Le président George W. Bush veut augmenter sa popularité. Son staff lui conseille donc d'aller voir les petits américains dans une école primaire et d'expliquer son plan de gouvernement.
Il fait un petit speech aux enfants, puis il leur demande de poser toutes les questions qu'ils souhaitent sur le gouvernemant.
Le petit Bruce lève la main ; on lui donne la parole :
- « Monsieur le Président, j'ai trois questions à vous poser :
1. Pourquoi tout en perdant les élections, vous êtes malgré tout devenu président ?
2. Pourquoi voulez-vous faire une guerre contre l'Irak même si l'ONU s'y oppose ?
3. Comment comptez-vous rembourser tous les frais que cette guerre va coûter aux États-unis, sinon en accaparant la seule ressource financière de l'irak, à savoir son pétrole ? »
À ce moment là, avant que Bush n'ait le temps de répondre, la sonnerie retentit et tous les élèves sortent de la classe. Après la pause, Bush invite à nouveau les enfants à poser des questions.
Le petit Nathan prend la parole :
- « Monsieur le Président, j'ai cinq questions à vous poser :
1. Pourquoi tout en perdant les élections, vous êtes malgré tout devenu président ?
2. Pourquoi voulez-vous attaquer l'Irak même si l'ONU s'y oppose ?
3. Comment comptez-vous rembourser tous les frais que cette guerre va coûter aux États-unis, sinon en accaparant la seule ressource financière de l'irak, à savoir son pétrole ?
4. Pourquoi la sonnerie a-t-elle retentit 20 minutes plus tôt que d'habitude ?
5. Où est Bruce ? »
États-unis d'amerique - demande d'aide d'urgence
Traitement immediat requis
Hautement confidentiel
De: george walker bush
(+1) 202.456.1414 / (+1) 202.456.1111
Fax: (+1) 202.456.2461
Chère madame, cher monsieur,
Je suis george walker bush, fils de l'ancien président des etats-unis d'amérique george herbert walker bush, et actuellement en charge de la présidence des etats-unis d'amérique.
Ce courrier peut vous surprendre dans la mesure où je n'ai jamais eu l'honneur ni de vous rencontrer, ni d'échanger quelque correspondance que ce soit avec vous. Je me permets toutefois de m'adresser à vous, étant en quête d'une personne honorable et digne de confiance pour mener à bien une transaction financière hautementconfidentielle qui nécessite le transfert d'une très importante somme d'argent sur un compte anonyme.
Je vous écris sous le sceau du secret pour requérir votre assistance pour l'acquisition de fonds pétroliers actuellement bloqués en république d'irak.
Mes partenaires et moi-même sollicitons votre aide pour achever une transaction initiée par mon père, qui a travaillé, des années durant, dans l'industrie pétrolière américaine et a servi son pays avec bravoure en tant que directeur de la cia, l'agence centrale d'information des etats-unis.
Durant les années 80, mon père, alors vice-président des etats-unis d'amérique, a cherché à se concilier les bons offices du président de la république d'irak
Pour compenser la perte de la source de revenus pétroliers dans la république d'iran voisine.
Cette initiative, hélas infructueuse, s'est soldée par une brouille avec son partenaire irakien, qui a alors lui-même recherché des sources supplémentaires de revenus pétroliers dans l'emirat du koweit voisin, filiale à 100% des etats-unis d'amérique et du royaume-uni.
Mon père a resécurisé les actifs pétroliers du koweit en 1991, moyennant un coût de 61 milliards de dollars (us dollars 61,000,000,000).
Sur cette somme, 36 milliards de dollars (us dollars 36,000,000,000) ont été financés par ses partenaires du royaume d'arabie saoudite et des autres monarchies du golfe persique, et 16 milliards de dollars (us dollars 16,000,000,000) par ses partenaires allemands et japonais.
Mais les anciens partenaires d'affaires irakiens de mon père ainsi que les réserves irakiennes sont restés sous le contrôle de la république d'irak.
Ma famille sollicite votre aide d'urgence pour financer le remplacement du président de la république d'irak et prendre possession des actifs pétroliers de son pays en dédommagement des coûts occasionnés par cette opération de destitution.
Malheureusement, nos partenaires de 1991 n'ont pas manifesté la volonté de prendre à leur charge les coûts financiers de cette nouvelle entreprise qui, dans la phase à venir, pourrait coûter entre 100 et 200 milliards de dollars (us dollars 100,000,000,000 - us dollars 200,000,000,000), à la fois pour l'acquisition initiale et pour la gestion à long terme.
Sans les fonds de nos partenaires de 1991, nous ne serions pas en mesure d'acquérir les revenus pétroliers bloqués en irak. C'est pourquoi ma famille et nos collègues sollicitent de toute urgence votre aide grâcieuse.
