Blague sur les juifs, Humour Juif
Simon Golsdtein et David Birnbaum, deux amis d’enfance, se retrouvent au salon du prêt-à-porter.
- Simon, comment ça va mon ami ? Depuis le temps…
- Pas mal et toi ? répond Goldstein.
- Oh moi… dit Birnbaum, ça allait bien jusqu’à maintenant… Mais alors, la semaine dernière, ça a été le bouquet. Tu ne peux pas savoir les malheurs qui me sont tombés dessus !
- Qu’est-ce qui t’est arrivé ? Demande Goldstein.
L’autre répond avec force gémissements :
- Ma femme et moi sommes allés en Floride en vacances. Il a plu pendant sept jours et sept nuits. Un comble ! Du coup, ma femme est sortie et a dépensé des milliers de dollars sur la carte de crédit. Je suis revenu à Paris et j’ai découvert que mon comptable de beau-frère, ce rat, m’avait arnaqué pour des millions. Et ce n’est pas tout ! Le top du top, ça a été quand je suis rentré à l’usine lundi matin : j’ai trouvé mon fils en train de prendre en levrette mon mannequin vedette sur mon bureau !
- Bah, que ton fils ait forniqué avec ton mannequin vedette, ce n’est pas si grave que ça, répond Goldstein.
- Un peu que si ! Sanglote Birnbaum. Je fabrique des vêtements pour homme !
C’est l’entraîneur d’une équipe de football américain qui est en train de regarder CNN. Le reportage montre la guerre dans les territoires occupés, et plus précisément, il décrit les combats vécus du côté israélien : tout le reportage est centré sur un jeune appelé qui est la coqueluche de tous ses camarades car il a une force et une précision dans le bras incroyables !
On le voit tout d’abord jeter une grenade à main à plus de 100 mètres juste dans l’immeuble d’où provenaient les tirs palestiniens : BOUM !
Ensuite, il jette une autre grenade à main sur un groupe d’ennemis cachés derrière les ruines d’un char : Et RE-BOUM !
Enfin, c’est une voiture qui passe devant lui à plus de cent à l’heure et paf il parvient à faire passer la grenade par la vitre des assaillants et la voiture explose !!!
- « Je dois obtenir ce type pour le championnat » se dit l’entraîneur. Il décroche son téléphone, passe plusieurs coups de fil, donne quelques pots-de-vin par-ci-par-là, et une semaine plus таrd, le jeune troufion israélien est aux États-Unis, sur un terrain, en train de subir son premier entraînement de football américain.
Comme l’entraîneur l’avait subodoré, le jeune homme pulvérise tous les records de la NFL pour la précision de ses lancers et pour les touchdowns qu’il a généré. L’équipe va grâce à lui gagner le Superbowl.
Le jeune israélien est traité en véritable héros. L’entraîneur qui veut le remercier lui demande alors ce qu’il souhaite le plus au monde :
- « Je veux passer un coup de fil à ma mère », répond le jeune héros.
L’entraîneur donne son portable au jeune quarterback :
- Maman ? C’est toi ? Tu ne devineras jamais maman : j’ai gagné le Superbowl !
- Je ne veux pas te parler, dit la vieille femme. Tu nous a abandonnés. Tu n’es plus mon fils.
- Maman, je ne pense pas que tu comprennes ce qui m’arrive, plaide le jeune homme. Je viens de faire remporter à mon équipe la compétition sportive la plus regardée au monde ! Tous les jours, je suis cerné par des centaines de fans en délire dès que je quitte mon appartement.
- Non, laisse-MOI te dire ce qui ne va pas, s’énerve la mère. Au moment où je te parle, il y a des gens armés tout autour de nous. Ça tire dans tous les coins. On n’ose plus sortir de la maison. Le voisinage n’est qu’une pile de gravats, tes deux frères ont été battus par un groupe de vauriens et ta sœur a été attaquée et violée en plein jour !
