Un juif très pieux est en train de dire sa prière de l'après-midi sur un rocher juste à côté de la mer. La prière se prolonge et la mer monte, monte, entoure le rocher et monte encore. Le juif continue à prier avec ferveur. Passe un bateau. On lui fait des signes, on l'appelle, mais lui, imperturbable, continue à prier. La mer monte toujours, et menace maintenant de submerger le rocher. Passe un deuxième bateau. On l'appelle pour le sauver mais il continue à prier. La mer monte, recouvre les pieds du juif en prière. Passe un troisième bateau, mais il continue à prier. La mer atteint ses épaules, sa bouche. Il continue obstinément à prier. Puis la mer le recouvre totalement. Il arrive au Ciel d'un air indigné :
- Comment, mon Dieu, tu m'as noyé alors que moi, j'étais en train de prier pour ta gloire ! Tu aurais dû m'épargner !
- Mais, lui répond Dieu, outré, je t'ai envoyé un premier bateau et tu n'as pas voulu monter dedans. Je t'ai envoyé un deuxième bateau, tu ne voulais toujours pas. Je t'en ai envoyé un troisième, et tu oses me faire des reproches !
C’est un juif, marié depuis bien cinquante ans. Il a tout fêté, les noces d’or, de diamant, de platine, et un jour sa femme lui dit :
- Ecoute David, je ne sais pas ce qu’il y a ce soir, mais maintenant j’ai envie qu’on se dise la vérité. J’ai envie de tout te dire. Je ne veux plus te mentir, et il y a une chose qu’il faut que tu saches.
- Ba ba ba, qu’est-ce qu’il y a ? Qu’est-ce tu m’fais ?
- Voilà, c’est à propos de notre fils… Il faut que je te dise la vérité, je ne peux pas te mentir plus longtemps.
- Quoi, notre fils ?
- Eh ben notre fils, ce n’est pas ton fils !
- C’est pas mon fils ? Qu’est-ce que tu me racontes là ? T’y es folle, ou quoi ?
- Non non, je ne suis pas folle. Rappelle-toi quand on avait notre magasin au Sentier. Tu te souviens ?
- Oui, je me souviens très bien !
- On avait un commis. Tu te souviens du commis qu’on avait ?
- Oui, je me souviens du commis qu’on avait !
- Il était blond, grand, costaud quoi ! Et alors voilà, je couchais avec lui, et notre fils, c’est le fils du commis.
- La misère ! C’est pas vrai ! Mais pourquoi il couchait avec toi, celui-là ? Lui qu’était beau comme tout, costaud, un vrai play-boy, pourquoi il couchait avec toi, que t’es si vilaine ? Parce que si je t’ai épousée, c’est pour ton argent, tu le sais bien ! Alors dis-moi pourquoi il couchait avec toi, celui-là ?
- Ben je lui donnais des sous…
- Quoi ?
- Oui, je lui donnais des sous !
- Et tu les prenais où, les sous ?
- Ben je les prenais dans la caisse…
- Рuтаin, tu prenais des sous dans la caisse et tu dis que le fils il est pas à moi ? Arrête !
Sarah amène le petit Samuel chez le vieux tailleur Isaac afin de lui acheter un beau costume pour sa Bar-mitzva . Ils entrent dans la modeste échoppe :
- Bonjour Sahra, bonjour Samy ! Vous venez pour un costume ?
Sarah lui fait un topo de la situation et lui précise bien :
- Et surtout Isaac, je veux ton plus beau tissu pour le costume du petit !
Isaac lui promet un costume exeptionnel et il prend les mesures du petit.
Une semaine après, Sarah passe chez le vieil Isaac avec son fils pour prendre livraison du vêtement. Le costume est très joli et va comme un gant au petit Sammy. Après avoir payé (très cher, mais bon, un tissu pareil…), Sarah et Samuel s’en vont prendre le bus. Mais voilà qu’un orage éclate soudain et que, le temps de courir s’abriter, ils sont tous les deux trempés jusqu’aux os. Sarah regarde alors le petit Samy, et là, stupeur : le costume, taillé dans un tissu de pacotille a affreusement rétréci et les bras et jambes du petit Samuel dépassent d’une воnnе dizaine de centimètres…
Furieuse, Sarah retourne chez le tailleur en traînant son fils derrière elle, entre furibarde dans la boutique et se retrouve devant le vieil Isaac qui s’exclame en découvrant Samuel :
- Mon dieu, comme il a grandi !
Un futur beau-papa va rendre visite à son futur beau-fils. Il le trouve plongé dans la Torah, en train d’étudier. Il s’assied à côté du jeune garçon et lui demande :
- Alors, on va parler entre hommes. Il faut bien que je saches quelques petites choses avant de te laisser marier ma fille, hein ?… Comment gagnes-tu ta vie par exemple ?
- Heu, eh bien, j’étudie la Torah, et Dieu pourvoira à cela !