Nos distingués collègues, dans cette transaction financière, sont notamment le vice-président en exercice des etats-unis d'amérique, richard cheney, partenaire initial de l'affaire irakienne et ancien président de la compagnie pétrolière halliburton, et condoleeza rice, dont le dévouement professionnel pour nos affaires est tel que chevron a donné son nom a un de ses navires pétroliers.
Je vous implore de bien vouloir transférer l'équivalent de dix à vingt-cinq pour cent (10 à 25%) de vos revenus annuels sur notre compte pour soutenir cette importante entreprise.
Le service des impôts des etats-unis d'amérique sera en cette occasion notre intermédiaire de confiance. Je vous propose de faire ce transfert avant le 15 avril de l'année en cours. J'ai conscience qu'une transaction de cette ampleur a de quoi inquiéter voire effrayer n'importe qui. Mais je puis vous assurer que tout se passera pour le mieux.
Je puis également vous assurer que l'audace réussit à ceux qui savent profiter des occasions. Sachez que cette transaction financière est 100% légale.
Si vous ne désirez pas participer à cette opération, veuillez prendre contact avec nos intermédiaires pour discuter plus avant du sujet.
Je prie pour que vous compreniez notre situation critique. Ma famille et nos collègues vous en serons éternellement reconnaissants.
S'il vous plait, appelez en toute confiance les numéros de téléphone ci-dessous.
Sincèrement votre
George walker bush
Standard: (+1) 202.456.1414
Commentaires: (+1) 202.456.1111
Fax: (+1) 202.456.2461
Email: president@whitehouse. Gov
Ronald Reagan, au bout de ses deux mandats, s’était forgé une horrible réputation auprès de ses nègres chargés de rédiger ses discours.
En effet, quelle que soit la qualité du travail fourni, cela n'était jamais à son goût. Aussitôt le discours terminé, il mettait un point d'honneur après être descendu de la tribune, à hurler sur le nègre de service.
L'attitude était très peu appréciée. D'autant plus que les nègres savaient que les connaissances de Reagan en matière de discours étaient très limitées.
Un jour, le président моnта à la tribune afin de prendre la parole sur un sujet particulièrement technique. Il commença à annoner la première page, puis la seconde. Enfin, il attaqua la troisième. Celle-ci avait été entièrement griffonnée par le nègre vengeur. Totalement illisible.
Dans la marge figurait la mention :
- « Et maintenant vieux соn, démerde-toi tout seul. »
Clinton meurt et se retrouve aux Portes du Paradis.
Après qu'il ait frappé, Sаinт Pierre arrive et demande :
- Qui va là ?
- C'est moi, Bill Clinton.
- Et que voulez-vous ?
- Ben, heu, rentrer... Quelle question !
- Hmmmm. Alors, voyons voir, dis-moi quelles vilaines choses tu as réalisé de ton vivant ?
Clinton réfléchit un peu et répond :
- Eh bien, disons que j'ai fumé de la marijuana mais on ne peut pas retenir ça contre moi parce que je n'ai pas inhalé la fumée. Il y a eu aussi plusieurs relations extra-maritales - mais il ne faut pas m'en tenir grief parce que ce n'était pas vraiment des relations sexuelles. Et j'ai menti aussi, mais je n'ai pas commis de parjure.
Alors Sаinт Pierre reste pensif un moment en consultant son ordinateur, puis il s'exprime :
- D'accord Bill. Je vais te proposer un marché : on va t'envoyer quelque part où il fait très très chaud, mais on n’appellera pas ça l'Enfer. Tu resteras là-bas pendant un temps extrêmement long, mais on ne parlera pas d'éternité. Et enfin, n'abandonne pas tout espoir en y entrant, mais retiens juste ta respiration le temps que le temps se remette au gel.
C'est Chirac qui rend visite à Bill Clinton, dans le courant de la conversation Chirac lui demande comment il fait pour avoir des ministres aussi intelligents. Clinton lui répond que c'est facile, il suffit de leur faire passer un test !
Il appelle Waren Christopher et lui pose la question suivante :
- Votre mère a eu un enfant, mais ce n'est ni votre frère ni votre sœur, qui est-ce ?
Waren répond :
- C'est facile, c'est moi !
Chirac très impressionné par la clairvoyance du ministre se propose d'essayer le test sur Juppé. A peine rentre en France, il appelle Juppé et lui pose la question… Juppé, pas très sur de lui, prétend avoir une autre communication téléphonique en cours et met Chirac en attente. Il appelle Toubon et lui pose la question. Toubon légèrement ironique lui répond :
- Ben, c'est moi !
Juppé très content d'avoir la réponse reprend sa conversion avec Chirac et lui annonce la réponse :
- C'est Toubon !
Alors Chirac, très déçu intérieurement, lui annonce fièrement :
- Mais non mon petit Juppé, c'est Waren Christopher voyons !
Un problème vu sous différentes politiques, par référence aux vaches.