La vieille dame marque une pause, elle est en larmes, et elle ajoute :
- « … Je ne te pardonnerai jamais de nous avoir fait déménager à Miami. »
Un juif immigre à New-York et s’installe à Manhattan à côté de la banque Rothschild. Besogneux et bon commerçant, il confectionne des cornets de frites, et sa petite boutique prospère gentiment.
Ses amis, naturellement se rappellent à son bon souvenir, et l’un d’eux lui demande :
- Je sais que tes affaires marchent bien, cela ne te gênerait certainement pas de me prêter un peu d’argent, mes affaires ne vont pas très bien.
Et le petit commerçant répond :
- Ah là là, mais je ne peux pas, j’aurais bien voulu mais… Vois-tu, je vais te faire une confidence, lorsque je me suis installé ici, j’ai passé un accord avec Rothschild : je ne fais pas de prêt, et eux ne vendent pas de frites.
Dans une école hébraïque, la leçon vient de se terminer. C’est maintenant l’heure des questions.
- Monsieur, demande David, il y a quelque chose que je ne comprends pas.
- Oui ? Qu’est-ce que c’est ?
- Eh bien, selon la Torah, les Enfants d’Israël ont traversé la Mer Rouge, juste ?
- Juste.
- Et les Enfants d’Israël ont battu les Phillistins ?
- Euh, oui.
- Et les Enfants d’Israël ont construit le Temple ?
- Oui, c’est juste.
- Et les Enfants d’Israël ont combattu les Égyptiens, et les Enfants d’Israël ont combattu les Romains, et les Enfants d’Israël étaient tout le temps en train de faire des trucs vachement importants, non ?
- Euh…, oui. Quelle est ta question ?
- Ben, je me demandais, qu’est-ce que faisaient les adultes pendant tout ce temps ?
Un contrôleur des impôts arrive un jour dans la synagogue d’un petit village pour un contrôle fiscal inopiné.
Le rabbin l’accompagne pour une visite des lieux.
- Alors dites-moi, Monsieur le rabbin, après avoir distribué votre pain azyme, que faites-vous des miettes ?
Le rabbin, bon enfant répond :
- On les rassemble précautionneusement, et on les expédie en ville où ils refont du pain avec et nous le renvoient.
- Hmmm… Et la cire des chandelles non brûlées ? Que faites-vous des restes ?
- Eh bien, c’est pareil : on récupère les bouts et on les renvoie en ville pour faire de nouvelles bougies avec, qui nous seront réexpédiées.
- Hmmm hmmmm… A propos, je me suis toujours demandé… continue le vérificateur, pour la circoncision, qu’est-ce que vous faites de tous ces bouts de prépuces ?
D’un ton neutre, le rabbin dit :
- On les envoie en ville.
- En ville ? questionne encore le contrôleur, et qu’est-ce qu’ils peuvent bien vous renvoyer en échange de ça ?
Et rapide comme la foudre divine, le rabbin le foudroie en disant :
- Aujourd’hui, c’est vous qu’ils nous ont envoyé !
Une marieuse professionnelle vient proposer ses services à Samuel, riche businessman du Sentier.
Elle se présente et lui offre sur un plateau une très jolie jeune fille, un vrai prix de beauté, et qui plus est, issue d’une famille très comme il faut. Mais Samuel reste circonspect…
- Je suis un homme d’affaires, dit-il. Avant que je n’achète quelque chose dans une fabrique, j’ai besoin d’échantillons. Alors, lorsque je veux me marier, je veux un échantillon aussi !
La marieuse est un peu déçue de sa réaction, mais elle transmet le message à la jeune fille :
- Il dit qu’il n’a rien contre, mais que comme dans son métier, il doit toujours savoir exactement ce qu’il achète, et du coup, il insiste pour obtenir un échantillon.
La jeune fille lui répond sans sourciller :
- Ecoutez, moi aussi je connais les affaires. Vous lui direz qu’il n’aura pas droit à un échantillon, mais que s’il le désire, je pourrai lui fournir une pleine page de références et de recommandations !
