Blagues sur les Dentistes
On est en Corse. Deux voleurs de poules, Doumé et Sauveur, s'approchent d'une ferme où ils ont l'habitude de commettre leurs larcins. Mais ce coup-ci, ils ne savent pas que le fermier les a repérés et s'est préparé à leur visite, muni d'une batte de base-ball.
Ils arrivent près de la palissade dont une des planches est disjointe. Doumé s'agenouille, soulève la planche et passe la tête par l'ouverture.
De l'autre côté, le fermier lui flanque un magistral coup de batte qui lui pète toutes les dents. Alors Doumé recule et se relève en se tenant la bouche avec les deux mains, tellement ça fait mal.
Sauveur, surpris, lui demande :
- Mais qu'est-ce que tu fabriques ?
Et Doumé répond à travers ses deux mains :
- Vas-y, toi : j'ai le fou rire...
C’est un juif, David qui va à l’hôpital pour se faire faire un bilan de Santé. L’infirmière arrive pour la radio et lui fait :
- Enlevez votre chemise, s’il vous plaît, et la médaille entre les dents !
L’infirmière, elle est drôlement belle, et David se dit :
- « Qu’est-ce qu’elle est bien foutue, celle-là ! ». Au bout d’un moment, pour passer le temps, l’infirmière lui demande :
- Qu’est-ce que vous faites, comme métier ?
Et le David lui répond :
- Ben je suis dans les affaires…
- Et ça marche ?
Alors là, le David qui est en slip lui fait :
- Ben justement, il se trouve que j’ai une petite affaire qui monte : vous ne voulez pas la prendre en main, non ?
La genèse :
Au commencement était l'Appel d'Offres et l'Appel d'Offres était sans forme ni structure et l'obscurité s'étendait sur la face du Client, et la face du Client se détournait de la Compagnie.
Aussi la Compagnie dit :
- « Qu'il y ait une proposition »
Et alors il y eut une proposition, et le Client vit que cela était bon, et la face du Client se tourna à nouveau vers les Travaux de la Compagnie.
Alors la Compagnie rassembla toutes les espèces de créatures, et de ce rassemblement naquit l'Équipe Projet et l'on dit que cela était bon. De l'Équipe Projet naquirent les Ingénieurs et les Programmeurs et plusieurs autres formes de vie.
Et l'un fut choisi dans cette multitude, qui fut élevé au dessus de tous les autres et qui fut appelé « Chef de Projet ». Et il eut a conduire l'Équipe Projet par le chemin de la productivité pour le bien de la Compagnie.
Et il advint que la pensée du Chef de Projet fut troublée par l'Appel d'offres et il crut alors que toutes choses étaient possibles, bien qu'il n'existât point, alors, de spécifications.
Donc le Chef de Projet ordonna que tous les Programmeurs soient rassemblés en un même lieu et il parla a leur chef, qui fut appelé « Chef Programmeur » :
- « Qu'il y ait un Planning, par lequel je connaîtrai la Date de Livraison, et je te ferai responsable pour l'accomplissement de ce planning ». Alors le Chef Programmeur vit au devant de ses collaborateurs et leur demanda :
- « Comment ceci se fera-t-il ? ».
Et ses adjoints se séparèrent, chacun a sa table, et ils estimèrent, comme était leur coutume. Et il advint que chaque Programmeur apporta une estimation et après beaucoup de soupirs et de grincements de dents, toutes les estimations furent harmonisées et résumées en un monument qui fut appelé Plan de Réalisation. Et le Chef Programmeur amena le Chef de Projet au Plan de Réalisation, disant :
- « Regardez l'accomplissement prendra de nombreux mois ». Mais le Chef de Projet ne fut pas satisfait et dit :
- « Je t'avais élevé des profondeurs et donné tant de feuilles de codage et malgré cela tu n'as pas compris l'Appel d'Offres ; ton Plan de réalisation est trop long ».
Alors le Chef de Projet paya des consultants, autorisa beaucoup d'heures supplémentaires et supprima toutes les vacances.
Puis il parla au Chef Programmeur :
- « Regarde, vois tout ce que j'ai fait ; la date de Livraison sera dans une année ».
Et le Chef Programmeur mit ses collaborateurs à analyser et à coder et il y eut de nombreuses réunions et beaucoup d'heures d'ordinateur furent utilisées à ce travail, bien qu'il n'y eut encore aucune Spécification.
Et il advint que le Chef de Projet examina les analyses et vit que cela était trop ambitieux et il sut qu'ils ne pourraient l'accomplir pour la Date de Livraison. Alors le Chef de Projet ordonna au Chef Programmeur de séparer l'étude en deux parts. II appela l'une « Fonctions Indispensables » et il appela l'autre « Options » - et le Client dut accepter.
