Blagues sur les Dentistes
Le petit Jésus l'air fort contrarié, déprime, assis sur une borne kilométrique pas lоin de Jérusаlем.
Se pointe l'ange Gabriel:
- Ben, mon Jésus, t'as pas l'air à la noce ! Y'a un problème?
- T'as raison, l'emplumé, tu vois le bordel dans le monde ? Ben, figure-toi que je suis chargé d'apporter l'amour et la paix, et tout seul, en plus !
- T'en fais pas, Jésus, t'es le fils de Dieu, t'as le bras long... figure-toi que j'ai mon carnet de commande sur moi, dis-moi ce qu'il te faut, et je m'occupe de tout.
- Ben, une douzaine d'apôtres ne serait pas de trop...
- Bien, Pas de problème. Tu vois la grange là-bas , Pointe-toi dans une heure et tu seras surpris...
L'ange se casse, Jésus poireaute. Au bout d'une heure à son cadran solaire de Gaulle helvétique, il se ramène devant la grange où l'attend un Gabriel pas peu fier:
- Mate un coup à l'intérieur, Сhrisт, tu vas pas être déçu !
Jésus entrouvre la porte. La claque et se tourne vers l'ange l'air furax:
- C'est quoi ce bordel, Gabriel ! Là-dedans, y'a douze types en treillis, armés jusqu'aux dents !
Gabriel jette un coup d’œil sur son livret, ricane et répond:
- Mince alors ça, c'est les douze salopards... On vient de parachuter les apôtres sur un château, en Allemagne !
Extraits du journal intime du chat :
Jour n° 162 :
Mes ravisseurs continuent à me provoquer avec de bizarres petits objets pendouillant au bout d'une ficelle. Ils se gavent de viande fraîche au dîner pendant qu'ils me forcent à manger des céréales déshydratées. La seule chose qui m'aide à tenir le coup est l'espoir d'une évasion, et la maigre satisfaction que je retire de temps à autres de la destruction d'un meuble. Demain, je mangerai peut-être une autre plante d'appartement.
Jour n° 171 :
Aujourd'hui, ma tentative d'assassiner mes ravisseurs en me glissant dans leurs pieds pendant qu'ils marchaient a presque réussi. Il faudra que j'essaie encore depuis le haut des escaliers. Dans l'espoir d'induire dégoût et répulsion chez ces vils oppresseurs, je me suis encore forcé à vomir sur leur fauteuil préféré. Il faudra que je recommence sur leur lit.
Jour n° 175 :
J'ai décapité une souris et leur ai apporté le corps, afin de leur faire comprendre ce dont je suis capable, et pour frapper leurs coeurs de terreur. Mais ils se sont juste extasiés et se sont répandus en paroles onctueuses et condescendantes, me disant à quel point j'étais un bon petit chat. Hmmm... Ca ne fonctionne pas conformément au plan.
Jour n° 178 :
J'ai enfin réalisé jusqu'à quel point allait leur sadisme. Sans aucune raison, j'ai été choisi pour le supplice de l'eau. Cette fois, de plus, il comprenait une substance chimique mousseuse et piquante nommée-shampooing. Quel cerveau malade a bien pu inventer un tel liquide ? Ma seule consolation est le morceau de pouce que je tiens encore entre mes dents.
Jour n° 181 :
Aujourd'hui s'est tenue une sorte de réunion de malfaiteurs. J'ai été placé à l'isolement pendant l'événement. Cependant, j'ai pu entendre le bruit et humer l'odeur nauséabonde de ces tubes de verres qu'ils appellent-bière. Plus important, j'ai réussi à obtenir l'information que la raison de ma réclusion était mon pouvoir-allergisant. Il va fal… >> Cliquez pour lire la suite
Au cours d'une réunion Tupperware, après quelques Martinis, trois jeunes femmes en viennent à discuter de leurs maris respectifs. En rigolant, la première, un peu bourrée dit :
- Moi je le surnomme "Le dentiste" parce que personne ne peut me remplir les cavités comme lui !
- Moi je le surnomme "Le mineur", dit la deuxième en rigolant, parce que personne ne sait se servir de son manche comme lui !
Elles regardent alors la troisième qui n'ose pas prendre la parole.
- Et toi alors ? Tu ne donnes pas de surnom à ton mari ?
- Si, si, dit-elle enfin, je l'appelle "Le facteur"...
- Pourquoi donc le facteur ?
- Parce que quand il met le paquet, la moitié du temps, c'est dans la mauvaise boîte.
À l'occasion de son passage à Paris pour sa visite traditionnelle du Salon de l'Agriculture, un paysan plutôt rustaud décide de se payer un bon gueuleton dans un restau chic de la capitale.
Le serveur vient ensuite prendre la commande du paysan et un peu plus таrd, il lui amène les plats commandés.
Fidèle à ses habitudes, notre campagnard mange avec les doigts, bâfre comme un porc et renverse une воnnе partie des aliments qu'on lui apporte sur la nappe, par terre et aussi sur lui-même...
Vient le moment de l'addition. Le serveur pensant le culpabiliser sur ses manières lui dit:
- Ah monsieur, quel plaisir de servir un client comme vous. On peut dire que vous aidez les serveurs à bien travailler. Par exemple, pas besoin de regarder mes papiers pour vous récapituler l'addition: le petit morceau de feuille de salade qui vous reste coincé sur les dents et le reste de vinaigrette dans votre barbe atteste de votre choix de hors-d'œuvre, les taches de sauce sur votre cravate sont la signature du Coq au vin que vous avez pris en plat principal, la forte odeur qui se dégаgе de vos mains atteste que vous avez pris du Maroilles en fromage et le chocolat sur vos manches de chemise montre que vous avez terminé par une Dame Blanche.
À ce moment là, le paysan qui avait écouté le serveur avec un sourire goguenard acquiesce :
- Ouais, t'as raison mon garçon. C'est exactement ce que j'ai pris !
Et il ponctue sa phrase d'un gros pet bien gras... Le serveur lui dit:
- Ah merci monsieur, j'avais oublié votre bière!
Un Papi et une Mamie de 80 ans vont chez McDo par une soirée d'hiver. Le Papi et la Mamie passent à la caisse, paient le repas et vont s'installer à une table. Sur le plateau de Papi se trouvent un hamburger, un paquet de frites et un Coca. Papi déballe le hamburger et le coupe en 2, il fait aussi la même chose pour les frites.
Il place une moitié devant sa femme et l'autre moitié devant lui. Il prend une gorgée de Coca et donne ensuite son verre à sa femme qui en fait autant et qui replace le contenu du coca restant entre elle et son mari. L'homme commence à entamer sa part de hamburger, frites.
Un jeune qui observe la scène depuis leur arrivée pense qu'ils n'ont pas les moyens de s'offrir un vrai repas chacun, il s'approche de leur table et, un peu gêné, leur propose de leur offrir un autre repas. Papi le remercie et lui répond que tout va bien et qu'ils sont habitués à tout partager.
Puis les gens autour d'eux s'aperçoivent que Mamie n'a encore rien touché et que de son côté, le mari est presque à la fin de son repas. Le jeune homme les supplie une dernière fois d'accepter. Cette fois, c'est Mamie qui lui répond que ce n'est pas nécessaire, qu'ils sont habitués à tout partager. A ce moment là, Papi a terminé son repas et s'essuie la bouche.
Le jeune homme dit à Mamie :
- Madame, pourquoi ne mangez-vous pas ? Vous dites que vous partagez tout... je ne comprends pas ?
Et la dame répondit :
- J'attends les dents !