C’est un canard qui rentre dans un bar et commande une bière. Le barman éberlué laisse tomber :
- Hé, mais t’es un canard toi !!!
- T’as plutôt une воnnе vue, mon gars ! répond le canard.
- Ouais, mais je veux dire… Tu sais PARLER !?
- Ah, je vois que tes oreilles fonctionnent bien aussi… Bon, maintenant, si tu veux bien, j’aimerais avoir ma bière…
Le barman sert sa bière au canard et lui demande ce qu’il fait dans le coin.
- Oh, c’est simple ; Je suis ici pour quelques semaines ; je travaille dans l’immeuble en construction là-bas…
Et tous les jours suivants, sur le coup de midi, le canard entre dans le bar pour prendre sa bière. La même semaine, un cirque faisait escale dans la ville. Le propriétaire du cirque descend prendre un verre dans le bar et le barman en profite aussitôt pour lui parler du canard extraordinaire.
- Vous devriez le prendre dans votre cirque ! Avec un canard qui parle, vous allez faire un tabac !
Le propriétaire du cirque semble très intéressé et le lendemain, lorsque le canard revient, le barman lui dit :
- Tu sais, il y a un cirque en ville et j’ai parlé de toi au patron de ce cirque… Il a semblé très intéressé.
- Vraiment ? répond le canard.
- Ouais, et même que tous les deux, vous devriez pouvoir vous faire beaucoup d’argent dans l’histoire…
- Attends deux secondes… Tu as bien parlé d’un CIRQUE, c’est ça ?
- Ouais, c’est tout à fait ça !
- Tu veux dire un de ces trucs circulaires sous une tente avec un gros piquet en plein milieu ?
- Exactement!
- Dis-moi, le chapiteau, il est fait de toile, non ? poursuit le canard.
- Oui…. Je peux t’avoir un job dans ce cirque et tu commences demain. Le proprio du cirque est prêt à tout pour t’avoir !
Le canard semble très étonné :
- Et tu peux me dire ce qu’il compte faire faire à un maçon dans un cirque ?…
Un homme entre dans une animalerie et demande un perroquet.
- Nous en avons trois, répond le vendeur. Un à 200 euros, qui parle le français et l’anglais. Un à 400 euros, qui parle le français, l’anglais, le russe, le japonais, le swahili et l’allemand…
- Et celui à 1000 euros parle le papou, l’italien, le latin et le grec ancien en plus ? le coupe le client.
- Non, répond le vendeur, il ne parle pas du tout…
- Ah bon ! Mais pourquoi coûte-t-il 1000 euros alors ?
- Parce que les deux autres perroquets l’appellent chef.
Ne vous êtes-vous jamais demandé ce qui poussait les chiens à se renifler le derrière à chaque fois qu’ils rencontrent un de leurs congénères ? Je vais vous donner l’explication :
Il y a très très longtemps, bien avant que les humains n’apparaissent, c’étaient les chiens qui régnaient en maîtres sur la planète. Ils étaient comme le sont les humains actuellement : ils marchaient sur leurs pattes de derrière, ils parlaient entre eux, bref, ils avaient ce que l’on peut appeler une vraie société… La seule différence est qu’ils vivaient avec un Dieu vivant, le dieu « Nonoss ».
Un jour, en pleine célébration du dieu Nonoss, un des chiens de l’assemblée laissa échapper une flatulence d’une odeur pestilentielle et cette odeur infecte se propagea jusqu’aux narines du dieu Nonoss.
Le dieu fut extrêmement fâché, et demanda au chien coupable de se dénoncer pour qu’il subisse sa punition. Or, aucun chien n’avança. Le Dieu Nonoss, après de multiples menaces, décida de transformer tous les chiens en ce qu’ils sont aujourd’hui.
Et depuis ce jour-là, les chiens cherchent le coupable…
Un représentant de commerce qui était à l’étranger sur les routes depuis plus de deux mois avait enfin la possibilité de rentrer chez lui pour retrouver sa femme et ses enfants afin de fêter Noël en famille.
Pour se faire pardonner après une si longue absence, il décida de faire un beau cadeau à sa progéniture. Sur le chemin de l’aéroport, il s’arrêta dans une animalerie et fit l’acquisition d’un mignon petit chiot labrador.
À l’enregistrement des bagages, une hôtesse lui fait remarquer que la compagnie ne tolère pas les animaux en cabine, et que le chiot devra voyager en soute.
Le représentant fait mine d’acquiescer, puis il se dirige dans les toilettes de l’aéroport et revient se présenter au guichet d’enregistrement un peu plus таrd, sans le chiot…
L’avion décolle et quinze minutes plus таrd, alors que l’hôtesse arpente le couloir de la classe économique, elle remarque le voyageur de commerce qui semble aller très mal : il est pâle, il s’agrippe à ses accoudoirs et de la sueur perle sur son front. L’hôtesse lui demande si tout va bien.
- « Oui, oui, ça va… », répond le VRP, « J’ai juste un peu mal au cœur. »
Pourtant, quinze minutes plus таrd, l’hôtesse revient et constate que la situation a empiré. Une fois encore, elle demande au voyageur si tout est OK.
- Eh bien, lui répond le VRP d’un ton visiblement embêté, vous savez, le chiot que je vous ai montré à l’embarquement et au sujet duquel vous m’aviez dit qu’il devait voyager en soute… En fait, je ne m’en suis pas séparé, mais je l’ai emmené avec moi ici, en cabine, en le cachant dans mon caleçon.
- Ha ha, répond l’hôtesse d’un ton de reproche, vous allez devoir payer une amende pour cela. Mais dites-moi, pourquoi semblez-vous si crispé ?
- C’est que… Apparemment, ce chiot n’était pas encore sevré…