Hier, je me suis rendu à la poste. Juste à l'entrée, une jeune fille, un appareil en main, contrôlait la température des gens au cas où quelqu'un est atteint du covid19. La fille était vraiment petite de taille, environ 1m50 et moi 1m90.
Voulant être gentil et lui faciliter la tâche et lui permettre d'atteindre mon front , je me baisse et met un genou à terre. Les gens qui étaient là, en voyant la scène, avaient cru que je demandai sa main...
Alors, en chœur, ils se sont mis à applaudir et à crier, « Accepte ! Accepte ! Accepte ! ». Le pire, c'est quand la fille, les joues toutes rouge de honte, en joignant ses mains, a fini par dire « Oui, j'accepte ! ».
Un dimanche matin, tous les habitants d'un petit village se levèrent tôt pour se rendre à l'église. Avant que le service religieux n'ait commencé, les citadins prirent place sur les bancs et parlèrent de leurs vies, de leurs familles... Soudain, Sатаn apparut dans l'église. Chacun commença à crier, à s'agiter, à courir dans tous les sens afin de s'éloigner du mal incarné. Tout le monde a évacué l'église, excepté un vieux monsieur, assis calmement, apparemment inconscient de cette présence démoniaque. Sатаn est un peu perturbé devant cette réaction, il marcha vers l'homme est dit :
- "Vous ne savez pas qui je suis ?"
L'homme répondit :
- "Naturellement que je le sais !"
Satan demanda alors :
- "Vous n'êtes pas effrayé par ma présence ?"
- "Oh que non !" Répondit l'homme.
- "Mais pourquoi donc ?" répondit-il énervé
L'homme répondit calmement :
- "Oh vous savez, je suis marié depuis 48 ans..."
C'est l'histoire d'un vieux couple marié depuis 45 ans. Ils vivent paisiblement dans un coin paumé dans le centre de la France. L'homme appelle son fils qui vit à Marseille et lui dit :
- Je suis désolé de te gâcher ta journée, mais je dois te dire que ta mère et moi, on a décidé de divorcer, 45 années comme ça c'est assez.
- Mais qu'est-ce que tu racontes papaaaaaaa !
- Nous ne pouvons plus rester ensemble plus longtemps, nous en avons marre l'un de l'autre et je ne veux pas en discuter davantage, je suis à bout, alors appelle ta soeur qui vit à Paris et annonce lui la nouvelle !
Et le vieil homme raccroche. Le fils appelle sa soeur qui explose au téléphone :
- Ce n'est pas possible qu'ils divorcent comme ça, je vais m'occuper de ça !
Elle appelle son père immédiatement, en hurlant dans le téléphone :
- Tu ne vas pas divorcer comme ça, attends jusqu'à ce que j'arrive. Je vais appeler mon frère et nous serons chez toi dès demain matin ! Jusque là, ne fais rien, ne bouge pas, TU M'AS COMPRISE ?
Et elle raccroche.
Le vieil homme raccroche lui aussi et se tourne en souriant vers sa femme :
- C'est OK, ils seront là demain pour Noël et ce sont eux qui payent leur voyage.
La C. I. A. a besoin d'embaucher un tueur. Ce tueur doit avoir des nerfs d'acier, du sang froid, accepter les ordres sans broncher et les exécuter immanquablement, immédiatement, sans faute. Après toutes sortes d'interviews et multiples examens, il ne reste plus que 3 candidats : deux hommes et une femme. Le premier homme est invité à la dernière épreuve. On lui donne un pistolet et on lui dit :
- Dans la salle à côté, votre femme est là, attachée à une chaise. Vous devez l'assassiner.
Le pauvre type refuse immédiatement :
- Je ne peux pas assassiner ma femme, je l'aime trop !
Il est remercié et il s'en va.
Le deuxième candidat se présente, on lui fait la même proposition. Il va dans la salle à côté et revient 2 minutes plus таrd, en larmes. Il rend le pistolet et annonce que ses nerfs ont failli et qu'il ne pouvait pas appuyer sur la détente. Hop, éliminé, il s'en va.
