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A chaque fois qu’un pape est élu, il y a tout un rituel prévu avec des cérémonies, des présentations du nouveau pape aux autres chefs religieux etc…
En particulier, peu de temps après l’élection du nouveau pape, il est d’usage que le grand rabbin demande une audience au pape et soit reçu par lui au Vatican.
La tradition veut que le rabbin se présente avec un plateau d’argent sur lequel est disposé un coussin de velours. Sur le coussin lui-même est disposée une enveloppe parcheminée qui semble être extrêmement vieille.
Lorsque le rabbin s’avance vers le pape avec ce plateau, le pape est censé étendre son bras en signe de rejet. Puis le grand rabbin doit se retirer, et ne doit renouveler cette cérémonie que lorsqu’un nouveau pape est élu…
Lorsque Jean-Paul II eut à accomplir ce rituel, il se posa la question de savoir ce que signifiait ce rite. Il questionna les archivistes du Vatican, mais tout ce qu’ils purent lui répondre, c’est que ce rite existait depuis très très très longtemps.
Alors, le jour où le grand rabbin arriva, le pape joua le rituel tel qu’il devait être joué, mais alors que le grand rabbin tournait les talons pour partir, Jean-Paul le rappela en lui disant :
- Mon frère, je dois vous confesser que ce rituel que nous venons d’accomplir, et qui semble s’être déroulé depuis des siècles entre papes et grands rabbins, a une signification qui m’échappe totalement. Je comptais sur vous pour m’expliquer quelle était la signification de tout ceci.
Mais le grand rabbin lui répondit en baissant les épaules montrant son impuissance :
- Je n’en sais malheureusement pas plus que vous à ce sujet.
Alors le pape dit :
- Accompagnez-moi dans mes appartements privés: je vous offrirai de partager un verre de vin, et si vous êtes d’accord, nous ouvrirons ensemble cette enveloppe pour enfin découvrir ce qu’elle cache.
Le rabbin acquiesça.
Une fois dans les appartements papaux, devant un verre d’asti, le rabbin saisit l’enveloppe, l’ouvre et en extrait un très très vieux parchemin de ses doigts rendus tremblants par l’émotion…. et lorsque le parchemin est déplié, le Grand Rabbin et le pape constatent que c’était l’addition pour le dernier repas de Jésus avec ses apôtres…
C’est Georges Marchais dans un avion. Il va sauter en parachute. Le gars lui explique :
- Alors voilà ! T’as deux parachutes : un dans le dos, et un sur le ventre. Tu sautes, et quand t’arrives à une certaine hauteur, t’ouvres le parachute que t’as dans l’dos. Si le parachute que t’as dans l’dos s’ouvre pas, t’ouvres le parachute que t’as sur le ventre… Et si le parachute que t’as sur le ventre, il s’ouvre pas… ben… tu l’as dans l’cul !
Arrive donc le grand moment. Georges saute ! Il tire la languette du parachute qu’il a dans le dos… le parachute s’ouvre pas !
- Меrdе ! Comment j’vais faire ! Ah ! Oui !
Il tire la manette parachute qu’il a sur le ventre… Pas d’bol, le parachute ne s’ouvre pas non plus !
- Hum… C’est trop соn c’t’histoire ! J’vais quand même pas m’éclater la tronche en bas !
A ce moment-là, un ange apparaît et dit :
- Je veux bien vous sauver… mais il faut crier trrrrès forrt « Vive l’impérialisme américain » !
- Non mais attends, ça va pas la tête ou quoi ? J’vais pas crier ça tout haut!… Non, non, je ne crierai pas, je ne crierai pas !
- Comme vous voudrez…
Et paf ! L’ange disparaît !
Georges voit peu à peu le sol se rapprocher de lui…
- Меrdе ! J’vais quand même pas m’écraser ! C’est pas possible !
Il réessaie donc les parachutes… Rien à faire, ils ne s’ouvrent pas !
L’ange réapparaît et dit :
- Alors, vous êtes prêts à crier :
- « Vive l’impérialisme américain » ?!
- Non ! J’peux pas crier ça ! Je ne crierai pas, je ne cr… (Il regarde le sol qui approche)… Bon, d’accord, mais c’est la première et la dernière fois !… VIVE L’IMPÉRIALISME AMÉRICAIN !!! VIVE L’IMPÉRIALISME AMÉRICAIN !
Et là son copain Fitterman qu’est à côté de lui lui donne un coup de coude et dit :
- Non seulement tu dors pendant les réunions, mais en plus tu trouves le moyen de dire des conneries !