Un couple avait un fils d’une quinzaine d’années qui ne faisait rien de bien à l’école, et qui ne s’intéressait à rien..
Un beau jour, voulant savoir quand même vers quelle branche leur fiston pourrait se diriger, il décident de le soumettre à un test.
Le père prit un billet de 20 euros, une bible et une bouteille de whisky, et il plaça le tout sur la table du salon ; bien en évidence, il laissa un mot d’explication qui disait au fils que ses parents étaient partis faire des courses à Auchan.
Le plan du père était celui-ci :
- Si notre fils prend l’argent, peut-être sera-t-il homme d’affaire. Si il prend la bible, peut-être cela voudra dire qu’il veut entrer en religion, et si il prend la bouteille, j’ai bien peur que cela veuille dire qu’il sera un ivrogne.
Alors les parents se cachent dans la pièce voisine, et observe leur fils qui entre dans le salon. Il le voient qui lit le mot, prend le billet de 20 euros, le regarde par transparence dans la lueur de la lampe, puis le met dans sa poche. Ensuite il prend la bible, en feuillette quelques pages, puis la met dans une autre poche.
Et enfin, il prend la bouteille, goûte le whisky au goulot, rebouchonne la bouteille, et monte dans sa chambre avec.
Voyant tout ça, le père secoue la tête pour montrer son découragement et il dit à sa femme :
- C’est encore pire que tout ce que j’avais pu imaginer. Je crois que la seule possibilité pour notre fils, c’est de faire de la politique.
Toto rentre de l’école. Sa maman lui demande :
- Qu’est-ce que tu as fait aujourd’hui ?
- Ben, on a eu un contrôle en math, puis on a eu gym, et puis j’ai fait l’amour avec mon prof d’anglais.
- Quoi ?! (La mère est extrêmement choquée bien sûr) Qu’est-ce que tu as fait ? Tu veux dire que vous avez parlé des relations sexuelles en anglais avec le professeur… ?
- Non maman. J’ai bien fait l’amour avec le prof d’anglais !
- Espèce de…. Va raconter tout de suite ce que tu viens de me dire à ton père !
Toto retrouve donc son père et il lui dit :
- Papa, maman m’a dit de te raconter ce que j’ai fait à l’école aujourd’hui !
- Oui Toto, alors qu’est-ce que tu as fait ?
- J’ai eu un contrôle en maths, cours de gym, et ensuite, j’ai fait l’amour avec mon prof d’anglais.
Le père, très fier de son petit Toto, déjà coureur de jupons, séducteur en diавlе, lui dit :
- Oh Toto, c’est super ça ! Tu es bien le fils de ton père. T’es un vrai homme maintenant ! Tu sais quoi ? Pour fêter ça, je vais t’acheter une nouvelle paire de rollers et un beau vélo !!!
- Merci papa ! Pour les rollers, c’est d’accord. Mais pour le vélo, je préfère attendre un peu, parce que pour l’instant j’ai encore très mal au cul…
Par un jour glacé d’hiver, un gamin, que son père a conduit à l’école, crie, très fort :
- Рuтаin !
La maîtresse, qui l’a entendu, lui dit :
- Ce mot est particulièrement vilain. Il ne faut jamais l’employer ! Tu me promets de ne pas recommencer.
- Mais alors, demande l’enfant, quand je serai grand, si je ne peux pas dire cela, comment je réussirai à faire démarrer ma voiture ?
A la petite école, en banlieue, c’est le jour de la leçon de vocabulaire.
La maîtresse dit aux enfants :
- Aujourd’hui les enfants, nous allons étudier le mot « hameçon ». Ahmed, veux-tu nous raconter une histoire en utilisant ce mot, s’il te plaît ?
- Oui Madame. Hier, ji suis alli dans li souk avec mon père. Il y avi beaucoup de monde et beaucoup di marchandises. Et mon père, il m’a offir di babouches.
- Mais Ahmed, tu n’as pas utilisé le mot « hameçon ».
- Attends ci pas fini ! Les babouches, hameçon trop p’tites !
Consternation de la maîtresse…
Le lendemain, leçon de grammaire.
- Aujourd’hui, nous allons étudier l’épithète. Ali, construis-moi une phrase contenant une épithète.
- Oui Madame. Aujourd’hui, il y a du soleil.
- Il n’y a pas d’épithète dans cette phrase, Ali.
- Pas di problème : aujourd’hui, il y a du soleil, épithète que demain il y en aura encore.
Reconsternation…
La maîtresse reprend la parole :
- Bon, les enfants, à nouveau un peu de vocabulaire. faites-moi une phrase avec le mot « volupté » . Vas-y Ali, essaie de racheter tes bêtises…
- Hier, on est allé à la plage avec papa et on a mangé, on a même beaucoup mangé.
