Blague sur les juifs, Humour Juif
Ce sont deux associés, patrons d’un magasin de prêt-à-porter du Sentier, Abraham et David, qui sont à deux doigts de déposer le bilan.
La seule chose qui pourrait les tirer de là serait d’obtenir un prêt de la banque. Alors ils passent remplir un dossier de demande de prêt et leur ami, le « conseiller financier » leur dit :
- Si vous n’obtenez pas de courrier avant la fin de la semaine, ça voudra dire que le prêt vous est accordé.
Les dernières nuits jusqu’à Samedi, Abraham et David n’arrivent plus à dormir. Ils n’ont plus d’appétit. Toute la matinée, ils guettent l’arrivée du facteur. Le samedi matin enfin, le facteur arrive enfin. Il porte une enveloppe à la main.
Abraham, le plus solide moralement s’avance vers le facteur, prend l’enveloppe, pressentant le pire, il l’ouvre avec les larmes aux yeux, puis il lit la lettre…
Et un immense sourire illumine alors son visage alors qu’il dit à David :
- Воnnе nouvelle. C’est juste ton frère qui est mort.
Deux mères juives se rencontrent après s’être perdues de vue pendant plusieurs années…
- On m’a dit que ton fils s’est marié… Félicitations !
- Oïe, ne me parle pas de ce malheur ! Une véritable catastrophe ! Son épouse ne fait rien de sa journée ! Elle fait la grasse matinée, mon fils lui apporte les croissants au lit, elle ne cuisine pas, ne lave pas le linge, ne repasse pas, ne débarrasse même pas la table ! Elle se prélasse à longueur de journée !
- Oïe ma pauvre ! Et ta fille, elle est mariée ?
- Ah ma fille ! AU moins elle, elle est bien tombée. Son mari est a-do-rable ! Il lui apporte le petit déjeuner au lit, fait la cuisine à sa place, s’occupe des lessives et du repassage ! Elle peut se reposer et s’occuper d’elle-même !
David et Moché ne se sont pas vus depuis des années. Ils se retrouvent à la terrasse d’un café et discutent de ce qui leur est arrivé depuis leur dernière rencontre. Finalement, Moché invite David à venir dîner chez lui un de ces soirs :
- J’ai une femme et trois enfants, et ils seront très contents de te voir !
- C’est d’accord. Dis-moi, où est-ce que tu habites alors ?
- Tiens, je t’ai écrit l’adresse sur ce petit bout de papier. Tu verras, il y a plein de places pour se garer. Une fois devant la porte de l’immeuble, ouvre la avec un bon coup de pied, va jusqu’à la porte de l’ascenseur et appuie sur le bouton avec ton coude pour l’appeler. Une fois dedans, appuie sur le 6ème bouton, toujours avec ton coude. Au 6ème étage, tu verras mon nom sur la deuxième porte à droite. Alors presse le bouton de la sonnette avec ton coude et on t’ouvrira !
- Très bien… Mais dis-moi, qu’est-ce que c’est que cette histoire, d’ouvrir les portes d’un grand coup de pied, et d’appuyer sur les boutons avec le coude ?
- Ben, tu ne vas quand même pas venir les mains vides…
Rebecca, onze ans, rentre de l’école :
- Maman, Maman, la maîtresse, elle veut que, demain, nous venions en costume traditionnel !
- Oh, chéri, t’entends ça ! La petite, elle a pas douze ans, qu’elle a déjà besoin d’un manteau de fourrure !
Moché se tourne et se retourne dans son lit, il n’arrive pas a trouver le sommeil.
Au bout d’un moment, Sarah son épouse commence à s’inquiéter et lui demande :
- Mais dis-moi Moché, qu’est-ce qui t’empêche de dormir comme ça, tu emm….. Tout le monde ?
- Eh bah voila, je dois 1500 euros à Lévi et je dois lui rendre demain.
- Et alors ? Plaie d’argent n’est pas mortelle !
- Mais j’les ai pas les 1500 euros, j’vais pas pouvoir lui donner.
- Et c’est pour ça que tu dors pas ? Attends…
Sarah se lève alors, va à la fenêtre, l’ouvre et appelle.
- Lévi, lévi !
De l’autre côté de la rue, une autre fenêtre s’ouvre et Lévi demande, la tête enfarinée :
- Quoi, Sarah, pourquoi tu m’appelles la nuit ?
- Mon mari il te doit 1500 euros, il les a pas, il pourra pas te les donner demain !
Elle referme la fenêtre, se tourne vers son mari :
- Maintenant, toi tu dors, lui, non.
Sarah et Moise viennent de se marier. A table :
- C’est bon, Sarah, ce que tu fais à manger. Mais tu ne voudrais pas me faire la recette des pastellas comme ma mère me la fait ?
Sarah, pour satisfaire son mari, lui prépare des pastellas pour le dîner du lendemain. A table :
- Comme c’est gentil ! Tu m’as fait des pastellas ! Ah elles sont pas comme ma mère les faisait. Tu as demandé à ma mère la recette ? Demande-lui, elle les fait très bien.
Sarah pousse l’abnégation jusqu’à téléphoner à sa belle-mère pour avoir la recette, et lui prépare le lendemain, avec la salade de poivrons. A table :
- Ah ! C’est très bon ! Mais ma mère, elle doit pas tout à fait faire comme ça.
