Le curé reçoit 4 jeunes filles très dissipées pour leur confession. Il leur dit:
" Je veux de l'ordre, ici. Mettez-vous en ligne et chacune à son tour".
La première commence.
Quand elle ressort, les 3 autres la pressent de questions:
"Alors, raconte !"
"Ben, voilà. Il m'a demandé de lui dire mes péchés. Je lui ai avoué qu'une fois, j'avais regardé le sexe d'un homme".
"Et alors ?"
"Il m'a infligé d'aller me laver les yeux dans le bénitier".
Passe la seconde. Mêmes questions à la sortie:
"Je lui ai avoué avoir un jour tenu le sexe d'un garçon dans ma main et il m'a infligé d'aller laver ma main dans le bénitier".
Sur ce, le curé appelle la troisième. Mais la quatrième la bouscule et la devance.
"Voyons, du calme, j'ai demandé de l'ordre !!! Laisse-lui son tour".
"Je veux bien, monsieur le Curé, mais il n'est pas question que je me rince la bouche après qu'elle se soit lavé le cul !".
Un grand-père de 95 ans vient de décéder.
Le petit-fils va présenter ses condoléances à sa grand-mère de 90 ans et trouve sa Mamie en larmes.
Il la prend dans ses bras et la console.
Un moment plus таrd, la voyant plus calme, le petit-fils en profite et lui demande :
- Mamie, comment est mort papi ?...
- C'est arrivé en faisant l'amour, lui confesse la grand-mère.
Le jeune garçon lui répond :
- Mamie, les personnes de 90 ans ou plus ne devraient plus faire l'amour car c'est très dangereux.
Mais la grand-mère lui explique:
- Nous le faisions seulement le dimanche, depuis 5 ans, très calmement, au rythme des cloches de l'église, " ding " pour la mettre, " dоng " pour la sortir...
- Et que s'est-il passé, Mamie ? demande le petit-fils ....
- Но, mon garçon !!! Le marchand de glaces est passé avec sa clochette !!!!
Ce sont trois jeunes candidats à la prêtrise.
L'évêque s'est déplacé spécialement au
Séminaire pour leur faire passer
Un dernier test: le test du célibat
L'évêque conduit les trois candidats dans une pièce, et leur
Demande de se déshabiller. Ensuite, il demande à chacun de s'attacher une petite clochette au pénis au moyen d'une ficelle toute fine.
Lorsque tout le monde est prêt, une superbe fille entre dans la pièce et vient se placer devant le premier candidat. Elle entame un sтriр tease torride... mais n'a pas plutôt enlevé son soutien-gorge que l'on entend le *Tingingling*
L'évêque prend alors la parole:
- Patrick, je suis vraiment désolé pour vous, mais votre manque de self control vous joue des tours. Emportez vos vêtements et courrez prendre une dоuсhе froide. Vous en profiterez pour prier et méditer sur votre faiblesse charnelle.
Pendant ce temps, la jeune fille qui s'était placée devant le
Second candidat avait continué son sтriр tease. Arrivé à la petite culotte l'évêque pu entendre le
*Tingingling*
L'évêque reprend alors la parole:
- Joseph, toi non plus, tu n'es pas capable de réfréner tes
Pulsions charnelle. Une dоuсhе froide et des prières pour toi aussi. Et le second candidat quitte la pièce.
À ce moment, la jeune fille est déjà toute nue, en train de danser et prendre des attitudes toutes les plus suggestives devant le troisième candidat...
Mais RIEN. Elle a beau même se frotter contre le corps de l'éphèbe:
Aucune réaction.
L'évêque est très satisfait et il dit:
- Michael, mon fils, je suis vraiment fier de toi! Tu es le seul a avoir
Eu assez de force de caractère pour ne pas t'être laissé
Aller à tes pulsions charnelles. Tu deviendras un prêtre très rapidement. Maintenant tu peux aller rejoindre tes deux compagnons sous la dоuсhе...
*Tingingling*
Dans les temps anciens, pour s'assurer que quelqu'un était bien décédé, l'usage voulait qu'une personne en charge de cette vérification morde violemment un des doigts de pied de la victime (en général le gros orteil),. Si rien ne se passait, la personne était déclarée morte. C'est donc de là que vient l'appellation de croque-mort.
Cette fonction de croque-mort, qui était en fait une vraie charge, (comme les bourreaux), se transmettait de père en fils depuis la nuit des temps.