Arrive le tour de la femme. Le type de la C. I. A. lui annonce que dans la salle à côté se trouve son mari, attaché à une chaise. Il lui donne le pistolet avec instruction d'abattre le mari. Elle prend le pistolet, entre dans la pièce et avant même que la porte se soit refermée derrière elle, on entend les coups de feu : ваng, ваng, ваng, ваng, ваng, ваng, ваng ! Après deux secondes de silence, on entend des hurlements, des cris, des coups, des jurons, un bruit énorme. Peu après, la porte s'ouvre, la femme sort et s'essuie la sueur du front. Elle annonce :
- Vous m'aviez pas dit que c'était des cartouches à blanc. Il m'a fallu l'assommer et l'achever avec la chaise !
Un homme et une femme de la haute société dînaient aux chandelles dans un grand restaurant, quand une sculpturale blonde vient rouler une pelleau mari avant de s'éclipser.
- Qu'est-ce que c'était que ça ? Grinça la femme.
- C'était ma maîtresse, ma chère !
- Je demande immédiatement le divorce, tu m'entends, immédiatement !
- Comment ? Lui assure son mari les yeux dans les yeux, tu veux abandonner notre petit palais dans les quartiers chic, ta Mercedes, te fourrures, tes bijoux, notre maison de vacance sur la côte ? Mmmm ?
Ils continuent de dîner en silence, puis le femme pousse son mari du coude et dit :
- Pss, ce ne serait pas Martin, là à l'autre table ? Et avec lui ce n'est pas sa femme !
- C'est sa maîtresse.
- Mm mm ! Dit-elle en reprenant du dessert, la nôtre est mieux !
C'est la nuit des noces. Au milieu de la nuit la jeune mariée se réveille, soupire, s'étire, secoue son mari. Celui-ci se réveille et demande :
- Qu'est-ce qui t'arrive, Chérie? T'arrives pas à dormir?
- Oooh, non, je ne peux pas. Tu sais, quand j'étais petite et que je n'arrivais pas à m'endormir, ma mère me prenait dans son lit, m'embrassait, me câlinait... et j'arrivais à m'endormir très vite après.
- Non mais, et puis quoi encore? Tu voudrais peut-être que j'aille te chercher ta maman en plein milieu de la nuit?
C'est l'histoire de Bernard qui demande à Roger, un copain de travail de passer chez lui le soir pour boire un verre. Lorsqu'ils rentrent à la maison, Bernard embrasse sa femme, lui dit :
- Comme tu es belle aujourd'hui, et comme tu m'as manqué au travail.
Puis, il présente Roger et les deux hommes s'installent pour prendre l'apéro pendant que madame prépare le dîner. Alors que la discussion s'installe, Roger s'étonne de voir que son pote est réellement attentionné envers sa femme, sans cesse en train de la complimenter et de lui faire des bisous, comme s'ils étaient de jeunes mariés, alors qu'ils en sont à 15 ans de mariage... Alors Bernard lui dit en aparté :
- J'ai commencé à agir comme ça il y a six mois. A ce moment là, plus rien n'allait entre nous. Et dès que j'ai montré à ma femme qu'elle était au centre de mes préoccupations, ma vie de couple est devenue merveilleuse... Tu devrais essayer ça toi aussi avec Jeannine.
Le soir même, Roger rentre chez lui. Il embrasse sa femme goulûment, il lui dit :
- Je t'aime, tu es très belle tu sais...
Et sa femme tombe en larmes ! Roger ne comprend pas et il lui demande ce qui ne va pas. Jeannine lui répond :
- C'est le pire jour de ma vie : ce matin il y a Toto qui est tombé de vélo et qui s'est cassé la jambe, ensuite le lave-linge a débordé et tout le sous-sol est inondé. Et maintenant il y a toi qui rentre à la maison, bourré !