- Mais il n’y a pas « volupté » dans ta phrase ?
- Attend, attend, après, papa il a volupté et il a chié dans son froc.
C’est une directrice d’une école laïque dans un petit village du Cantal. Et elle était drôlement furieuse parce que tous les jours, le père Eugène, pour gagner du temps, faisait traverser la cour de l’école à ses vaches. Et la cour de récréation était dans un drôle état, après leur passage…
- Je leur ai écrit plusieurs fois, à la Mairie ! Ils ne m’ont jamais répondu ! Bon, demain, s’il revient, l’Eugène va m’entendre !
Et le lendemain, comme d’habitude, le père Eugène arrive avec ses vaches.
- Allez, les petites !
- Dites donc, père Eugène, vous allez me faire le plaisir de prendre vos vaches et de faire le tour ! Maintenant c’est terminé, de traverser la cour ! Enfin, quand même, ici c’est une école !
- Eh, mais ch’peux point faire le tour, moué !
- Ah oui ? Et pourquoi ça ?
- Ch’ peux point faire le tour parce que ça me fait faire un сré bon dieu d’détour… L’école, c’est le chemin le plus court. Vous vous rendez compte, à pied, sans chien, avec un troupeau de vaches ? Mais si ch’ fais le tour, j’ me rallonge d’au moins cinq cents mètres, ma воnnе dame ! Moi, ch’ peux point !
- C’est bien beau, tout ça, mais regardez-moi dans quel état vous me mettez cette cour ! C’est pas Dieu possible ! Je ne sais pas, moi ! Je veux bien que vous passiez par là, mais alors revenez nettoyer !
- Eh, c’est qu’ moué j’ n’ai point l’temps, vous comprenez…
- Ah il faut trouver un moyen, ça ne peut pas continuer comme ça ! Vos vaches, elles ne peuvent pas se retenir ?
- Ah ben vous en avez d’ bonnes, les gens d’Ia ville… Vous savez, les vaches, pouvez toujours leur expliquer : elles font ce qu’elles veulent !
- Et si vous leur mettiez un sac sous la queue ?
- Un sac sous la queue ?
- Oui, vous voyez, un genre de petite bourse : ça ferait moins de saletés !
- Ben moué, ça fait tantôt soixante-dix ans que j’en ai deux sous la queue, et c’ n’est point pour ça que j’arrive à faire dedans !
C’est le mois de Juin. Il fait très chaud et trois petits garçons rentrent de l’école. Sur leur trajet, ils longent une propriété avec une piscine dans laquelle ils aperçoivent une jeune dame complètement nue qui se baigne.
Naturellement, les trois petits garçons s’arrêtent pour mater (d’ailleurs, ils seraient plus vieux, ils feraient pareil).
Très rapidement, et sans prévenir, un des trois petits garçons se met à courir et rentre chez lui. Alors les deux autres rentrent eux aussi.
Le jour suivant, il fait toujours aussi beau, et ils retrouvent la jeune dame en train de se baigner toujours aussi nue. Mais c’est pareil que la première fois, le petit garçon se met très rapidement à courir pour rentrer chez lui.
Le troisième jour, la jeune dame est encore là. Cette fois-ci, les deux copains ont décidé de faire quelque chose: Avant que leur pote ne se mette à courir, ils l’attrapent par le bras et lui demandent :
- « Qu’est-ce qu’il y a ? Tu n’aimes pas regarder les nanas à poil ? »
Et le petit garçon répond :
- « Si bien sûr, mais ma maman m’a dit que si je regardais une femme toute nue trop longtemps, je risquais de me transformer en statue de pierre… Et je me sens déjà devenir tout dur ! »
Un gamin arrive de l’école, jette son cartable et se précipite vers sa mère.
- Maman, Maman ! Les autres à l’école, ils font rien qu’à dire des mots que je comprends pas !
- Quels mots, mon ange ?
- Ils disent « сhатте » et « chienne ».
- Ben quoi ? une сhатте c’est une petite minette comme notre Minouche et une chienne c’est une fille chien comme notre Diane… Tu savais ça !
Pas satisfait, le gamin va voir son père au magasin et lui repose la même question.
Le père sort un exemplaire de Play-Boy :
- Je t’ai déjà dit, fiston, que ce genre de question se règle entre hommes. Faut pas demander à ta mère, mais à moi.
Sur ce, il déplie la page centrale et entoure la zone pubienne au marqueur :
- Tu vois, fiston, tout ce qui est à l’intérieur de ce cercle, eh bien on peut appeler ça une сhатте.
- Et la chienne ?
- Eh bien la chienne, c’est tout ce qui est à l’extérieur du cercle !