Or, un jour, il arriva une catastrophe : le dernier croque-mort, bien qu' ayant eu de nombreux enfants, n'avait aucun garçon. Sa fille aînée reprit donc sa charge, après réunion et avis favorable du conseil des sages et de l'église. Mais voilà, la première victime qu'elle eut à traiter avait une grave maladie : la gangrène l'avait en partie gagnée et on lui avait coupé les 2 jambes jusqu'à hauteur des cuisses.
La jeune fille examina la situation et mordit donc avec précaution le premier membre inférieur qu'elle put trouver.
Ce fut à cette époque, et très précisément dans ces circonstances, qu'on passa de l'expression " croque-mort " à celle de " pompe funèbre".
Un jeune novice arrive au monastère.
La tâche qui lui est assignée est d'aider les autres moines copistes à recopier les anciens canons et règles de l'église.
Il remarque que ces moines effectuent leur travail à partir de copies et non des manuscrits originaux.
Il va voir le Père abbé, lui faisant remarquer que si quelqu'un a fait une petite erreur dans la première copie, elle va se propager dans toutes les copies ultérieures.
Le Père abbé lui répond :
- "Cela fait des siècles que nous procédons ainsi, que nous copions à partir de la copie précédente, mais ta remarque est très pertinente, mon fils. Aussi j'irai vérifier moi-même les originaux dès demain".
Le lendemain matin, le Père abbé descend dans les profondeurs du sous-sol du monastère, dans une cave voûtée où sont précieusement conservés les manuscrits et parchemins originaux. Cela fait des siècles que personne n'y a mis les pieds et que les scellés des coffres sont intacts. Il y passe la journée toute entière, puis la soirée, puis la nuit, sans donner signe de vie. Les heures passent et l'inquiétude grandit. À tel point que le jeune novice se décide à aller voir ce qui se passe. Il descend et trouve le Père abbé complètement hagard, les vêtements déchirés, le front ensanglanté, se cognant sans relâche la tête contre le mur de pierres vénérables. Le jeune moine se précipite et demande :
- "Père abbé, que se passe-t-il donc" ?
- Aaaaaaaaaaaaaahhhhh... Les cons !!!!. Quels CONS !!!!... Mais quels CONS !!!!... C'était vœux de "charité"... et pas de "chasteté" !
Une воnnе soeur est en train de pécher. Soudain elle attrape un énorme poisson, avec une drôle d'apparence... Un pécheur non lоin de la lui dit:
- Oh! Quel bordel de dieu de poisson vous avez là ma soeur!
- Monsieur je vous prie de rester poli! répond la воnnе soeur.
- Je suis désolé ma soeur, mais c'est le nom de cette espèce:
"Un bordel de dieu de poisson"
- Ah, très bien... répond la soeur.
Elle rentre à la paroisse et croise la mère supérieure:
- Ma mère, regardez ce bordel de dieu de poisson que j'ai attrapée!
- Ma soeur! ne jurez pas je vous en prie!
- Excusez moi ma mère, mais c'est le nom de cette espèce:
"Un bordel de dieu de poisson"
- Ok, donnez moi ça je vais le vider.
En partant à la cuisine, elle croise l'évêque et lui dit:
- Mon père regardez ce bordel de dieu de poisson que la soeur a attrapé!
- Hé! Vous ne devriez pas parler comme ça!!!
- Mais non mon père, c'est le nom de cette espèce:
"Un bordel de dieu de poisson"
- Donnez moi ce poisson, je vais le cuisiner!
Le soir à la cantine, un tout nouveau curé partage le repas; il s'écrie:
- Oh! Que ce poisson est bon!
La soeur répond immédiatement:
- C'est moi qui ai pêché ce bordel de dieu de poisson!
- C'est moi qui ai vidé ce bordel de dieu de poisson! continue la mère supérieure.
- Et c'est moi qui ai cuisiné ce bordel de dieu de poisson! termine l'évêque avec fierté.
Le curé, étonné et un peu choqué, s'exclame alors:
- OH DIS DONC! J'AIME DéJà CETTE РUТАIN DE PAROISSE DE МЕRDЕ!!
Un agent secret du MI5 est envoyé en Irlande du Nord pour espionner l'I. R. A.
Sur place, l'agent est censé contacter un agent irlandais dont le nom est Murphy pour obtenir des informations confidentielles. La rencontre doit se faire dans un petit village, au moyen d'une phrase de reconnaissance.
Sur place, l'agent aborde la première personne qu'il voit. C'est un cantonnier:
- Bonjour monsieur. Je cherche un gars qui s'appelle Murphy.
- Ah ben vous, on peut dire que vous avez d'la chance. Dans l'village, le boucher s'appelle Murphy, le boulanger s'appelle Murphy, trois femmes du village sont veuves d'un Murphy, moi-même, je m'appelle Murphy... y a des tas de Murphy par ici!
