En classe, l’institutrice explique aux enfants les différents régimes alimentaires des animaux :
- Alors les vaches, elles mangent quoi ?
Tous les enfants lèvent le doigt :
- Moi M’dame ! Moi M’dame !
- Oui ?
- Les vaches, elles mangent de l’herbe !
- Très bien ! Et les chiens, qu’est-ce qu’ils mangent ?
- Moi M’dame ! Moi M’dame !
- Oui ?
- Les chiens, ils mangent de la viande !
- Très bien ! Et les ours, qu’est-ce qu’ils mangent les ours ?
Silence dans la classe. Soudain Toto lève le doigt :
- Moi M’dame ! Moi je sais ce qu’ils mangent les ours !
- Oui, dis-nous, Toto.
- Les ours, ils mangent de l’oignon !
Surprise de l’institutrice :
- De l’oignon, Toto ? Ou as-tu appris cela ?
- Ben oui, l’autre jour j’ai entendu Papa dire à Maman :
- « Viens qu’j’te bouffe l’oignon avant qu’les ours arrivent. »
- « Cher Petit Jésus,
C’est bientôt Noël, et j’aimerais bien recevoir un train électrique. Si tu m’en envoies un, je te promets d’être sage pendant UN MOIS.
Merci. … Toto »
Toto contemple son œuvre et se dit qu’un mois c’est un peu long. Il se ravise, prend une nouvelle feuille et écrit :
- « Cher Petit Jésus,
C’est bientôt Noël, et j’aimerais bien recevoir un train électrique. Si tu m’en envoies un, je te promets d’être sage pendant UNE SEMAINE.
Merci. … Toto »
Après lecture de cette nouvelle missive, il se rend compte qu’une semaine ça fait quand même sept longs jours et décide de raccourcir encore le délai :
- « Cher Petit Jésus,
C’est bientôt Noël, et j’aimerais bien recevoir un train électrique. Si tu m’en envoies un, je te promets d’être sage pendant UN JOUR.
Merci. … Toto. »
Alors qu’il est ne train de se demander comment il va faire pour tenir sa promesse, une idée de génie lui vient : Il court au salon, va vers la télévision, sur laquelle trône une statue de la Vierge Marie (dans une
Boule, avec écrit dessus, la neige quand on la retourne et tout et tout).
Il prend la statuette, l’amène dans sa chambre, la planque sous son matelas et recommence à écrire :
- « Cher Petit Jésus,
Si tu veux revoir ta maman… »
C’est Toto et sa petite voisine Jessica.
Ils sont toujours en train de se faire bisquer l’un l’autre. Si l’un a reçu un cadeau pour son anniversaire, l’autre va avoir forcément quelque chose de mieux au sien… Un jour, Jessica reçoit comme cadeau un vélo avec 2 roulettes derrière.
Problème: Les parents de Toto lui disent qu’il n’a pas besoin d’un vélo…
Alors Jessica en profite pour passer et repasser devant la maison de Toto. Toto est terriblement énervé et triste de cette situation et il se met à pleurer et crier devant tant d’injustice! Le papa de Toto lui demande alors ce qui le met dans cet état là, et lorsque Toto lui raconte ce qui se passe, le papa dit quelques mots à l’oreille de Toto et tout de suite, Toto arbore un grand sourire…
Le lendemain, Jessica est à nouveau en train de parader avec son vélo devant la maison de Toto :
- « Eh Toto, t’as vu mon vélo !? T’en as pas un pareil hein ? »
Alors Toto lui fait une grimace et baisse son pantalon devant elle en disant :
- « Ah ouais ? Et bien regarde ça ! C’est quelque chose que tu n’auras JAMAIS ! »
Jessica sachant que Toto dit vrai rentre chez elle en pleurant. Elle dit à sa mère en rentrant ce qui s’est passé. Alors sa mère, pour la consoler, lui dit quelques mots à l’oreille…
Le lendemain, Toto arrive fièrement devant Jessica et baisse son pantalon tout en faisant une grimace, pour lui montrer son trésor. Mais Jessica sourit, soulève sa robe et montre ainsi son sexe à Toto en disant :
- « Tiens regarde ! Ma mère elle m’a dit qu’avec ce truc que MOI j’ai, je pouvais avoir des trucs comme le tien autant que je veux ! »
Une institutrice explique à ses élèves le pluriel et le singulier :
- Bon alors voilà, les enfants, le singulier et le pluriel c’est très facile. Le singulier c’est quand on est un, et le pluriel c’est quand on est plusieurs. Vous voyez, ce n’est pas dur. Bon, alors on va voir si vous avez compris. Dis-moi, Jérôme : quand on dit « une femme regarde par la fenêtre », on parle comment, au singulier ou au pluriel ?