Et le Chef de Projet ordonna :
- « Que les Sociétés de Logiciel envoient leurs Représentants et qu'il y ait un Système de Gestion de Bases de Données » et il en fut ainsi.
Les représentants présentèrent toutes sortes de brochures qui annonçaient des choses nombreuses et merveilleuses - chacun en accord avec sa propre organisation de fichier. Et il advint qu'un Système de Gestion de Bases de Données fut choisi et le Chef Programmeur dit que cela était bon et que plus de programmeurs étaient nécessaires si tout devait être accompli pour la Date de Livraison.
Donc l'Équipe de Projet fut augmentée presque sans limites. Le Chef de Projet, surveillant cela de lоin, dit :
- « Qu'il y ait une Organisation » et il y eut une Organisation.
Et l'Équipe de Projet fut divisée en nombreux groupes qui ne se parlaient pas l'un à l'autre et il fût dit que, peut-être, cela était bon. Le Chef Programmeur appela certains « Programmeurs Confirmés » et il appela les autres « Programmeurs débutants » et il donna pouvoir aux premiers sur les seconds.
Et les Programmeurs Confirmés virent que cela était bon tandis que les Programmeurs Débutants virent cela autrement.
Et le Chef Programmeur exhortait ses collaborateurs à des efforts encore plus grands car la Date de Livraison était proche et le souffle du Chef de Projet pesait sur sa nuque.
Les Programmeurs Confirmés et les Programmeurs Débutants s'effrayèrent à la fois. Ils luttèrent de toutes leurs forces pour satisfaire le Chef Programmeur avec beaucoup d'heures supplémentaires et de nombreux commentaires, et chacun coda et dessina des organigrammes, chacun à sa propre mode. Le Chef de Projet, voyant cela, ne l'aima pas et ordonna « Qu'il y ait des Standards » et il y eut des Standards mais les Programmeurs ne les aimèrent pas et la productivité chuta. Quand il apprit ceci le Chef Programmeur prit peur d'être rejeté de sa haute fonction et ainsi il ordonnât :
- « Qu'il ait des États d'Avancement » et il y eut des États d'Avancement.
Le Chef Programmeur regarda les États d'Avancement et il vit que la Date de Livraison ne serait pas tenue. Aussi, au dixième mois, le Chef Programmeur se dressa, brossa son costume, rasa sa barbe et vint devant le Chef de Projet, se prosternant, et accusant, et appelant la malédiction sur toutes les espèces de créatures qui vendaient du matériel et du logiciel. Et le Chef Programmeur demanda une prolongation.
Ce qui provoqua la colère du Chef Projet et amena des doutes sur la légitimité des ancêtres du Chef Programmeur, jusqu'à la troisième et la quatrième génération incluses, et l'on battit sa coulpe et il y eut beaucoup de cheveux arrachés - principalement du Chef Programmeur. Et le Chef de Projet ordonna au Chef Programmeur de mettre en oeuvre tout le personnel des Sociétés de Service et tous les consultants. Mais le Chef Programmeur refusa de dire que tous étaient nécessaires car il n'y avait, pas encore, de spécifications.
Et il advint qu'une prolongation fut obtenue et le Chef programmeur revint vers ses collaborateurs apportant ces nouvelles et la joie et l'entrain revinrent parmi les terminaux et la machine à café s'épuisa.
Au vingtième mois, le Chef Programmeur dit :
- « Que les modules soient intégrés, chacun avec les autres, afin que les Test Système puissent commencer ». Et il en fût fait ainsi et de grandes difficultés apparurent et de nombreuses heures supplémentaires furent dépensées à chercher pourquoi les modules ne voulaient pas s'intégrer, car il n'y avait pas de documentation et, pas encore, de spécifications.
Puis, au vingt-quatrième mois, le Chef Programmeur alla vers le Chef de Projet et lui dit « Regardez, j'apporte de grands espoirs de grandes joies pour nous et pour le Client, car en ce jour le Système a fonctionné ». Et soudain, il y eut autour d'eux une foule, une multitude de commerçants acclamant le Chef Programmeur et chantant :
- « Gloire à la Compagnie , au Chef de Projet et au Chef programmeur et s'il vous plaît pouvez-vous faire cette petite modification ? ».
Et le Chef Programmeur se dressa et leur parla en ces termes :
- « Nous ne nous y risquerons pas car il n'y a pas de documentation et, pas encore, de spécifications »
D'après un texte anglais paru dans « SDL NEWSLETTER » n°2.
Qu'est-ce que la femme veut vraiment dire quand elle parle à l'homme ?
