Meilleures Blagues

C'est un fermier qui vit tout seul avec son chien, dans une ferme isolée de la lande irlandaise.
Mais le chien est vieux, très vieux, et un beau jour, il meurt.
Le fermier et bouleversé. Il s'en va voir le prêtre du village et lui dit:
- Mon père, mon chien est mort. Je n'avais que lui pour me tenir compagnie. C'était un chien foncièrement bon. Pourriez-vous dire une messe pour lui?
Le curé lui répond:
- Hé non, malheureusement. Il nous est interdit de dire des messes pour les animaux; mais il y a une chapelle protestante au bout de la rue, peut-être qu'avec un don ils accepteraient de faire quelque chose... pour votre animal.
Le fermier répond.
- D'accord. Je vais essayer auprès d'eux. Vous pensez qu'un don 1000 £ suffirait?
Et le curé:
- 1000 £ ?!! Pourquoi ne pas m'avoir pas dit que votre chien était catholique?
C'est une vieille dame de 75 ans qui a une vision une nuit, elle voit Dieu et lui parle.
Elle lui demande :
"Combien de temps me reste-t-il à vivre?"
Dieu lui répond:
"Il te reste encore 35 ans à vivre!"
Aussi pendant toute l'année qui a suivi cette révélation, la vieille dame subit des tas d'opérations de chirurgie esthétique, sa peau est retendue, son nez refait, elle fait des liposuccions... Elle est pour ainsi dire, refaite à neuf ! Elle pense que comme elle doit vivre encore 35 ans autant qu'elle ait l'air jeune de nouveau.
Après que tout soit enfin terminé, elle se décide à rentrer chez elle et au cours de cette même année, elle se fait renverser par une voiture et elle meurt sur le coup.
Arrivée aux portes du Paradis, c'est Dieu en personne qui la reçoit.
Elle lui demande tout de go :
- "Que s'est-il passé ? Il me semble que Vous m'aviez dit que je devais vivre encore 35 ans !!!"
Et Dieu de répliquer :
- "Nom de Moi, je ne vous avais pas reconnu !"

Un jeune novice arrive au monastère.
La tâche qui lui est assignée est d'aider les autres moines copistes à recopier les anciens canons et règles de l'église.
Il remarque que ces moines effectuent leur travail à partir de copies et non des manuscrits originaux.
Il va voir le Père abbé, lui faisant remarquer que si quelqu'un a fait une petite erreur dans la première copie, elle va se propager dans toutes les copies ultérieures.
Le Père abbé lui répond :
- "Cela fait des siècles que nous procédons ainsi, que nous copions à partir de la copie précédente, mais ta remarque est très pertinente, mon fils. Aussi j'irai vérifier moi-même les originaux dès demain".
Le lendemain matin, le Père abbé descend dans les profondeurs du sous-sol du monastère, dans une cave voûtée où sont précieusement conservés les manuscrits et parchemins originaux. Cela fait des siècles que personne n'y a mis les pieds et que les scellés des coffres sont intacts. Il y passe la journée toute entière, puis la soirée, puis la nuit, sans donner signe de vie. Les heures passent et l'inquiétude grandit. À tel point que le jeune novice se décide à aller voir ce qui se passe. Il descend et trouve le Père abbé complètement hagard, les vêtements déchirés, le front ensanglanté, se cognant sans relâche la tête contre le mur de pierres vénérables. Le jeune moine se précipite et demande :
- "Père abbé, que se passe-t-il donc" ?
- Aaaaaaaaaaaaaahhhhh... Les cons !!!!. Quels CONS !!!!... Mais quels CONS !!!!... C'était vœux de "charité"... et pas de "chasteté" !