- Ben si une femme regarde par la fenêtre, on parle au singulier !
- Voilà, c’est très bien, mon p’тiт Jérôme. Et toi, Toto, quand je dis « huit femmes regardent par la fenêtre », qu’est-ce que c’est ?
- Ben, c’est un bordel !
Toto rentre de l’école. Sa maman lui demande :
- Qu’est-ce que tu as fait aujourd’hui ?
- Ben, on a eu un contrôle en math, puis on a eu gym, et puis j’ai fait l’amour avec mon prof d’anglais.
- Quoi ?! (La mère est extrêmement choquée bien sûr) Qu’est-ce que tu as fait ? Tu veux dire que vous avez parlé des relations sexuelles en anglais avec le professeur… ?
- Non maman. J’ai bien fait l’amour avec le prof d’anglais !
- Espèce de…. Va raconter tout de suite ce que tu viens de me dire à ton père !
Toto retrouve donc son père et il lui dit :
- Papa, maman m’a dit de te raconter ce que j’ai fait à l’école aujourd’hui !
- Oui Toto, alors qu’est-ce que tu as fait ?
- J’ai eu un contrôle en maths, cours de gym, et ensuite, j’ai fait l’amour avec mon prof d’anglais.
Le père, très fier de son petit Toto, déjà coureur de jupons, séducteur en diавlе, lui dit :
- Oh Toto, c’est super ça ! Tu es bien le fils de ton père. T’es un vrai homme maintenant ! Tu sais quoi ? Pour fêter ça, je vais t’acheter une nouvelle paire de rollers et un beau vélo !!!
- Merci papa ! Pour les rollers, c’est d’accord. Mais pour le vélo, je préfère attendre un peu, parce que pour l’instant j’ai encore très mal au cul…
Le petit Toto rentre de l’école et dit à son papa :
- Papa, j’ai eu zéro en géographie ! Tu te rends compte, j’ai eu zéro !
- Et pourquoi ?
- Parce que je ne savais pas où était la Tchécoslovaquie !
- Demande à ton père quand tu sais pas, demande à ton père… Donne-moi la carte, là, le plan de la région parisienne, je vais te trouver ça, moi, la Tchécoslovaquie !
- Papa, t’es sûr que c’est dans la région parisienne ?
- Bien sûr que je suis sûr ! Parce que tous les matins, à l’atelier, je travaille avec un Tchécoslovaque, il arrive en vélo, donc ça doit pas être lоin !
Ça se passe à la campagne.
La semaine dernière, le père de Toto a participé à la corvée de bois pour l’église (tous les gens du village, une fois par an, préparent le bois pour le chauffage de l’église). En déchargeant la remorque de bois, le père de Toto a cassé, par inadvertance, un carreau du garage de M. le Curé. N’étant pas en très bon termes avec M. le Curé, le père décide de ne rien dire. Il chargera son fils Toto de l’excuser auprès du curé. De retour à la maison, le père dit à Toto :
- Si demain, au catéchisme, M. le Curé vous demande qui a cassé le carreau, tu diras que c’est papa en déchargeant la remorque de bois mais qu’il ne l’a pas fait exprès. Tu y penseras ?
- Oui papa
Le jour du catéchisme arrive. Avant le départ de Toto le père fait les dernières recommandations.
- Tu penseras à ce que je t’ai dit ?
- Oui papa.
Toto part pour le catéchisme en gardant à l’еsрriт les recommandations de son père. Le catéchisme débute. Après une courte prière, M. le Curé passe à l’interrogation sur la religion. Il pose à tour de rôle des questions à chacun des enfants :
- Qui est Dieu ?
- Qui est l’homme ?
Et il arrive à Toto :
- Qui t’a crée Toto ?
Et Toto qui avait déjà préparé sa réponse dit un peu paniqué :
- C’est papa en déchargeant mais il l’a pas fait exprès.
Toto n’avait que neuf ans et comme tous les garçons de son âge, il était très curieux. Il avait souvent entendu le mot « courtiser » par les grands et il se demandait bien qu’est ce que cela voulait dire.
Un jour il décida de poser la question à sa mère. Embêtée sa mère lui proposa d’observer sa grande soeur Marie se faire courtiser par son ami Paul, pensant que c’était la meilleure façon pour lui de l’apprendre. C’est ce qu’il fit le soir même, en se cachant discrètement derrière le rideau du salon. Le lendemain matin il raconta à sa mère ce qu’il avait vu :
- « Marie et Paul ont d’abord fermé presque toutes les lumières. Puis Paul a embrassé Marie et l’a serrée très fort contre lui. Je crois que Marie a commencé à se sentir mal, car elle avait un drôle d’air.
