Dans un bar à New York, les deux seuls clients sont assis au bar.
Le premier dit au second :
- Allez, je te paie un verre. Qu'est-ce que tu prends ?
- Merci, je prendrais un scotch.
- Alors, d'où tu es ?
- Je suis Irlandais...
- Incroyable !?! Moi aussi je suis Irlandais ! Allez, « Garçon », une autre tournée, à la santé de l'Irlande, notre mère patrie.
Et le patron les ressert.
Curieux, le premier gars demande :
- Et tu es d'où exactement en Irlande ?
- Dublin.
- Dublin ?!? J'arrive pas à le croire. Moi aussi je suis de Dublin. Allez « Garçon », remets-nous une tournée pour qu'on boive à la santé de Dublin, notre ville natale.
Et le patron les ressert.
Toujours curieux, le premier demande :
- Et tu as été dans quelle école ?
- Sаinт Mary's répond le second. Je suis sorti en 62.
- Alors ça...!!! Moi aussi j'étais à Sаinт Mary's et je suis sorti en 62. J'en reviens pas. « Hep Garçon... »
A ce moment là, une autre personne rentre dans le bar et voit les deux gars en pleines effusions. Le troisième demande au barman :
- Qu'est-ce qui se passe ici ? Y a une sacrée ambiance !
Et le barman répond :
- Oh, rien de spécial. C'est les jumeaux O'Malley qui sont en train de se bourrer la gueule.
Alors qu'il célébrait l'office du Vendredi soir, le rabbin remarqua qu'une de ses ouailles était venu à la synagogue avec son chien, un bon vieux gros Sаinт Bernard !
Le rabbin, horrifié par cet affront demanda au chantre de continuer l'office et alla parler avec l'irrespectueux.
Le rabbin :
- Qu'est-ce que vous faîtes dans ce lieu avec votre chien ?
Le propriétaire :
- Ben c'est le chien qui a réclamé pour venir prier…
- Hé hо, faudrait voir à pas se foutre de moi, hein ?
- MAIS SI, je dis vrai !
- Je ne te crois pas. Ce n'est pas bien de se moquer de son rabbin tu sais…
- Mais c'est la pure vérité, et d'ailleurs, il va vous le prouver. Vas-y Junior, montre au rabbin pourquoi tu as voulu venir.
Alors le chien ouvre son tonnelet qu'il avait accroché au cou, l'ouvre avec sa grosse papatte, en retire une kippa qu'il se place sur la tête, puis un tallith qu'il se met sur le cou, puis enfin, il prend un livre de prières et commence à psalmodier en hébreu ! Le rabbin est tellement estomaqué qu'il écoute le chien bouche bée pendant un quart d'heure sans bouger.
Quand le rabbin reprend ses esprits, il est tellement impressionné qu'il dit au propriétaire :
- Dites un peu, vous n'avez jamais songé à envoyer votre chien dans une école rabbinique ?
Et le gars répond :
- Vous n'avez qu'à le lui demander ! Lui veut devenir docteur !
En rentrant de l’école, un jeune garçon dit à ses parents :
- Papa, Maman, j’ai enfin choisi mon métier.
- Ah bon, s’exclament les parents.
- Oui, je veux être cycliste, dit-il d’un ton assuré.
Le père, désolé, lui répond :
- Tu sais bien, mon fils, que ce n’est pas possible.
Alors le fils, étonné :
- Et pourquoi ça ?
- Parce que tu as peur des piqûres.
C'est un instituteur qui fait ses premières armes en classe et qui a l'occasion de faire un stage dans un cirque. Il est ravi et part en tournée.
A sa première leçon, il décide de faire les présentations :
- Bonjour, je m'appelle Lucien et je serai votre professeur pendant votre tournée.
Il s'adresse à un premier élève et lui demande :
- Et toi, quel est ton nom et que fait ton papa ?
- Moi je m'appelle René ; et mon papa il est trompetteur.
- Trompetteur ? Tu veux dire qu'il joue de la trompette ?
- Oui m'sieur.
- Ah, alors il est trompettiste.
- Ah bon ! Fait René.
Puis il s'adresse à un deuxième élève :
- Et toi ?
- Moi, je m'appelle Philippe, et mon papa, il est jongliste.
- Jongliste ? Tu veux dire qu'il joue avec des balles et des quilles ?
- Oui m'sieur.
- Alors, il est jongleur. On ne dit pas jongliste, on dit jongleur.
- Ah bon ! Fait Philippe.
Puis il se tourne vers un troisième :
- Et toi ?
- Moi, je m'appelle Claude. Mais pour mon papa, avec tout ce que vous venez dire, je ne sais plus très bien s'il est fumeur ou fumiste.
C'est un petit garçon de huit ans qui rentre de l'école :
- Maman, maman !
- Oui ?
- Vu que Papa n'est pas là on peut jouer au papa et à la maman ?
- Oh, écoute j'ai pas trop le temps...
- Allez.... Pour une fois !
- Bon d'accord !
- Alors moi je vais faire comme papa je vais m'installer dans le canapé et tu m'apporteras une bière pendant que je regarde la télé, ensuite tu iras préparer le repas.
- D'accord fiston.
Un peu plus таrd...
- Tiens, voilà ta bière.
- Maintenant tu vas faire comme avec papa quand vous êtes tout seul, tu vas mettre ta jolie robe, celle qui à un grand décolleté devant. Puis nous irons à table.
- J'y vais.
Le repas terminé :
- Alors là maman, tu vas faire comme avec papa, tu vas mettre des dessous sеxy, tu sais, tes jarretelles noires et tout ça. Moi j'irai te rejoindre tout à l'heure.
