre endroit, va le vendre, et s’achète à manger.
Et le Marcel rentre de vacances. Il file chez le Salomon lui demander son coffret.
- Tu n’as pas perdu mon coffret, Salomon ?
- Non Marcel, le voila. Marcel ouvre le coffret, regarde le сhrisт et dit, mi surpris, mi étonné :
- Il a pas maigri ?
- Ecoute Marcel, tu m’as demandé de le garder, pas de le nourrir.