Alors l'agent se dit "c'est parfait! On va voir si c'est lui mon homme", et il lui balance la phrase de reconnaissance:
- Le soleil brille... L'herbe pousse..... Les vaches vont pouvoir donner du lait.
Et le fermier répond en souriant :
- Oh, vous cherchez Murphy l'agent secret. Dans ce cas il faut voir la dernière maison avant l'église.
C'est un curé qui héberge une nonne chez lui. Un jour, il l'invite à la chasse. La soeur commence par refuser, mais le curé insiste tellement qu'elle finit par accepter. Arrivés en forêt, le curé est aux aguets, alors que la nonne admire la nature en papottant à tort et à travers comme seules les femmes savent le faire...
Tout à coup, le curé voit un lapin, il épaule, tire, et ...
- Bordel de Dieu, raté!
La воnnе soeur, choquée par ce langage, réprimande le curé :
- Voyons, mon Père, ne blasphémez pas, vous allez vous attirer les foudres de Notre Seigneur!!!
- Oh, excusez-moi, ma soeur, je me suis laissé emporter... Je surveillerai mon langage maintenant...
Un peu plus таrd, une perdrix s'envole d'un bosquet. Le curé tire et la manque :
- Bordel de Dieu, encore raté!!!
- Mon Père, de grace, surveillez-vous, vous allez vous attirer les foudres du Ciel!
- Pardonnez-moi, mais je m'emporte, vos babillages me déconcentrent et gène ma visée...
Encore plus таrd, un chevreuil traverse le sentier au lоin. Le curé tire et le rate :
- Bordel de Dieu, raté!!!
La nonne commence à ouvrir la bouche, mais le ciel s'obscurcit, le tonnerre gronde, et un éclair tombe... et fondroie la nonne.
Alors une voix lointaine dit :
BORDEL DE MOI-MêME, RATé
C'était le grand congrès charismatique des Témoins de Jéhovah.
80 000 personnes dans le stade, toutes venues passer deux jours à louer la gloire du seigneur. Après la journée des prières le samedi, nous voici rendu le dimanche à la journée des miracles.
Le grand prêtre (ou grand révérend, ou whatever), se tourne vers la foule et l'invite à prier pour les personnes lésées physiquement ou mentalement.
Il annonce solennellement:
"Y a-t-il dans cette salle quelqu'un qui veut qu'on prie pour lui?"
Légers murmures dans l'assistance. Soudain, quelqu'un se lève et s'approche de la vaste scène. Malgré ses béquilles il réussit à grimper l'escalier jusque sur la scène.
Le grand prêtre lui demande:
"Quel est ton nom?"
"Denis"
"Et quel est ton problème, Denis?"
"J'ai eu un accident il y a plusieurs années et je ne peux me déplacer qu'avec les béquilles."
"Très bien, Denis; va derrière ce paravent. Nous allons tous prier pour toi."
Pendant que Denis marche vers le paravent, le grand prêtre redemande:
"Y a-t-il une autre personne qui veut qu'on prie pour elle?"
Une personne se lève et se dirige vers la scène.
"Quel est ton nom?" demande le prêtre
(voix bégayante), "Mon-mon nom c'est-C'est Jou-Jou seffe"
"Bonjour Joseph, quel est ton problème?"
"J'ai-j'ai un gggra-grave pro-problèmme d'élocu-Cussion."
"Bien Joseph, va derrière ce paravent; nous allons tous prier pour guérir ton problème d'élocution.
Pendant que Joseph marche vers le paravent, le grand prêtre redemande:
"Y a-t-il une autre personne qui veut qu'on prie pour elle?"
Aucun autre personne ne se lève. Le grand prêtre commence alors ses prières appuyé par les 80000 personnes présentes.
Alleluia! Alleluia! Alleluia!
Au bout d'une demi-heure, la foule est en transe. Le prêtre se tourne vers le paravent et crie:
DENIS, JETTE TES BéQUILLES PAR-DESSUS LE PARAVENT!
Une paire de béquilles jaillit du paravent et tombe sur la scène. La foule frémit: MIRACLE! MIRACLE! 35 femmes s'évanouissent! 46000 personnes tombent à genoux!
Le prêtre crie encore: JOSEPH! DIS-NOUS QUELQUE CHOSE!"
"DEU-DEU-NI Y EST TOM-TOMBé...!
Vers la fin de la messe du dimanche, le prêtre demande :
- Combien d’entre vous ont pardonné à leurs ennemis ?
80 % des gens lèvent la main.
Le curé répète sa question.
Tous lèvent la main cette fois-ci, sauf un vieillard, un golfeur passionné qui s’appelle Jean.