Féodalisme :
Vous avez deux vaches. Votre seigneur prend un peu de lait.
Socialisme pur et dur :
Vous avez deux vaches. Le gouvernement vous les prend et les met dans une étable avec les vaches d'autres éleveurs. Vous devez entretenir toutes les vaches. Le gouvernement vous donne tout le lait dont vous avez besoin. SOCIALISME
Bureaucratique :
Vous avez deux vaches. Le gouvernement vous les prend et les met dans une étable avec les vaches d'autres éleveurs. Les vaches sont entretenues par des ex-éleveurs de volailles. Vous, vous devez vous occuper des volailles qui ont été prises aux éleveurs de volailles. Ensuite le gouvernement vous donne la même quantité d'œufs et de lait qu'à tout le monde.
Fascisme :
Vous avez deux vaches. Le gouvernement vous les prend, vous loue pour prendre soin d'elles, et vous vend le lait.
Communisme pur et dur :
Vous avez deux vaches. Votre voisin vous aide à les entretenir, et vous partagez le lait.
Communisme soviétique :
Vous avez deux vaches. Vous devez les entretenir, mais le gouvernement prend le lait.
Communisme cambodgien :
Vous avez deux vaches. Le gouvernement les prend et vous tue.
Dictature :
Vous avez deux vaches. Le gouvernement les prend et vous incorpore dans l'armée nationale.
Démocratie pure et dure :
Vous avez deux vaches. Vos voisins décident de qui prend le lait.
Démocratie représentative :
Vous avez deux vaches. Vos voisins élisent quelqu'un pour choisir qui prendra le lait.
Bureaucratie (européanisme) :
Vous avez deux vaches. D'abord le gouvernement vous dit avec quoi vous devez les nourrir et comment vous devez les traire. Puis il vous paie pour ne pas les traire. Puis il vous prend les deux vaches, en tue une, traie l'autre et jette le lait dans le caniveau. Puis il vous demande de remplir des formulaires pour comptabiliser les vaches manquantes.
Anarchie pure et dure :
Vous avez deux vaches. Ou bien vous vendez le lait à un tout petit prix, ou bien vos voisins essaient de prendre les vaches et de vous tuer.
Surréalisme :
Vous avez deux girafes. Le gouvernement vous oblige à prendre des cours d'harmonica.
Olympisme :
Vous avez deux vaches, une américaine et une chinoise. Avant la compétition, on vous montre à la télé un reportage de 15 minutes qui retrace comment la vache américaine a surmonté les affres d'une jeunesse passée dans les ghettos noirs et blancs, avec des parents divorcés etc... Puis on vous montre pendant 10 secondes la vache chinoise battue chaque jour par un fermier tyrannique et ayant vu ses parents abattus, dépecés et découpés devant ses yeux.
La vache américaine gagne l'épreuve, triomphant malgré une sévère foulure de la mamelle, et gagne plusieurs millions de dollars grâce à un contrat passé avec un vendeur de soja.
La vache chinoise est conduite hors du stade et abattue par les officiels du gouvernement chinois, et personne n'entend plus parler d'elle.
McDonald achète sa viande et la sert dans les Big Mac de son restaurant de Pékin.
Ça se passe à l’ONU en pleine discussion sur l’Irak. Question existentielle : Saddam Hussein possède-t-il réellement des armes de destruction massive et faut-il exploser tout l’Irak ?
Dominique de Villepin et son homologue américain Colin Powell discutent apremement d’une éventuelle résolution permettant aux USA d’attaquer l’Irak.
Petit à petit le conflit dégénère. Pas moyen de se mettre d’accord.
Ça gueule, ça hurle, ça manifeste, ça se traite de tous les noms d’oiseaux jusqu’au moment où Colin Powell propose une solution :
- Ecoutez, on va faire un concours. Celui qui supporte le plus la douleur aura gain de cause. Alors, on se frappe dans les couilles, et le premier qui dit qu’il a mal, il a perdu et il accepte que l’autre fasse ce qu’il veut. Ça va comme ça boy ?
- C’est d’accord. Mais c’est moi qui frappe en premier, honneur au vieux continent ?
L’américain ayant acquiescé, Dominique de Villepin assène un formidable coup de latte en plein dans les roubignoles du secrétaire d’Etat américain.
Colin Powell a bien du mal à retenir un cri de douleur tellement le coup était puissant. Il est tout rouge (rouge foncé évidemment...), plié en deux, puis il passe au bleu (toujours le bleu sombre...), est plié en quatre, et finit par se relever, livide (c’est à dire blanc foncé...) mais fier d’avoir enduré la souffrance si héroïquement.
Alors il se dirige vers le français et dit :
- Bon, c’est mon tour, hein ?
Et de Villepin de répondre avec un petit sourire narquois :
- Bah, non... Finalement vous pouvez faire ce que vous voulez...