Les 9 types de gueule de bois :
1. La classique
La classique
Cause : 4-6 pintes de bierres ou verres de vin.
Symptômes : vagues nausées, lenteur mentale et physique.
Cette gueule de bois standard est habituellement le résultat d'un « petit coup après le boulot » qui a duré un peu plus longtemps que prévu, sans que vous vous mettiez à « déraper ». Un peu comme un rhume, cette gueule de bois-là ne vous affaiblit pas vraiment, mais elle rend la moindre tâche environ 30% plus pénible à accomplir.
2. La coupable
La coupable
Cause : consommation excessive dans un environnement hostile.
Symptômes : amnésie partielle, paranoïa, dégoût de soi.
Cette gueule de bois signifie que votre premier acte de la journée est de vous planquer sous votre coussin dans l'espoir vain de couvrir la honte qui vous envahit. Elle résulte généralement d'une soirée de bureau, un repas de famille ou un verre avec votre ex - n'importe quelle situation où vous étiez censé vous comporter de façon irréprochable. Vous ne vous souvenez pas précisément de ce que vous avez dit ou fait de mal, mais le sentiment d'avoir commis l'irréparable est néanmoins logé dans votre inconscient, et vous ronge de l'intérieur.
3. La « black-out total »
La « black-out total »
Cause : les alcools forts, en particulier la vоdка.
Symptômes : perte complète de mémoire.
Grand paradoxe de la gueule de bois, un black-out total peut être considéré comme une bénédiction ou une malédiction. Ayant zéro souvenir de votre soirée, vous ne saurez jamais si vous avez fait un sermon de 20 minutes à un videur sur le féminisme tout lui gerbant sur les pieds. D'un autre côté, il se peut que vous ayez passé une soirée géniale et que vous ayez eu une conversation importante avec la personne qui vous plaît ou un futur employeur. Et vous ne saurez jamais à quelle catégorie vous appartenez.
4. La physique
La physique
Cause : une seule boisson en excès (e… >> Cliquez pour lire la suite

C'est un vieux couple de professeurs à la fin du 19e siècle qui partent en expédition dans des contrées reculées d'Afrique noire après maintes aventures, ils arrivent chez les Kiniktous, et ils demandent à leur interprète de les conduire jusqu'au chef de la tribu.
Arrivés dans la hutte de ce dernier, ils sont stupéfaits de le trouver en train sodomiser à même le sol une magnifique jeune femme blanche, blonde comme les blés, mais avec une jambe de bois et un crochet.
Le chef les remarque, leur fait signe de patienter... tandis qu'il achève de limer la nana comme un sаlаud à grands coups de bite noueuse et veineuse, un monstre que l'аnus de la jeune femme ingurgite sans problème, comme une promesse politique
Puis il lui donne une воnnе ration de protéines masculines en se finissant à gros jets dans sa bouche après qu'elle ait dégusté son gland odorant, telle une grand-mère machinant un "mon chéri" le soir de Noël pour faire éclore la cerise.
Puis, repus, il fait sortir la sublime déesse à la jambe de bois et au crochet, et devant la stupeur du couple de professeurs, il s'explique :
- On l'a trouvé, adolescente, errant dans la forêt, amnésique et muette. une bande de gorilles avaient massacré ses parents avant d'abuser d'elle pendant des jours. comme mes guerriers étaient curieux de savoir si leurs gros membres pouvaient entrer dans sa petite moulasse qui avait l'air très serrée, on l'a ramenée au village où, depuis, elle nous donne bien du plaisir
Et pour illustrer son propos, il la désigne en train de faire un 69 en équilibre sur une énorme mama sur la place du village.
- C'est un scandale, s'écrient les deux vieux explorateurs. abuser ainsi de cette jeune fille !
- Ne dites pas ça avant de l'avoir essayée, les coupe le chef de la tribu et il appelle la déesse blonde qui les rejoint dans la case en boitant sur sa jambe de bois.
Le vieux couple d'explorateurs hésite un moment mais la nana sait y faire : de sa main valide, elle fait très v… >> Cliquez pour lire la suite

À l'occasion de son passage à Paris pour sa visite traditionnelle du Salon de l'Agriculture, un paysan plutôt rustaud décide de se payer un bon gueuleton dans un restau chic de la capitale.
Le serveur vient ensuite prendre la commande du paysan et un peu plus таrd, il lui amène les plats commandés.
Fidèle à ses habitudes, notre campagnard mange avec les doigts, bâfre comme un porc et renverse une воnnе partie des aliments qu'on lui apporte sur la nappe, par terre et aussi sur lui-même...
Vient le moment de l'addition. Le serveur pensant le culpabiliser sur ses manières lui dit:
- Ah monsieur, quel plaisir de servir un client comme vous. On peut dire que vous aidez les serveurs à bien travailler. Par exemple, pas besoin de regarder mes papiers pour vous récapituler l'addition: le petit morceau de feuille de salade qui vous reste coincé sur les dents et le reste de vinaigrette dans votre barbe atteste de votre choix de hors-d'œuvre, les taches de sauce sur votre cravate sont la signature du Coq au vin que vous avez pris en plat principal, la forte odeur qui se dégаgе de vos mains atteste que vous avez pris du Maroilles en fromage et le chocolat sur vos manches de chemise montre que vous avez terminé par une Dame Blanche.
À ce moment là, le paysan qui avait écouté le serveur avec un sourire goguenard acquiesce :
- Ouais, t'as raison mon garçon. C'est exactement ce que j'ai pris !
Et il ponctue sa phrase d'un gros pet bien gras... Le serveur lui dit:
- Ah merci monsieur, j'avais oublié votre bière!