Le lendemain, Sarah reçoit sa mère dans l’après-midi, pour le thé et les biscuits. Sa mère :
- Alors ma fille, heureuse en mariage ?
- … (petit soupir)
- Quoi ? il critique ta façon de cuisiner ?
- Oui belle maman.
- Ecoute mon conseil, ma fille. Ce soir, pas de petits plats, pas d’entrée, pas de dessert. Ce soir, tu mets un déshabillé affriolant, tu choisis une lumière tamisée, et tu l’attends dans la chambre.
Le soir, le mari entre, appelle sa femme :
- Sarah ?
La table n’est pas mise, pas d’odeur de cuisine.
- Sarah, où es-tu ?
Il avance vers la chambre, découvre sa femme dans un déshabillé transparent, éclairée par une lumière tamisée, et pousse un cri d’inquiétude :
- Sarah ! Qu’est-ce qui est arrivé à ma mère ?!
C’est l’histoire de quatre rabbins qui discutent tous les jours de théologie, mais sur les quatre, il y en a toujours trois qui sont d’accord contre un qui n’est pas d’accord.
Un beau jour, le rabbin qui perd toujours à trois contre un en a marre et il décide de faire appel à une autorité supérieure… Il emmène les trois autres rabbins sur une colline et il prie puis il s’écrie :
- Oh Mon Dieu !, je sais au plus profond de moi que j’ai raison et qu’ils ont tort ! S’il te plaît, fais-moi un signe pour leur prouver que je dis vrai !
C’était une magnifique journée, très ensoleillée, et cependant, dès que le rabbin eut terminé sa phrase, un nuage noir d’orage obscurcit les cieux, il y eut un grondement de tonnerre, puis le nuage se dissipât aussi vite qu’il s’était formé…
- Ah vous avez vu ?! Un signe de Dieu ! Je savais bien que j’avais raison !
Mais les trois autres ne furent pas d’accord, faisant remarquer que la formation de nuages d’orage est chose tout à fait normale par une belle journée chaude.
Alors le rabbin se remit à prier :
- Oh Mon Dieu, j’ai besoin que tu fasses un signe plus fort pour leur montrer que j’ai raison et qu’ils ont tort !
Cette fois, plusieurs nuages noirs se formèrent et vinrent s’agglomérer en un seul énorme nuage; il y eut un formidable grondement, puis un magnifique éclair traversa le ciel et vint frapper un arbre sur la colline d’en face :
- Je vous l’avais dit que j’avais raison, je vous l’avais dit !
Mais les trois autres rabbins lui répondirent que tout ce qui venait de se passer pouvait être expliqué de façon naturelle…
Le rabbin s’apprêtait à demander un énooorme signe à son Dieu, mais au moment où il ouvrait la bouche pour parler, la nuit se fit dans le ciel, la terre trembla, et venue de nulle part, une voix caverneuse dit :
- « Illl aaaa raaaiiiisooooon »
Alors le rabbin mit ses poings sur ses hanches et se tourna vers les trois autres pour leur dire :
- Ha ! Alors ? Qu’est-ce qu’on dit maintenant ?
Et les trois autres répondent :
- Ben, maintenant ça fait 3 contre 2
David et Sarah, sa femme, vont au cinéma. Là, au milieu du film, il y a une grande scène d’amour où Belmondo tente de séduire Carole Bouquet. Et c’est vraiment le Belmondo des grands jours :
- Pardon, me voilà ! J’arrive ! Vous m’attendiez ! Mystère, sadisme, tout le charme de l’Orient, poussez-vous !
Alors Bébel prend la main de Carole Bouquet, qui est rose comme un bouquet de crevettes, et il la caresse en disant :
- Vos yeux sont merveilleux, ils ont les reflets bleus des harengs du Mexique lorsqu’ils sont amoureux. On partira, on s’aimera dans des draps turquoise. Il y aura la mer, il y aura vous, il y aura moi, il y aura nous, etc.
Le film se termine sur un baiser langoureux, les gens sortent de la salle et Sarah dit à David d’un air rêveur :
- Quand même, tu as vu dans le film, qu’est-ce qu’il est amoureux de sa femme ! Tous les beaux poèmes qu’il lui dit ! Pourquoi tu as jamais fait ça avec moi ?
Et David lui répond :
- Tu sais combien il est payé, lui ?
David, donc, va prier tous les samedis à la synagogue et dit :
- « Mon Dieu, s’il te plaît fais-moi gagner 1 million, s’il te plaît, je sais que c’est toi le vrai Dieu, alors fais-moi gagner un million et je donne la moitié à la synagogue ». Tous les jours, c’est la même chose, et il ne gagne jamais.
Dégoûté, il dit :
- « Attention, mon Dieu, si je ne gagne pas cette fois, je vais à l’église ! »
Et comme il perd, il va prier à l’église :
- « Jésus, s’il te plaît, fais-moi gagner 1 million et je te jure que je donnerai la moitié à l’église et à toutes les paroisses. »
Il joue le jour même et hop ! il gagne le million…
Alors, il retourne à la synagogue et dit :
- « Mon Dieu, il y a que toi qui savait que j’allais rien donner, hein ? »