C'est une fille dont le métier consiste à vendre ses charmes, mais elle est toujours parvenue à ce que sa grand-mère n'en sache rien. Un jour, la police fait une descente anti-racolage, et la fille aboutit au poste...
Les policiers font aligner toutes les filles dans l'attente d'un relevé de leur identité, lorsque la grand-mère fait irruption dans le commissariat. La grand-mère voit sa petite-fille qui fait la queue en compagnie des autres, et elle lui demande:
- Alors ma petite-fille, qu'est-ce que tu fais ici? Pourquoi fais-tu la queue?
Pour garder le secret, la fille lui répond:
- C'est parce qu'on nous distribue des oranges gratuitement mamie!
Alors la grand-mère se dit qu'elle aussi va faire la queue pour avoir des oranges gratuites...
Finalement, lorsque toutes les filles ont donné leur identité et sont passées devant le policier, vient le tour de la grand-mère. Le policier lui demande:
- Ben dites-donc grand-mère, vous êtes rudement vieille pour ça, comment vous faîtes?
Et mémé répond:
- Oh c'est facile: J'enlève mon dentier et je les suces à fond!
Un type furieux se présente devant St Pierre.
- Mais bon sang, qu'est-ce que je fais là ! Hurle-t-il.
Regardez-moi : j'ai 35 ans, je suis en pleine forme, je ne bois pas, je ne fume pas, hier soir je me couche bien sagement dans mon lit et voilà que je me retrouve au ciel. C'est certainement une erreur !
- He bien ! ça n'est jamais arrivé, mais enfin je vais vérifier, répond St-Pierre, troublé. Comment vous appelez-vous ?
- Marcello. Marcello Intini.
- Oui... Et quel est votre métier ?
- Garagiste chez FIAT à Charleroi.
- Oui... Ah, voilà, j'ai votre fiсhе. Marcello, garagiste... He bien, Monsieur Intini, vous êtes mort de vieillesse, c'est tout..
- De vieillesse ? Mais enfin ce n'est pas possible, je n'ai que 35 ans.
- Ah moi je ne sais pas, mais on a fait le compte de toutes les heures de main d'oeuvre que vous avez facturées, et ça donnait 123 ans .
À Brest, un retraité est en train de biner son jardin lorsqu'il tombe sur une vieille lampe à huile, comme celle d'Aladdin.
Sans trop y croire, il la frotte et immédiatement un génie en sort dans un nuage de fumée et de lumières.
- Tu m'as libéré, je t'accorde un souhait. Tu peux tout me demander, je suis le génie le plus puissant de tous les temps !
- Ah ? Et bien j'ai ma fille qui est mariée à un États-Unien. Ils vivent à New-York mais je ne peux pas aller les voir car j'ai peur de l'avion, et en bateau, ça prend des jours et j'ai le mal de mer, je ne tiendrai jamais... Génie, je voudrais une autoroute sur un pont qui relie Brest à New-York !
- Non, mais ça n'est pas possible, ça ! Tu imagines le fond qu'il y a au milieu de l'Atlantique ? Tu vois la portance qu'il y aurait sur le tablier du pont ? Et il y a six mille kilomètres ! Je suis peut-être un génie, mais je ne suis pas Dieu. Ce que tu me demandes c'est de faire un miracle ! Demande-moi autre chose.
- Okay. Alors, je voudrais comprendre les femmes.
- Bon, ton autoroute, tu la veux à deux ou quatre voies ?
Un type en voyage en Espagne entre dans un restaurant. Il consulte le menu et commande des "roupettas", bien que ne sachant pas ce que c'est.
Le serveur lui amène deux grosses boules noires nappées d'un sauce exquise. Après avoir dégusté son repas, il demande au serveur ce que c'est.
"Voyez-vous, il y a une corrida juste à côté. Lorsque le taureau est tué on récupère les morceaux que l'on apprête. Les "roupettas" sont les couilles du taureau."
