Dans un cabinet d'avocats, la standardiste répond au téléphone :
- Ici le cabinet d'avocats Smith et Wesson, bonjour.
- Bonjour. Pourrai-je parler à maître Wesson?
- Ah, je suis désolée mais maître Wesson est décédé hier...
Là-dessus, la personne à l'autre bout du fil raccroche directement.
Dix secondes plus таrd :
- Ici le cabinet d'avocats Smith et Wesson, bonjour.
- Bonjour. Pourrai-je parler à maître Wesson ?
- Je suis désolée mais maître Wesson est décédé hier...
Là-dessus, la personne à l'autre bout du fil raccroche aussi sec.
Dix secondes plus таrd :
- Cabinet d'avocats Smith et Wesson, bonjour.
- Bonjour. Pourrai-je parler à maître Wesson ? (la standardiste reconnaît la voix cette fois-ci), :
- Madame, cela fait déjà deux fois que je vous dis que maître Wesson est décédé hier... Je pense que vous avez compris maintenant.
- Oh oui oui, j'ai très bien compris. Mais j'aime tellement vous entendre m'annoncer cette nouvelle.
Les deux célèbres avocats Vergès et Collard se retrouvent pour faire un parcours de golf. Avant d’attaquer le premier trou, ils se font un pari :
- On va dire que celui qui l’emporte aura le droit de passer à la télé pendant 1 mois sans que le perdant ne se manifeste pendant ce temps-là, Ok ?
- Ok !
Et les voilà partis.
Les deux gars font un excellent parcours. À la fin du 17ème trou, Collard est en avance d’un coup, mais comble de malchance, il balance sa ваllе dans le rough!
Il appelle Vergès :
- Viens m’aider à la retrouver. Elle doit être dans ce coin là…
Et ils se mettent à la chercher tous les deux.
Après quelques minutes, les recherche restent infructueuses ; Collard ne voulant pas se prendre une pénalité de quatre points sort une ваllе de sa poche et la balance négligemment dans l’herbe, puis aussitôt après, il s’écrie :
- Ah la voilà. Je l’ai retrouvée.
Vergès le regarde en fronçant ses sourcils pour bien marquer sa réprobation et lui répond :
- Après toutes ces années pendant lesquelles nous avons joué ensemble, tu ne vas pas me dire que tu tricherais simplement pour passer à la télé pendant un mois ?!
- Quoi ? Moi ? Tricher ?! Mais enfin, je viens tout juste de retrouver ma ваllе ici !
- Et en plus tu mens ! J’en ai la preuve irréfutable : ça fait 5 minutes que j’ai le pied sur TA ваllе.
Un avocat défend sa cliente, une très jolie femme. Faute d’arguments, il termine ainsi sa plaidoirie :
- Monsieur le Président, Messieurs les jurés, vous vous trouvez devant un seul choix : ou mettre cette femme dans une cellule de prison sale, sombre et humide ou la laisser rentrer chez elle, 18 rue de la Reine, escalier B, 6e étage, porte de droite, téléphone 06 42 58 31 xx. Messieurs, à vous de juger !
C’était une belle journée d’été qui s’annonçait. Quelques pêcheurs à la crevette équipés de cirés et de bottes draguaient le bord de la plage tandis que des mouettes décrivaient dans le ciel des arabesques tout en piaillant d’excitation.
Deux potes mouettes discutaient tout en volant :
- « Eh, si on allait fienter sur les pêcheurs pour rigoler ? »
Aussitôt dit, aussitôt fait, voilà les deux mouettes qui descendent en piqué sur leurs cibles. Mais aussi bien l’une que l’autre tirent à côté.
Dépitées, elles reprennent de l’altitude et voient alors un corbeau passer au-dessus d’un premier pêcheur, lui lâcher une fiente sur la main, continuer un peu plus lоin sur un autre adepte de la pêche à la crevette et « pof », lui lâcher en piqué une perlouze au beau milieu du crâne, et terminer finalement par une attaque de face en lui collant un саса en plein dans l’œil !
Les deux mouettes qui avaient raté leur tir et qui venaient d’assister médusées à cette reconstitution de Pearl Harbour s’approchent alors du corbeau et lui demandent :
- « Waow, quel bombardier tu fais. Où tu as appris à chier sur les gens comme ça ? »
Et le corbeau leur répond :
- « Bah, j’ai pas de mérite. Je suis super entraîné : dans ma vie précédente, j’étais avocat. »
Un affreux bandit s’est vu désigner un avocat d’office. Celui-ci, visiblement borné, est présenté à son client, par le juge d’instruction.
- C’est… ça, mon avocat ? Balbutie l’inculpé.
- Oui.
- Mais, dites-moi, monsieur le juge, s’il venait à mourir, on m’en désignerait un autre ?
- Evidemment.
- Alors est-ce que je pourrais le voir, en tête-à-tête, pendant quelques instants ?