Premier jour du cours d'informatique on-line pour retraités…
Ordinateur : Introduisez votre prénom et votre âge.
Élève : Michel, 72 ans
Ordinateur : Introduisez un mot de passe.
Élève : michel
Ordinateur : Désolé, le mot de passe ne doit pas être votre prénom.
Élève : Michelin
Ordinateur : Désolé, le mot de passe doit avoir au moins dix caractères.
Élève : michelines
Ordinateur : Désolé, le mot de passe doit contenir au moins un nombre.
Élève : deux michelines
Ordinateur : Désolé, le mot de passe doit contenir au moins un nombre sous forme de chiffre (p. Ex. 2).
Élève : 2 michelines
Ordinateur : Désolé, le mot de passe ne doit pas contenir d’espaces.
Élève : 2michelinesdemerde
Ordinateur : Désolé, le mot de passe doit contenir au moins une majuscule.
Élève : 2michelinesdeMERDE
Ordinateur : Désolé, le mot de passe ne doit pas contenir deux majuscules successives.
Élève : 2PutainsdeMichelinesdeMerde!
Ordinateur : Désolé, le mot de passe ne doit pas contenir de signes de ponctuation ni d’exclamation.
Élève : 2PutainsdeMichelinesdeMerdeQuetupeuxtePlanterdansleCul
Ordinateur : Désolé, ce mot de passe existe déjà
C'est un instituteur qui fait ses premières armes en classe et qui a l'occasion de faire un stage dans un cirque. Il est ravi et part en tournée.
A sa première leçon, il décide de faire les présentations :
- Bonjour, je m'appelle Lucien et je serai votre professeur pendant votre tournée.
Il s'adresse à un premier élève et lui demande :
- Et toi, quel est ton nom et que fait ton papa ?
- Moi je m'appelle René ; et mon papa il est trompetteur.
- Trompetteur ? Tu veux dire qu'il joue de la trompette ?
- Oui m'sieur.
- Ah, alors il est trompettiste.
- Ah bon ! Fait René.
Puis il s'adresse à un deuxième élève :
- Et toi ?
- Moi, je m'appelle Philippe, et mon papa, il est jongliste.
- Jongliste ? Tu veux dire qu'il joue avec des balles et des quilles ?
- Oui m'sieur.
- Alors, il est jongleur. On ne dit pas jongliste, on dit jongleur.
- Ah bon ! Fait Philippe.
Puis il se tourne vers un troisième :
- Et toi ?
- Moi, je m'appelle Claude. Mais pour mon papa, avec tout ce que vous venez dire, je ne sais plus très bien s'il est fumeur ou fumiste.
Ceci est l'histoire d'un homme qui est né avec trois testicules. Il s'appelait Ernest. Toute sa vie durant, Ernest n'a pas cessé d'alimenter un complexe grandissant au sujet du nombre de ses testicules.
A l'école déjà, tous ses petits camarades se payaient quotidiennement sa tête en l'appelant « sapin de Noël » ou en lui faisant les pires crasses qu'on puisse s'imaginer en rapport avec sa glande surnuméraire.
Puis ensuite l'armée, où ses supérieurs ne l'appelaient pas par son nom mais par celui de « triple bille » ou « la pétanque », son complexe commençait à prendre une importance démesurée.
Pour que son malheur soit complet, les quelques femmes à qui il a pu exhiber sa particulière anatomie sont toutes soit parties en courant effrayées par le monstre, soit elles se sont esclaffé à tel point qu'elles en souffraient à en faire une hernie.
Au bord du suicide, Ernest décide d’aller voir un psychiatre…
- Vous comprenez docteur, avec mes trois testicules, ma vie n'a pas de sens…
- Mais bien au contraire jeune homme ! Imaginez-vous la chance que vous avez ? Vous êtes UNE FOIS ET DEMIE un homme normal ! Bref, vous êtes un surhomme, vous devriez en profiter !
- Mais c'est vrai ça !
Dit Ernest qui rebondit comme un éclair du fauteuil du psy et sort en courant sans même dire au revoir au docteur…
Quelques mètres plus lоin, il monte dans un bus avec la démarche typique du superhomme qu'il est et s'assied à côté d'un monsieur. Ernest lui dit d'un ton condescendant :
- Savez qu'à nous deux nous avons cinq couilles ?
Et le monsieur lui répond :
- Ah bon ? Vous en avez qu'une ?
Comme vous le savez, Socrate était réputé pour sa sagesse. Un jour qu'il se promenait sur l'agora, il fut abordé par un quidam qui l'interpella ainsi :
- Socrate ! Sais-tu ce que je viens d'apprendre a propos d'un de tes élèves ?
- Attention ! lui dit Socrate, avant de dire quoi que ce soit, il faut que tu passes un certain test. Je l'appelle le test du triple filtre...
- Triple filtre ?
- Oui. Avant que tu ne me parles d'un de mes élèves, ce serait bien que tu filtres ce que tu vas dire...
Le premier filtre est le filtre VERITE. Es-tu absolument certain que ce que tu vas me dire est vrai ?
- Euh... C'est a dire... Non. Je l'ai juste entendu dire...
- Bien, tu n'es donc pas certain que ce que tu vas dire est la vérité.
Le second filtre est la BONTE. Ce que tu as à me dire est-il bon pour mon élève ?
