Un marin passe à la douane, cachant un perroquet dans son sac. Brusquement, le sac fait entendre :
- Coucou ! Coucou !
Devant l’étonnement du douanier, le marin explique rapidement :
- Cette fois, j’ai emporté une horloge suisse. Je n’ai pas réussi à la régler, comme vous le constatez…
Sorti de la zone portuaire, le marin s’exclame :
- Jacquot, tu n’as pas de certificat de santé, tu risquais l’euthanasie ! Pourquoi ne m’as-tu pas écouté et pourquoi ce « coucou » au lieu de « dring » ?
Le perroquet penaud :
- Dans ma forêt, il y a des coucous faciles à imiter, mais il n’y a pas de réveille-matin…
Pendant la Seconde Guerre mondiale, à Paris, un officier allemand prend tous les soirs un verre dans le même bar, où un perroquet l’apostrophe :
- L’Allemagne va perdre la guerre !
Agacé, l’officier dit au patron :
- Si demain ce perroquet recommence, je l’étrangle et je fais fermer votre bar.
Inquiet, le patron du bar échange son perroquet avec celui du curé. Un perroquet de curé, c’est plus respectable !
Le lendemain, l’officier allemand entre dans le bar et demande au volatile :
- Alors, c’est toujours l’Allemagne qui va perdre la guerre ?
- Que Dieu vous entende, mon fils !