- Je vois. Et comment comptes-tu pourvoir aux besoins de ta future femme ?
- Eh bien, j’étudie la Torah, et Dieu y pourvoira !
- Et vos enfants ? Comment vous en occuperez-vous ?
- Une fois encore, la Torah et Dieu feront que tout ira bien.
… Le beau-papa en puissance rentre alors chez lui, et sa femme lui demande:
- Alors ? Quelles nouvelles ?
- Oh… Il n’a pas de travail, il n’a même pas l’intention d’en trouver. Mais il y a au moins une воnnе nouvelle : il me prend pour Dieu !
Hanoucca est dans deux jours, et Monsieur Feldman qui est plutôt fauché rentre chez lui de mauvaise grâce. Il rumine :
- Où vais-je trouver de l’argent pour les cadeaux des enfants et de ma femme ?
Tout en marchant, il passe devant une chapelle. A la porte de la chapelle, une grande affiche dit :
- « 200 Euros offerts à tous ceux qui se convertissent. Offre valable aujourd’hui seulement ! »
Alors le pauvre Monsieur Feldman se dit :
- Voilà la solution à mon problème. Et tant pis si je dois renier le judaïsme ! Il entre dans la chapelle, prend connaissance de sa nouvelle religion, signe en bas de la page et empoche les 200 euros.
De retour chez lui, il annonce à toute la famille :
- Voilà 200 euros pour les cadeaux.
Et il brandit la liasse de billets en l’air. Alors sa femme dit :
- Chéri, tu te souviens de la robe que je t’avais montrée dans la vitrine… Elle est en solde en ce moment.
- Combien coûte-t-elle ?
- Seulement 100 euros, alors qu’elle en vaut bien 150 en temps normal.
Alors M. Feldman prend 100 euros de la liasse et les tend à sa femme.
Le fils dit alors :
- Papa, ça fait pas mal de temps déjà que j’économise pour me payer un VTT. J’ai presque la totalité de la somme…
- Combien te manque-t-il ?
- 50 euros.
Alors M. Feldman prend 50 euros de la liasse et les tend à son fils.
La fille dit alors :
- Papa, la semaine prochaine c’est le voyage de fin d’année. Si je n’y vais pas, je ne verrai plus mes copines. Ça serait trop dur.
- Ne t’inquiète pas ma fille. Combien veux-tu pour ce voyage ?
- 50 euros .
Alors M. Feldman prend les 50 euros restant, les donne à sa fille et fait la grimace en disant :
- Ça ne rate jamais ! Dès que nous les goys on a un tout petit peu d’argent, vous les juifs, vous vous dépêchez de nous le prendre.
C’est un noir au marché de Jérusаlем qui essaie de vendre sa vache à 100 dollars. La vache, une vielle carne avec la peau sur les os, un pis aussi gros que les seins de Jane Birkin. Enfin bref une épave à 4 sabots. Evidemment, aucun client ne se manifeste. Durant 2 heures un juif observe ce noir puis s’approche…
Le juif :
- Tu n’as rien compris à la vente, laisse-moi faire. Si je te la vends, on fait 70% pour moi et 30 pour toi, OK ?
Le Noir :
- Ok.
Le juif commence la vente …
Le juif :
- Voici la toute dernière race de bovin, comme la nouvelle lessive elle est très concentrée. Elle prend moi de place mais donne plus de lait.
Et là, la foule commence à s’avancer, se masser.
Le juif :
- Et oui mesdames et messieurs, voici le dernier cri de la génétique africaine.
Et là, ça devient la cohue pour cette curiosité et les enchères commencent à monter : 100$, 200$, 300$..500$
Le juif :
- Et plus fort encore, elle a été inséminée artificiellement et en plus elle fera deux veaux chaque année.
Et les enchères montent 550$, 600$, 1100$.
Le juif :
- Avec les veaux, plus aucun problème de descendance.
Et là enchères s’enflamment 2000$, 3000$.
Alors à ce moment là, le noir va voir le juif et lui dit :
- Je ne la vends plus !
Le juif :
- Et pourquoi, regarde tout l’argent qu’on va se faire…
Le noir :
- Ouah, mais si elle vaut si cher, je préfère la garder !
C’est Moché qui prie devant le Mur des Lamentations :
- S’il Te plaît, envoie moi 5 millions, s’il Te plaît, 5 millions,…
Silence.
- Bon d’accord, pas 5 millions mais bon 500 000 euros, ça me suffira, allez d’accord 500 000 euros…
Re-silence.
- Bon, c’est un peu trop, d’accord, 50 000… C’est bon 50 000 ?
(..)
- Bon d’accord alors 5000, c’est ridicule 5000… (de plus en plus agacé)
Toujours rien…
- Bon (vraiment agacé), alors au moins l’argent pour payer le taxi…?
Vraiment rien.
Alors, écœuré, Moché s’en va et en partant, il bute sur une pierre. Alors il crie :
- Oh ça va, pousse pas !