- « Non. »
=> « Oui. »
- « Oui »
=> « Non »
- « Peut-être »
=> « Non »
- « Tu veux »
=> « Tu veux »
- « On a besoin de … »
=> « J'ai envie de … »
- « Bien sûr que non je ne suis pas émue. »
=> « Bien sûr je suis émue, espèce d'idiот ! »
- « Je dois te le dire. Éric et moi, on se voit. »
=> « On fait l'amour ensemble depuis plusieurs mois. »
- « J'ai l'impression que je te connais depuis toute ma vie. »
=> « Je suis bourrée. »
- « Est-ce que tu me respecteras encore demain matin ? »
=> « Tu ne le diras pas à tes copains, hein?
- « Oh je ne le fais jamais dès le premier rendez-vous. »
=> « Je le fais dès le premier rendez-vous »
- « Non pas là. »
=> « Mais tu pourras tout à l'heure »
- « Tu es…tellement viril. »
=> « Tu devrais te raser, et en plus qu'est-ce que tu transpires. »
- « Bonjour ? Ah oui. est-ce qu'on ne se serait pas vu vendredi dernier en boite?
=> « J'ai attendu près du téléphone pendant trois jours. »
- « Tu es très amoureux ce soir »
=> « Tu ne pense vraiment qu'au sexe ! »
- « Je le crois pas ! Toi, ici ? »
=> « Je t'ai suivi toute la journée »
- « Non, je ne suis pas énervée »
=> « J'ai mes règles »
- « Tu montes prendre un dernier verre ? »
=> « Tu viens faire l'amour ? »
- « Allez viens…tu prends juste un verre et tu pourras partir. »
=> « Peut-être tu seras saoul et alors on fera l'amour. »
- « J'aime les hommes qui prennent leurs responsabilités. »
=> « Tu paies l'addition, hein ? »
- « Sois romantique, éteins la lumière ! »
=> « J'ai de la cellulite »
- « Fais comme tu veux »
=> « Je te le ferais regretter »
- « Il faut qu'on parle »
=> « Je dois me plaindre de quelque chose »
- « Bien sûr…Vas-y »
=> « Je ne veux pas que tu fasses ça »
- « Cette cuisine est vraiment mal foutue »
=> « Je veux une nouvelle maison »
- « Je veux des nouveaux rideaux »
=> « … et des tapis, des meubles du papier-peint… »
- « J'ai besoin de nouvelles chaussures »
=> « Dans mes autres 40 paires, aucune ne va bien avec la robe que je viens d'acheter »
- « Accroche le tableau ici »
=> « NON, en fait plutôt ici »
- « J'ai entendu un bruit »
=> « J'ai remarqué que tu dormais presque. »
- « Tu m'aimes ? »
=> « Je vais te demander quelque chose de très cher »
- « Tu m'aimes très fort, hein ? »
=> « Aujourd'hui j'ai fait quelque chose que tu ne vas vraiment pas aimer. »
- « Je serais prête dans une minute »
=> « Tu peux enlever tes chaussures et te mettre devant la télé »
- « Est-ce que j'ai un gros cul ? »
=> « Dis-moi que je suis belle »
- « Tu devrais apprendre à communiquer »
=> « Tu devrais être d'accord avec moi »
- « Je suis désolée »
=> « Tu le regretteras »
- « Tu aimes ce plat ? »
=> « La recette est facile, tu ferais mieux de t'y habituer dès maintenant »
- « Je ne hurle pas ! »
=> « Oui je hurle parce que je pense que c'est important »
- « On sort juste pour acheter du dentifrice »
=> « Mais on s'arrêtera aussi chez le parfumeur, chez le marchand de chaussures, et puis il me faut une nouvelle robe et peut-être aussi un nouveau sac à main. Au fait, tu as pris ton chéquier ? »
Pour la Sаinт Valentin, cette année, ma femme m'a payé une semaine complète de leçons particulières au club de forme de ma ville. Bien que je sois encore en grande forme, j'ai pensé que c'était une воnnе idée.
J'ai donc pris mon téléphone et appelé le centre pour prendre rendez-vous.
Je suis tombé sur Tanya qui m'a dit être monitrice d'aérobic, âgée de 26 ans. Tanya m'a aussi précisé qu'elle faisait aussi « accessoirement » la top model pour des vêtements de sports.
Nous avons convenu de mettre en place un cadencier d'exercice afin de suivre ma progression...
Premier jour :
Je me suis levé à 6 heures du matin. Je suis arrivé au club de forme où Tanya m'attendait. C'est vrai qu'elle ressemble un peu à une déesse avec ses long cheveux blonds et son sourire éclatant genre « ultra bright ».