Un juif grimpe tous les soirs en haut d’une colline pour implorer Dieu :
- Mon Dieu, faites que je gagne au loto. Mon Dieu, faites que je gagne au loto…
Et tous les soirs il monte en haut de la colline et récite cette même prière :
- Mon Dieu, faites que je gagne au loto. Mon Dieu, faites que je gagne au loto…
Et un jour, alors qu’il implorait comme à son habitude, le ciel s’obscurcit tout à coup, le tonnerre gronda et une voix de stentor venue de nulle part se fit entendre.
C’était Dieu qui, excédé des implorations du Juif, lui dit :
- Ecoute David, ça fait 15 ans que tu viens tous les soirs me bassiner avec ton histoire de loto. Je t’avoue que ma divine patience commence à être à bout. Alors, c’est d’accord, je veux bien te faire gagner au loto. Mais à une seule condition : achète au moins un billet de loto !
L’histoire se passe en 1936 en Allemagne. Dans un compartiment de train, un vieux juif est assis devant un FeldGeneral bardé de décorations.
A un moment, le vieux juif sort de sa poche un morceau de papier alu contenant deux sardines à l’huile. Il mange goulûment ses deux sardines, remet ses déchets dans le papier alu, et le tout dans sa poche.
Pendant ce temps, le général l’a regardé d’un air pensif. Vu qu’ils sont seuls dans le compartiment, au bout d’un moment, le général demande au vieux juif :
- Tu es juif ?
- Ja, Herr General…
- Dis-moi, comment vous faites, vous les juifs, pour être d’aussi bon commerçants ?
- Ah, ça, herr General, c’est un secret qui ne peut être transmis que d’un juif à un autre juif… Je ne peux pas vous le dire.
- Ecoute. Voilà 5000 marks. Tu les prends et tu me dis ton secret, ou je t’envois dans un camp !
- Bon, d’accord, herr General, dit le vieux en empochant les 5000 marks. Vous voyez, si nous, les juifs, on est de bons commerçants c’est parce qu’on a de ça dans la tête…
Et il se tape le front de la paume de la main. Le général, en faisant le même geste :
- Et comment fait-on pour avoir de ça dans la tête ?
- Si on a de ça dans la tête, c’est parce qu’on mange de ça.
Et il tapote la poche où il a fourré ses déchets de sardine. Le général lui dit :
- Donne-moi ce que tu as dans la poche !
- Je ne peux pas le partager avec un goy…
- Tiens, voilà encore 5000 marks, je te les achète.
Le vieux lui donne les déchets de sardine, que le général déballe et mange avec moult haut-le-coeur. Quand il a fini, il regarde le vieux juif, l’air pensif, et il lui dit :
- Attends… Je viens de manger les déchets de sardine que je t’ai achetés 5000 marks, sans compter les 5000 marks que je t’ai donné avant. Et toi, les sardines, tu les avais déjà mangées…
Le vieux se tape le front avec la paume de la main et dit :
- Ben vous voyez ! Ça commence à rentrer !
Samuel et Joseph se rencontrent :
- Eh, Samuel, comment tu vas ?
- Ça va, ça va et ça va pas…
- Comment ça ?
- Bah, tu vois, Joseph, lundi, tout allait bien, j’avais gagné au tiercé ! Mercredi, tout allait bien, j’avais gagné au loto ! Et Jeudi, tout va mal, Joseph !
- Pourquoi donc, que s’est-il passé ?
- Bien, de tout ce que j’avais gagné, j’ai pensé pouvoir en consacrer un peu à trouver une jeune fille sympathique, tu comprends. Alors, on m’avait donné une adresse d’une fille superbe, jeune et tout et tout.
- Et alors ?
- Alors, Joseph, j’y suis allé. J’ai sonné et devine, Joseph, le grand malheur !
- Mais quoi donc ?
- La fille est venue ouvrir. Ah, Joseph, assieds-toi ! Ma propre fille, Joseph, ma propre fille !
- Et, qu’as-tu fait ?
- Eh, j’avais déjà payé !