Blague sur les Agriculteurs, Blagues sur les Paysans
Dans une ferme, un éleveur de vaches qui vient tout juste de se marier donne les instructions à sa jeune épouse avant de partir en ville pour la matinée :
- « Alors, l’inséminateur va passer ce matin pour une des vaches. J’ai accroché un clou en face de la stalle de la vache à inséminer. »
La femme, qui est de la ville, et qui manque un peu de bon sens, trouve cela étrange, mais lui dit qu’elle a bien compris, et le mari quitte la ferme pour la ville.
L’inséminateur arrive plus таrd, et la femme le conduit à l’étable, et dans l’étable, à la stalle avec le clou planté par le mari.
- « C’est cette vache là. » lui dit la femme.
- « Et à quoi sert le clou ? » demande l’inséminateur.
- « Je ne sais pas. Je suppose que c’est pour accrocher votre pantalon. »
C’est l’anniversaire de mariage de René, ils ont 50 ans de vie commune, sa femme Simone et lui, on passé toute leur vie à la ferme et René décide de fêter leur anniversaire d’une manière un peu spéciale… – Dis donc Simone, qu’est ce tu dirais si je te prenais là sur la clôture ?
- Mais René enfin tu n’y penses pas sérieusement aujourd’hui nous ne sommes pas le dernier Samedi du mois…
- Je sais Simone mais ça compte pas, aujourd’hui, c’est notre anniversaire.
- Oh ben non quand même, que vont dire les vaches ?
- Et ben elles diront que l’taureau leur manque et pis c’est tout !
- Bon puisqu’y a pas moyen de t’raisonner on y va…
Alors René entreprend la Simone et il y va gaiement, contre la barrière, comme lorsqu’ils étaient jeunes. Et au bout de quoi disons 10 minutes l’affaire est faite. Mais René demande à Simone :
- Dis donc tu bougeais pas comme ça avant… que se passe-t-il ?
- Et ben je sais mais dans le temps, mon René, les barrières n’étaient point électrifiées…
C’est une directrice d’une école laïque dans un petit village du Cantal. Et elle était drôlement furieuse parce que tous les jours, le père Eugène, pour gagner du temps, faisait traverser la cour de l’école à ses vaches. Et la cour de récréation était dans un drôle état, après leur passage…
- Je leur ai écrit plusieurs fois, à la Mairie ! Ils ne m’ont jamais répondu ! Bon, demain, s’il revient, l’Eugène va m’entendre !
Et le lendemain, comme d’habitude, le père Eugène arrive avec ses vaches.
- Allez, les petites !
- Dites donc, père Eugène, vous allez me faire le plaisir de prendre vos vaches et de faire le tour ! Maintenant c’est terminé, de traverser la cour ! Enfin, quand même, ici c’est une école !
- Eh, mais ch’peux point faire le tour, moué !
- Ah oui ? Et pourquoi ça ?
- Ch’ peux point faire le tour parce que ça me fait faire un сré bon dieu d’détour… L’école, c’est le chemin le plus court. Vous vous rendez compte, à pied, sans chien, avec un troupeau de vaches ? Mais si ch’ fais le tour, j’ me rallonge d’au moins cinq cents mètres, ma воnnе dame ! Moi, ch’ peux point !
- C’est bien beau, tout ça, mais regardez-moi dans quel état vous me mettez cette cour ! C’est pas Dieu possible ! Je ne sais pas, moi ! Je veux bien que vous passiez par là, mais alors revenez nettoyer !
- Eh, c’est qu’ moué j’ n’ai point l’temps, vous comprenez…
- Ah il faut trouver un moyen, ça ne peut pas continuer comme ça ! Vos vaches, elles ne peuvent pas se retenir ?
- Ah ben vous en avez d’ bonnes, les gens d’Ia ville… Vous savez, les vaches, pouvez toujours leur expliquer : elles font ce qu’elles veulent !
- Et si vous leur mettiez un sac sous la queue ?
- Un sac sous la queue ?
- Oui, vous voyez, un genre de petite bourse : ça ferait moins de saletés !
- Ben moué, ça fait tantôt soixante-dix ans que j’en ai deux sous la queue, et c’ n’est point pour ça que j’arrive à faire dedans !
C’est un fermier qui trouve qu’une de ses poules n’est plus assez rentable. Tous les matins, lorsqu’il la croise dans la basse-cour, il lui enfonce un doigt dans l’аnus afin de vérifier si elle va pondre.
Le premier jour, la poule, un peu surprise, ne réagit pas. Le deuxième jour, elle est inquiète. Plus les jours passent, plus son inquiétude croît.
Elle se décide enfin à aller voir sa copine la vache, et lui dit :
- Depuis 15 jours, tous les matins, le fermier me met un doigt dans le cul, et puis plus rien. Il s’en va comme si de rien n’était. C’est frustrant à la fin !
- Tu penses, dit la vache, moi, ça fait 5 ans qu’il me caresse les seins, et il ne m’a jamais embrassée !