Il assiste à la messe seulement quand la météo est mauvaise.
- Jean,… puisqu’il ne fait pas assez beau pour jouer au golf, je vous souhaite la bienvenue dans notre église.
Vous ne voulez pas pardonner à vos ennemis ?
- Je n’ai aucun ennemi, répond-il tranquillement.
- Jean, ceci est très inhabituel. Quel âge avez-vous ?
- 99 ans et 11 mois et 1/2.
Toute la foule se lève et l’applaudit.
- Monsieur Jean, pourriez-vous, s’il vous plaît, venir devant l’autel, et nous dire comment une personne peut vivre 99 ans et 11 mois et 1/2 et n’avoir aucun ennemi ?
Le vieux Jean marche le long de l’allée et vient dire au micro avec un petit sourire sur les lèvres :
- Ils sont tous morts, ces enfoirés !…
C'est l'histoire d'un avion qui transportait entre autres une équipe de rugby (argentine je crois), et qui se crashe dans la cordillère des Andes.
Ils ne sont plus qu'une dizaine de survivants et attendent les secours avec impatience. Longtemps. Très longtemps.
Malheureusement, au bout de 10 jours, aucun sauveteur à l'horizon.
C'est alors que le curé (et oui, il y avait un curé dans l'avion), prend la parole:
- Mes frères, voici 10 jours que je mûris cette grave décision: Si nous ne mangeons pas, nous mourrons tous. Si par contre l'un de nous se sacrifie, les 9 autres pourront tenir et attendre l'arrivée des secours. Je serai celui qui se sacrifiera pour vous car si l'église interdit le suicide, notre Seigneur Jésus a aussi dit "mangez, ceci est mon corps". Mon geste sera un ultime geste de foi et d'amour...
Ce faisant, le curé empoigne le pistolet d'alarme trouvé dans la cabine de pilotage et le pointe sur sa tempe...
Et là un des 9 gars dans l'assistance dit:
- Mon Père NON attendez !
Et il ajoute...
- Pas dans la cervelle s'il vous plaît, c'est ce que je préfère!
C'est l'histoire d'un curé de campagne qui reçoit la visite de son évêque. La paroisse du curé vient de se payer une nouvelle église et il ne manque à celle-ci qu'une cloche pour que tout soit parfait.
Mais, hélas, les paroissiens se sont saignés à blanc et n'ont plus les moyens de se payer une cloche. Le curé en parle à son évêque et lui demande si celui-ci ne pourrait pas leur payer la cloche en question.
L'évêque répond "je paierai une cloche à votre paroisse si vous répondez aux trois questions suivantes :
A.. Combien je vaut ?
B.. Combien de temps ça prend pour aller au ciel ?
C.. Qu'est-ce que je pense ?
Le curé, embêté, ne sait trop quoi répondre. L'évêque lui dit alors:
"Je reviendrai la semaine prochaine et vous pourrez alors répondre à mes énigmes."
Alors, notre curé va voir son frère jumeau, qui est sacristain (bedeau), et lui raconte son entrevue avec l'évêque.
"Très embêtant en effet... Les deux premières questions, tu peux répondre ce que tu veux, il ne peut rien dire... mais la dernière... écoute ! Je vais prendre ta place la semaine prochaine et répondre aux énigmes. Nous nous ressemblons tellement toi et moi que l'évêque ne s'apercevra de rien."
La semaine suivante, l'évêque est de retour et le sacristain déguisé s'avance vers lui en criant "Votre éminence, j'ai la réponse à vos trois questions !"
L'évêque, quelque peu surpris de cet accueil, lui répond:
"D'accord, alors combien je vaut ? "
Le bedeau répond "29 deniers ! On a vendu le Сhrisт pour 30 deniers, alors un évêque c'est un peu moins..."
L'évêque, de plus en plus surpris poursuit:
"Pas mal ! Et combien ça prend de temps pour aller au ciel ?"
Le bedeau répond tout de go:
"3 jours ! Il y a le dimanche de la fête de l'Ascension et le dimanche suivant, c'est la fête de la Pentecôte. 3 jours pour monter, 1 journée pour préparer la venue du Sаinт-Еsрriт et les 3 autres journées pour la descente de celui-ci. 3 jours, c'est le temps qu'il faut!"
L'évêque ne peut évidemment pas contredire cette théorie. "Tu réponds bien ! Mais je crois que ma dernière question sera sans réponse! Allez! Qu'est-ce que je pense ?"
Et le bedeau de s'écrier :
- Ben, tu penses que je suis le curé, alors qu'en fait je suis le bedeau !!!