Une pauvre femme qui vient de perdre son mari se rend chez l’ordonnateur des pompes funèbres pour la cérémonie d’inhumation.
- Monsieur, combien cela va-t-il me coûter ?
- Tout dépend de ce que vous voulez, madame. Pour un cercueil en chêne doublé de satin violet et avec de magnifiques poignées en argent, c’est 3000 euros. Pour 1500 euros, je peux vous proposer un cercueil en bois verni mais avec des poignées en cuivre. Mais évidemment, avec un cercueil en pin non verni et non doublé à l’intérieur, vous ne payerez que 1000 euros.
- Bon… Eh bien, je crois que je vais prendre la dernière solution, c’est-à-dire le cercueil en pin.
- Comme vous voudrez, madame, mais cela fera moins gаi !
De temps en temps, je m’y mets : je range ! Dernièrement, j’ai nettoyé ma cave. Il y avait douze bouteilles de grand vin. Ma femme – antialcoolique – me commande de les vider… dans l’évier ! Sinon gare à moi ! Sa décision entraîna les conséquences suivantes :
J’enlevai le bouchon de la première bouteille et j’en vidai le contenu dans l’évier, sauf un verre que je bus.
J’ôtai le bouchon de la deuxième bouteille et j’en fis autant, c’est-à-dire que j’en déversai le contenu moins un verre pour ma pomme.
Idem pour la troisième.
La quatrième, j’arrachai son bouchon, vidai un verre dans l’évier et bus le reste.
J’extirpai le bouchon de la cinquième, la vidai dans le verre que je bus…
Pour la dixième, j’arrachai la bouteille du bouchon, j’en bus un plein évier et vidai le restant dans la bouteille…
Je sortis un verre du septième évier et je vidai le bouchon dans la bouteille.
Alors, je sortis le bouchon du fond de ma gorge et je versai le huitième évier dans la bouteille et je bus le verre.
Puis je bouchai l’évier avec le neuvième verre, mis le vin dans la bouteille et bus le trop-plein.
Lorsque j’eus tout vidé, je me mis à caler les murs de ma maison et à compter mes bouteilles et mes bouchons : j’en trouvai 29 !
Pour être absolument sûr de moi, je me suis mis à les recompter au passage et voilà que cette fois j’en ai trouvé 74 !
Lorsque la maison repassa une autre fois, je les comptai de nouveau et m’aperçus enfin que je retrouvais le compte de toutes les maisons de toutes les bouteilles de tous les bouchons et de tous les verres, à l’exception de l’évier que j’avais bu. Normal…
Un quadragénaire encore vert part pour un séminaire pendant quelques jours. Le dernier soir, il rencontre au bar de l’hôtel une superbe créature à qui il offre un verre et qui accepte d’aller en boîte avec lui. Ils boivent, dansent, s’amusent, flirtent de plus en plus précisément et reviennent à l’hôtel.
Émerveillé, le type propose à la ravissante jeune femme de l’accompagner dans sa chambre et celle-ci accepte. L’instant suivant, ils se retrouvent tous deux enlacés sur le lit, entièrement nus. La jeune femme est superbe, mais le malheureux connaît pour la première fois de sa vie une panne totale…
Le lendemain soir, à la même heure, il a réintégré le domicile conjugal et fume une dernière cigarette avant de s’endormir. Sa femme sort de la salle de bains avec des bigoudis dans les cheveux, s’installe dans le lit en faisant grincer les ressorts du sommier et commence à manger des gâteaux en mastiquant bruyamment. C’est alors que, sans prévenir, il sent son sexe entrer en érection. Une érection formidable, la plus belle de sa vie…
Dégoûté, il soulève le drap et s’adresse à son sexe :
- Pauvre imbécile ! Tu n’as vraiment rien compris ! Je sais maintenant pourquoi on dit :
- « соn comme une bite » !
Un voyageur de commerce rentre chez lui à l’improviste et, bien sûr, trouve sa femme nue dans son lit. Furieux, il se rue vers la salle de bains et y découvre un type, également tout nu, en train de vaporiser de l’insecticide autour de lui.
- Qu’est-ce que vous foutez là, vous ? hurle le mari.
- Bonjour monsieur, répond l’autre, très calme. Service d’hygiène municipale. On a signalé une invasion de mites dans votre immeuble. Je suis venu les détruire.
- Et vous êtes forcé de faire ça à poil ?
L’amant regarde le mari avec des yeux ronds, puis baisse les yeux sur lui-même et s’écrie :
- Ah, les sales bêtes ! Elles ont bouffé mon uniforme, dites donc !