Elle m'a montré toutes les machines et a pris mon pouls après 5 minutes de tapis roulant. Elle paraissait un peu inquiète qu'il soit si élevé, mais j'ai trouvé ça plutôt normal (rien que le fait d'être à côté d'elle doit faire monter mon rythme de 50 pulsations). Ensuite, j'ai du faire quelques relevers de troncs à partir de la position couchée (pour mes abdos) et Tanya m'a beaucoup encouragé. Tout en ayant vraiment mal au bide, je me suis dit « ça va être super ! »
Deuxieme jour :
Il m'a bien fallu un demi litre de café avant de pouvoir sortir de la maison. Une fois au club, Tanya m'a fait me mettre sur le dos et faire quelques relevers de barres d'haltérophilie. Waow, c'est que c'est lourd ces trucs. Ensuite, je suis passé au tapis roulant pour faire 2 km en courant. J'avais les jambes qui tremblaient, mais son sourire m'a permis de terminer. Je sens bien chacun de mes muscles maintenant...
Troisieme jour :
Le seul moyen que j'ai trouvé pour me brosser les dents, c'est en coinçant la brosse à dents sur la tablette, et en remuant ma tête de droite à gauche et de haut en bas. Pour conduire, ça allait tant que je n'avais pas à tourner le volant. J'ai un peu éraflé une autre voiture en me garant du coup. Tanya faisait déjà les cent pas en m'attendant. Je voyais bien qu'elle était énervée. Ça ne s'est pas arrangé plus таrd: elle m'a dit que mes cris dérangeaient les autres membres du club. Le jogging sur tapis roulant m'a tout de suite donné un point de côté, alors je suis passé sur le stepper, vous savez ce truc qui simule les mouvements que l'on fait lorsqu'on monte un escalier... J'avais moins mal dans la poitrine mais j'ai rapidement eu peur pour mes jambes.
Quatrieme jour :
Tanya m'attendait avec ses dents de vampire et sa mine hargneuse. Qu'est-ce que j'en pouvais si j'avais besoin d'une demi-heure pour lacer mes chaussures. Elle voulait que je soulève des haltères; tu parles...
Je me suis caché dans les chiottes des mecs pour échapper au reste de la séance !
Cinquieme jour :
Je hais Tanya plus qu'aucun autre être humain. Si je n'avais pas mal dans chacun des membres de mon corps, je m'en servirais pour la frapper avec. Elle pensait qu'il fallait faire travailler mes triceps... Je vais te dire Tanya : je n'ai pas de triceps, ni d'un côté, ni de l'autre. Et je vais encore te dire un truc: si tu ne veux pas que le sol de la salle de muscu soit défoncé, ne me donne pas les haltères. Je refuserai de prendre les dégâts sous ma responsabilité ! Ton diplôme, Tanya, tu l'as obtenu dans une école de sadiques.
Sixieme jour :
J'ai reçu le message de Tanya sur mon répondeur. Elle voulait savoir pourquoi je n'étais pas venu au club. En fait, je n'avais plus assez de force pour me servir de la télécommande TV, alors j'ai regardé la chaîne de la météo pendant 11 heures...
Septieme jour :
Voilà, la semaine est enfin terminée. Alleluia. L'année prochaine, je compte sur ma femme pour me faire un cadeau encore plus fun, comme un arrachage de dents de sagesse ou d'ongle incarné sans anesthésie.
Après son premier rendez-vous avec une fille, le gars la ramène chez elle en prenant l'autoroute. Après quelques kilomètres, la fille commence à lui caresser la cuisse et tranquillement sa main monte de plus en plus haut. Le gars commence à avoir une conduite un peu distraite…
Un peu plus таrd, la fille lui détache le pantalon et elle y introduit la main… Le gars commence à zigzaguer sur la route.
Encore un peu plus таrd, la fille lui baisse carrément les pantalons et commence à lui faire vivre un des plus beau moment de sa vie !
Le gars a réellement de la difficulté à garder la route… Rendu à l'apogée de l'acte, le gars perd complètement le contrôle de la voiture. Cette dernière fait plusieurs tonneaux avant de s'arrêter contre un pont. La fille qui n'avait pas bouclé sa ceinture de sécurité fut éjectée de la voiture.
Lors de l'arrivée des secours, un ambulancier vient voir le gars et lui dit :
- Votre ceinture de sécurité vous a sauvé la vie. Votre copine, elle, a été tuée sur le coup en étant éjectée de la voiture.
Le gars, en pleurs, répond :
- Mais maintenant, ça ne vaut plus la peine de vivre…
- Pourquoi ? demande l'ambulancier, parce que vous avez perdu votre copine ?
- Non, répondit le gars en continuant de pleurer, à cause de ce qu'elle a gardé entre les dents…