"Mais c'est absolument délicieux", répond le type.
Un an plus таrd, au cours d'un autre voyage, il décide de retourner au même restaurant. Il commande un plat de "roupettas". Le serveur lui amène un plat contenant deux petites boules dans leur sauce.
"Roupettas"
"Mais, l'an dernier, les boules étaient immenses!"
Le serveur lui répond:
"Vous savez, dans une corrida, ce n'est pas toujours le taureau qui perd!"
(*les "roupettas" sont aussi connues sous le nom "bolo gonzales"),
L'oeuf de la discorde:
Ça s'passe en Belgique, dans les Fourons, un petit village coupé en deux par la frontière linguistique.
V'la qu'une poule wallonne s'échappe de son champ et va pondre son oeuf chez le voisin du côté flamand.
À qui appartient l'oeuf?
Le flamand propriétaire du champ invoque le droit du sol et soutient que comme l'oeuf a été pondu en flandres, il est flamand et donc lui appartient.
Le wallon invoque, bien sur, le droit du sang et explique qu'un oeuf pondu par une poule wallonne est wallon et donc lui appartient.
(Note pour tous les étrangers qui sont d'ailleurs et de plus en plus nombreux dans le monde: ceux qui ont suivi la politique belge connaissent bien cette argumentation),.
Alors le conflit dégénère. Pas moyen de se mettre d'accord.
Ça gueule, ça hurle, ça manifeste, ça scande des slogans séparatistes, quand le flamand propose:
"- Allei, écoute un peu, une fois. On va faire une concours, hein.
Celui-là qui supporte le plus la douleur, il est le meilleur. Alors, on se frappe dans les couilles, et le premier qui dit qu'il a mal, il a perdu, hein, et le oeuf ça est pour l'autre. ça va?"
"- C'est d'accord, dit le wallon, mais c'est moi qui frappe en premier"
Et il assène un formidable coup de latte dans les roubignoles de son voisin. Celui-ci a bien du mal a retenir un cri de douleur tellement le coup était puissant. Le néerlandophone est tout rouge, plié en deux, puis il passe au bleu, est plié en quatre, et finit par se relever, livide mais fier d'avoir enduré la souffrance si héroïquement.
Alors il se dirige vers le wallon et dit:
"- Allei, ça est mon tour, hein".
Et le wallon:
"- Bah, non, finalement tu peux avoir l'oeuf".
C'est un belge (ou un nеwfiе), qui va dans un magasin spécialisé dans les cadeaux et les gadgets. En se baladant dans les rayons, il trouve des lunettes qui déshabillent. Ils les essaie et n'est pas convaincu de leur efficacité, mais le vendeur le voyant hésitant, arrive et lui explique que ces lunettes ne fonctionnent pas bien dans le magasin, qu'elles nécessitent une certaine luminosité pour bien fonctionner etc...
Finalement, notre homme se laisse convaincre. Pour rentrer chez lui à pied, il porte la paire de lunettes, et effectivement, cette fois, il constate que les gens qu'il croise dans la rue sont tout nus! Et lorsqu'il enlève les lunettes, il voit à nouveau les gens habillés! Et du coup, il remet bien vite ses lunettes sur son nez et continue son chemin.
En rentrant dans sa maison, il est impatient de montrer ces lunettes extraordinaires à sa femme, mais il ne la trouve pas. Alors il va voir dans toutes les pièces, et finalement, il ouvre la porte de la chambre à coucher: Là, il voit sa femme et le postier, complètement nus sur le lit.
À peine surpris, notre belgo-nеwfiе enlève ses lunettes, et il les voit encore tout nus. Il remet les lunettes devant ses yeux, et ils sont encore et toujours tout nus.
Alors il dit:
- Bon sang! Quand je pense que j'ai payé ces lunettes 500 francs et qu'elles sont déjà cassées!