- Ben... pas exactement...
- Donc, tu veux me dire quelque chose de désagréable pour mon élève sans être sur que c'est vrai. Essayons le troisième filtre, si tu veux bien. Il s'agit du filtre de l'UTILITE. Ce que tu veux me dire est-il utile pour moi ?
- C'est difficile a dire, plutôt non, en réalité...
- Tu m'accorderas donc que tu souhaites me confier quelque chose de désagréable sur mon élève, qui ne me sera d'aucune utilité et dont tu n'es pas sur que ce soit vrai. Ne crois-tu pas qu'il vaudrait mieux, dans ce cas, te taire ?
- Si, Socrate, je vois bien que tu as raison. Je me tairai donc.
Un homme entre dans un magasin de chaussures. Il désigne une paire dans la devanture et réclame la même en taille 42.
La vendeuse évalue rapidement la taille des pieds de l'homme à 45 et le lui fait remarquer. L'homme répond qu'en taille 42, ça ira.
La vendeuse amène la boîte de chaussures. L'homme prend la première, et avec toutes les difficultés du monde arrive à entrer son pied dedans. La vendeuse lui fait remarquer :
- Je vous avais dit que 42 ça n'irait pas !
- Ca ira, répond l'homme.
Avec tout autant de difficultés, il parvient à entrer son pied dans la deuxième chaussure et réclame de les garder aux pieds. En boitant et grimaçant, il se dirige vers la caisse. La vendeuse n'arrive pas à comprendre ; après que l'homme ait réglé son achat (assez dispendieux, en plus), et n'y tenant plus, elle lui dit :
- Monsieur, je ne comprends pas : nous avons ce modèle en taille 45 ; il ne coûte pas plus cher qu'en taille 42... Pourquoi tant insister à porter trois tailles en dessous ?
L'homme, l'air triste, répond :
- Vous ne pouvez pas savoir ; mais ma femme me trompe, ma fille se prostitue, mon fils se drogue, mon père fait la sortie des écoles, ma mère est partie avec la voisine... Alors, voyez-vous, mon seul plaisir dans la vie c'est le soir quand j'enlève mes pompes...
Théorie de comptoir...
Un Troupeau de buffles ne peut pas se déplacer plus vite que le buffle le plus lent. Et quand le troupeau est pourchassé par un prédateur, ce sont les buffles les plus faibles qui restent à l'arrière et qui meurent les premiers. Cette règle de sélection naturelle est une воnnе chose pour le troupeau dans son ensemble, puisque la vitesse générale et la santé du groupe augmentent avec la disparition régulière de ses membres les plus faibles.
De la même manière, le cerveau humain ne peut pas aller plus vite que le plus lent de ses neurones. Or comme chacun le sait, la consommation excessive d'alcool détruit les neurones, mais naturellement ce sont les neurones les plus faibles qui sont attaqués en premier lieu. Dans ce sens, la consommation régulière d'alcool élimine les neurones les plus faibles, faisant du cerveau une machine toujours plus rapide et plus efficace.
Le résultat de cette profonde étude neurologique vérifie et valide la relation causale entre les fêtes (de fin de semaine) et le rendement des mathématiciens, informaticiens, ingénieurs, économistes, avocats, architectes, stagiaires etc.
De cette façon on explique pourquoi, quelques années après la sortie de l'université et après s'être marié, la plupart des professionnels ne peuvent maintenir les niveaux de rendement des étudiants récemment diplômés. Seule la minorité de ceux qui persistent dans le régime strict d'une consommation vorace d'alcool peut maintenir les niveaux intellectuels tels qu'ils étaient durant leurs années estudiantines.
Pour toutes ces raisons, ceci est un appel aux armes. Pendant que notre pays est en train de perdre son potentiel intellectuel, nous ne pouvons décemment pas rester à la maison sans rien faire!!!
Allons au bar !
Ca se passe dans un lycée de jeunes filles en Angleterre. Le professeur de français commence son cours en proposant un exemple pratique...
- Bonjour mesdemoiselles. Vous savez que la langue française contient des mots très bizarres parfois... Par exemple le mot "cuillère" : est-ce que certaines parmi vous savent de quel genre est ce mot ?
Dans la salle, plusieurs mains se lèvent. Le professeur donne la parole à la belle Barbara :
- Moi je sais. Nous avons en ce moment un french correspondant à la maison. Justement, hier soir, je lui ai demandé s'il prenait une dоuсhе, et il m'a répondu "Non, j'ai lavé mon cul hier". J'en déduis que le mot "cuillère" est masculin !
Cindy n'est pas d'accord. Elle piaffe d'impatience sur sa chaise et veut donner sa version :
- Oui Cindy, tu n'es pas d'accord ?
- Non, moi je pense que le mot "cuillère" est du féminin genre, isn't it.
La preuve, c'est qu'hier je demandais à mon petit ami français s'il s'était lavé, et il m'a répondu "Bien sûr que oui, j'ai lavé ma queue hier".
Du fond de la salle, Anita prend la parole :
- Vous avez tort toutes les deux, cuillère est au pluriel : La preuve, moi aussi j'ai flirté avec un nice little frenchy hier, et quand je lui ai demandé s'il était propre, il m'a répondu :
- Oui je suis propre ! Je me suis lavé les "couilles hier"...