Blague sur la Prison, Blague sur les Prisonniers
Deux mères juives sont en train de discuter de leur fils respectifs qui sont l'un comme l'autre en prison.
La première dit :
- Oïe, si tu savais, mon fils, il a vraiment pas de chance. Il est dans un QHS à Fleury-Mérogis, on ne lui permet pas de voir d'autres personnes, il a tout juste le droit de marcher une heure par jour, tout seul...
La deuxième lui répond :
- Oh, le mien, il est à la prison de Fontainebleau. On lui laisse pas mal de libertés : il a droit au parloir, il m'écrit toutes les semaines, il a accès à la librairie de la prison comme il veut, il est même en train de prendre des cours pour passer son bac...
Alors la première :
- Oïe, comme vous devez être fière !
Un prisonnier de guerre est dans sa cellule depuis des mois. Il est déprimé et pense à se suicider. Un soir, il entend une petite voix lui dire :
- Non, ne te suicide pas, je suis là !
Il cherche et finalement découvre une petite fourmi, avec laquelle il arrive à communiquer télépathiquement. Il lui donne des miettes de repas, lui fait raconter son histoire, comment elle est arrivée jusque là, sur la semelle d'une botte de gardien. Elle est seule aussi dans la vie. Ils font des projets d'avenir. Finalement, il est libéré. Il part avec sa précieuse amie fourmi dans une pochette. Il va droit à un bistrot et demande une bière, sur la terrasse.
La fourmi demande :
- Sors-moi, je voudrais voir ce que tu bois et en avoir une goutte.
Il lui répond :
- Mais oui, chérie, voilà.
Le garçon de café arrive, ramasse la monnaie et demande si la bière était воnnе.
- Mais oui, excellente !
- Oh, répond le garçon, mais il y a une fourmi à côté de votre verre ! Excusez-moi pour la table !
- « Tiens, sale bête », dit-il en l'écrasant de son chiffon....
C'est trois femmes, deux brunes et une blonde condamnées à mort au Chili, un prêtre leur rend visite pour qu'elles puissent se confesser. Il prend pitié d'elles et leur conseil :
- « ici, les gens ont peur des catastrophes naturelles, ils sont persuadés que c'est la colère de Dieu. » Arrive le jour de leurs exécutions. On emmène la première brune dans la cour de la prison et on l'attache au poteau. Le commandant crie « en joue », la femme morte de peur repense aux paroles du prêtre et crie « tornade », là les soldats terrifiés se sauvent et elle en profite pour s'enfuir. Les deux autres femmes sont stupéfiées. Un peu plus таrd, on emmène l'autre brune, le commandant crie « en joue » et elle crie « cyclone », miracle, la même chose se produit. Elle en profite pour s'en aller sans demander son reste. La blonde se pose des questions et réfléchie à ce qu'elle pourrait bien dire pour s'en sortir. On vient la chercher, on l'attache, le commandant crie « en joue » et, sûr d'elle, la blonde s'écrie « FEU ».