- Si tu veux mon fils.
Quelques minutes plus таrd, le fils entre dans la chambre et voit sa mère allongée dans le lit avec des dessous affriolants. Il s'allonge de le lit et se glisse contre elle. Il lui caresse le visage puis les cheveux et approche son visage du sien puis il lui dit dans l'oreille :
- Tu sais chérie, je crois qu'on devrait acheter un vélo pour le petit.
Ceci est l'histoire d'un homme qui est né avec trois testicules. Il s'appelait Ernest. Toute sa vie durant, Ernest n'a pas cessé d'alimenter un complexe grandissant au sujet du nombre de ses testicules.
A l'école déjà, tous ses petits camarades se payaient quotidiennement sa tête en l'appelant « sapin de Noël » ou en lui faisant les pires crasses qu'on puisse s'imaginer en rapport avec sa glande surnuméraire.
Puis ensuite l'armée, où ses supérieurs ne l'appelaient pas par son nom mais par celui de « triple bille » ou « la pétanque », son complexe commençait à prendre une importance démesurée.
Pour que son malheur soit complet, les quelques femmes à qui il a pu exhiber sa particulière anatomie sont toutes soit parties en courant effrayées par le monstre, soit elles se sont esclaffé à tel point qu'elles en souffraient à en faire une hernie.
Au bord du suicide, Ernest décide d’aller voir un psychiatre…
- Vous comprenez docteur, avec mes trois testicules, ma vie n'a pas de sens…
- Mais bien au contraire jeune homme ! Imaginez-vous la chance que vous avez ? Vous êtes UNE FOIS ET DEMIE un homme normal ! Bref, vous êtes un surhomme, vous devriez en profiter !
- Mais c'est vrai ça !
Dit Ernest qui rebondit comme un éclair du fauteuil du psy et sort en courant sans même dire au revoir au docteur…
Quelques mètres plus lоin, il monte dans un bus avec la démarche typique du superhomme qu'il est et s'assied à côté d'un monsieur. Ernest lui dit d'un ton condescendant :
- Savez qu'à nous deux nous avons cinq couilles ?
Et le monsieur lui répond :
- Ah bon ? Vous en avez qu'une ?
Comme vous le savez, Socrate était réputé pour sa sagesse. Un jour qu'il se promenait sur l'agora, il fut abordé par un quidam qui l'interpella ainsi :
- Socrate ! Sais-tu ce que je viens d'apprendre a propos d'un de tes élèves ?
- Attention ! lui dit Socrate, avant de dire quoi que ce soit, il faut que tu passes un certain test. Je l'appelle le test du triple filtre...
- Triple filtre ?
- Oui. Avant que tu ne me parles d'un de mes élèves, ce serait bien que tu filtres ce que tu vas dire...
Le premier filtre est le filtre VERITE. Es-tu absolument certain que ce que tu vas me dire est vrai ?
- Euh... C'est a dire... Non. Je l'ai juste entendu dire...
- Bien, tu n'es donc pas certain que ce que tu vas dire est la vérité.
Le second filtre est la BONTE. Ce que tu as à me dire est-il bon pour mon élève ?
- Ben... pas exactement...
- Donc, tu veux me dire quelque chose de désagréable pour mon élève sans être sur que c'est vrai. Essayons le troisième filtre, si tu veux bien. Il s'agit du filtre de l'UTILITE. Ce que tu veux me dire est-il utile pour moi ?
- C'est difficile a dire, plutôt non, en réalité...
- Tu m'accorderas donc que tu souhaites me confier quelque chose de désagréable sur mon élève, qui ne me sera d'aucune utilité et dont tu n'es pas sur que ce soit vrai. Ne crois-tu pas qu'il vaudrait mieux, dans ce cas, te taire ?
- Si, Socrate, je vois bien que tu as raison. Je me tairai donc.
Théorie de comptoir...
Un Troupeau de buffles ne peut pas se déplacer plus vite que le buffle le plus lent. Et quand le troupeau est pourchassé par un prédateur, ce sont les buffles les plus faibles qui restent à l'arrière et qui meurent les premiers. Cette règle de sélection naturelle est une воnnе chose pour le troupeau dans son ensemble, puisque la vitesse générale et la santé du groupe augmentent avec la disparition régulière de ses membres les plus faibles.
De la même manière, le cerveau humain ne peut pas aller plus vite que le plus lent de ses neurones. Or comme chacun le sait, la consommation excessive d'alcool détruit les neurones, mais naturellement ce sont les neurones les plus faibles qui sont attaqués en premier lieu. Dans ce sens, la consommation régulière d'alcool élimine les neurones les plus faibles, faisant du cerveau une machine toujours plus rapide et plus efficace.
Le résultat de cette profonde étude neurologique vérifie et valide la relation causale entre les fêtes (de fin de semaine) et le rendement des mathématiciens, informaticiens, ingénieurs, économistes, avocats, architectes, stagiaires etc.
De cette façon on explique pourquoi, quelques années après la sortie de l'université et après s'être marié, la plupart des professionnels ne peuvent maintenir les niveaux de rendement des étudiants récemment diplômés. Seule la minorité de ceux qui persistent dans le régime strict d'une consommation vorace d'alcool peut maintenir les niveaux intellectuels tels qu'ils étaient durant leurs années estudiantines.
Pour toutes ces raisons, ceci est un appel aux armes. Pendant que notre pays est en train de perdre son potentiel intellectuel, nous ne pouvons décemment pas rester à la maison sans rien faire!!!
Allons au bar !