Paul a dû penser la même chose que moi car il a mis sa main dans la blouse de ma soeur pour tâter son coeur. Là, je pense que Marie était vraiment malade. C’était de la fièvre car elle a dit à Paul qu’elle était très chaude.
Tout d’un coup j’ai vu ce qui la rendait malade. Une grosse anguille était entrée dans le pantalon de Paul. Je ne sais pas trop comment mais sans blague, elle faisait bien 20 centimètres de long. Là, Paul a empoigné l’anguille d’une main pour qu’elle ne se sauve pas. Quand Marie a vu ça, elle a eu peur et ses yeux sont devenus grands comme des boules de billard. Marie a dit à Paul que c’était la plus grosse qu’elle avait jamais vue.
A ce moment là, Marie a essayé de faire sa brave en essayant de couper la tête de l’anguille avec ses dents. Mais ça n’avait pas l’air de tuer l’anguille, bien au contraire. Alors, elle a empoigné l’anguille à deux mains pendant que Paul mettait dessus une muselière qu’il avait sortie de sa poche pour l’empêcher de mordre. Après Marie s’est couchée sur le sofa avec les jambes écartées pour faire la prise des ciseaux à l’anguille.
L’anguille s’est pas mal débattue, ensuite Marie s’est mise à gémir et se plaindre et Paul a presque défait le sofa à force de gigoter.
Après une dernière secousse, Marie et Paul ont poussé un grand soupir : c’est là que j’ai compris qu’ils avaient réussi à tuer l’anguille car je l’ai vue pendouiller inerte au moment où Paul lui retirait su muselière. C’est à se demander si elle n’était pas enragée d’ailleurs, car elle était pleine de bave. »
En classe, l’institutrice décide de faire une leçon de cuisine aux enfants; elle décide de leur parler de la COMPOTE.
- Savez vous comment on fait la compote de pommes ?
- Moi, M’dame, Moi M’dame : c’est facile, tu prends des pommes, tu les épluches, tu les laves, tu les coupes en petit morceaux tu les mets à bouillir 10 minutes dans l’eau et quand c’est cuit, tu mixes et voilà !
- Bien, Joseph, bien.
Soudain, Toto se lève et dit :
- Oui, mais, M’dame, pour faire la compote de FIGUES, c’est pas pareil…
- Ah, bon, tu es sûr ?
- Eh ben Ouais. Pour faire la compote de figues, il faut des figues, et pis surtout, une LIME…
- Mais où as-tu été cherché ça, voyons ?
- Ben, l’autre jour, je passais devant la chambre de mes parents et j’entendais Maman qui disait à Papa :
- « arrête de limer, j’ai la figue en compote ! »
Ça se passe en classe. C’est une institutrice qui n’a pas de bol, il y a un inspecteur qui arrive. Et c’est toujours embêtant quand il y a un inspecteur, parce qu’il faut que la classe soit mieux ce jour-là que les autres jours. Et l’inspecteur fait :
- Bonjour Mademoiselle, c’est pour une inspection académique, je vais me mettre dans un coin, faites votre cours comme si de rien n’était.
- Bon, j’étais en train de faire un cours de morale, justement, sur les considérations générales de la vie. André, dis à Monsieur l’inspecteur ce que tu voudrais faire quand tu seras grand !
- Moi je voudrais être mécanicien ! Parce que j’adore la mécanique, j’ai des petites voitures et chez moi, c’est moi qui les remonte, c’est moi qui les trafique, je veux être mécanicien.
- Vous voyez, Monsieur l’inspecteur, on a de tout, il y en a qui sont tentés par les travaux manuels. Et toi, mon petit Pascal ?
- Ah, bah moi, je veux être menuisier parce qu’à la maison, pour Noël, j’ai eu un petit établi avec tout pour fabriquer de petits meubles…
- Vous voyez, ils sont plutôt manuels, mais enfin, c’est un collège technique. Et toi Toto ?
- Moi, quand je serai grand, je vais avoir le corps couvert de poils.
Là, la prof est un peu consternée quand même :
- Comment ça, comment ça, couvert de poils ?
- Ouais, ouais, je vais avoir le corps couvert, mais plein plein, plein, plein de poils des pieds à la tête, même sur le bout des pieds. Plein de poils.
- Je ne comprends pas, mais pourquoi ?
Toto répond :
- Parce que ma soeur elle en a juste un petit peu en bas et tu verrais le pognon qu’elle gagne !