Le Président George Bush est assis dans le fauteuil de son bureau Ovale, en train de se demander quel pays il pourrait bien envahir à la suite de l'Irak pour se faire à nouveau réélire les Républicains à l'issue de son second mandat...
Quand tout à coup, son téléphone se met à sonner...
"Bonjour, Monsieur le Président" dit une voix avec un fort accent belge. "C'est Willy Vandeputte, président du cyclo-club namurois en Belgique. Fieu, je t'appelle pour te dire que nous déclarons officiellement la guerre aux États-Unis!"
"Hem, eh bien Willy," répond Dobelyou, "C'est en effet une nouvelle importante! Quelle est la taille de votre armée?"
"En ce moment," répond Willy après un moment de réflexion, "On est moi, mon cousin Rudy, Eddy mon voisin d'à côté, et toute l'équipe du vélo-club namurois. Ça fait huit!"
George l'arrête
"Je dois vous dire Mister Vandeputte, que j'ai un million d'hommes dans mon armée qui n'attendent que mon ordre pour envahir la Belgique."
"Gotferdom," s'exclame Willy. "Faut que je te rappelle, fieu !" Et il raccroche.
Évidemment, le jour suivant, Willy appelle à nouveau Bush.
"M. Bush, la déclaration de guerre est toujours d'actualité! Nous sommes parvenus à acquérir de l'équipement d'infanterie!"
"Et quel équipement avez-vous donc à présent M. Vandeputte?"
"Eh bien, nous avons deux moissonneuses-batteuses, un caterpillar, et le tracteur et la remorque de la ferme de Jeff."
Le Président Bush soupire. "je dois vous dire, Willy, que j'ai 16 000 chars Abrahams et 14 000 blindés légers. En outre, j'ai rappelé les réservistes de la Garde Nationale, et mon armée compte 500 000 hommes de plus que depuis notre dernier coup de fil."
&qu… >> Cliquez pour lire la suite
C’est un curé qui exerçait son sacerdoce en ville, et qui vient de prendre sa retraite à la campagne, dans un petit village de la Creuse.
Il a acheté une petite maison dotée d’un jardin et le moment de tondre la pelouse est arrivé. Au cours d’une ballade dans le village, il a remarqué le panonceau « TONDEUSE À VENDRE » devant la maison de Toto.
Se rendant sur place, il est accueilli par Toto lui-même qui était en train de tondre la pelouse justement, et qui l’emmène voir la machine.
Le curé essaie la tondeuse, ralentit, accélère, tond un peu de gazon, et voyant que tout fonctionne bien, fait un chèque de 150 euros à Toto et rentre chez lui avec la tondeuse.
Un peu plus таrd dans la journée, Toto passe en vélo devant monsieur le curé. Il s’arrête pour regarder l’ex-prêtre s’escrimer à tirer sur la corde du démarreur sans autre résultat que des « Beurrh Beurrh » lamentables.
Toto lance à son acheteur :
- Alors Monsieur le curé, qu’est-ce qui se passe ?
- Ah ben, tu tombes bien ! Je n’arrive pas à démarrer ta tondeuse. Tu peux m’aider ?
Et Toto répond :
- C’est parce qu’il y a une méthode. Pour la faire démarrer, il faut la traiter !
- Qu’est-ce que tu veux dire par « la traiter » ?
- Ben, il faut lui balancer tous les jurons qu’on connaît, la maudire, la traiter quoi…
- Mais mon garçon, je suis un curé tu sais, et à supposer que j’aie un jour utilisé des jurons, j’ai oublié comment on faisait après toutes ces années au service du Bon Dieu !
Alors Toto lui répond :
- Bah, vous en faîtes pas monsieur l’curé. Si vous continuez à tirer cette corde, tout ça va ne va pas tarder à vous revenir…
C’était le jour de la rentrée au cours élémentaire, et l’institutrice tâchait d’en savoir un peu plus sur chacun des élèves en leur faisant raconter leurs vacances :
- Alors, toi Sylvie, tu as fait du sport pendant tes vacances ? demande-t-elle.
- Euh oui madame, répond la petite fille, mon papa m’a appris à faire de la grimpette.
- Tu veux dire de la varappe je pense. Et ça t’a plu ?
- Oh oui madame beaucoup.
- Très bien. Et toi Kévin, as-tu fait du sport ?
- Oui madame. Avec mon frère, on a fait de la course.
- Ah, tu veux dire de l’athlétisme Kévin. C’est très bien ça.
- Et toi Toto, est-ce que tu as fait du sport pendant tes vacances ?
- Oh oui madame, j’ai fait du vélo ?
- Ah c’est bien ça. Mais tu sais qu’on peut aussi appeler ça du cyclisme, surtout quand on fait de la compétition. Et tu as fait du cyclisme avec toute ta famille ?
- Oh non, certainement pas ! s’exclame Toto. Papa ne veut pas que l’on fasse du cyclisme en famille !
- Et pourquoi donc ? C’est pourtant bien agréable, répond l’institutrice avec curiosité.
- Je ne sais pas, explique Toto, Mais papa dit toujours que quand maman et ma grande sœur ont leur cycle en même temps, on ferait aussi bien de quitter la ville !
C’est un garçon de ferme pas bien déluré et pas bien intelligent non plus. Un jour, son patron le prend en pitié et décide de lui payer une sortie chez les putes.
- Ecoute mon petit, lui dit le fermier, à ton âge, c’est pas sain d’être encore puceau. Tiens, voilà 50 euros, et tu vas me faire le plaisir d’aller voir en ville sur les boulevards s’il n’y a pas une prostituée qui veut bien de toi !
Le garçon de ferme prend l’argent, enfourche sa mobylette, met son casque, et se met en route pour la ville.
A peine est-il entré en ville qu’il repère les demoiselles en train de faire le pied de grue. Il s’arrête devant la première et lui explique ce que son patron veut de lui. La fille l’invite alors à le suivre dans un hôtel tout proche. Une fois dans la chambre, la prostituée lui fait sa petite toilette et ensuite, elle se déshabille.
Le garçon regarde le spectacle tout nouveau qui s’offre à lui et demande :
- Qu’est-ce que c’est que ça ?
- Ça ? C’est ma bouche d’en bas ! Répond la fille.
- Quoi ? S’étonne le garçon, faut pas me prendre pour un idiот, hein… Je sais bien qu’il n’y a pas de deuxième bouche là en bas !
- Mais si, regarde, répond la fille en lui montrant par le geste : Il y a une moustache… il y a des lèvres…
- Oui mais il n’y a pas de langue ! Répond le garçon.
- Ah, pas encore, mais tu va bien arrêter de parler, non ?
Dans le couvent des Bénédictines de Sаinте-Marie de l’Immaculée Conception, les bonnes sœurs ont une petite basse-cour. Dans cette basse-cour, elles élèvent des lapins, mais le problème, c’est qu’à chaque printemps, les femelles se carapatent dans la nature.
Un jour sœur Marie-Madeleine a une idée de génie :
- Et si on leur mettait des clochettes autour du cou ? De cette façon, on pourrait les repérer facilement !
- C’est une воnnе idée, lui répond la Mère Supérieure, allez au village à la droguerie et achetez ce qu’il faut.
Sœur Marie-Madeleine prend son vélo et s’en va chez le droguiste. Une demi-heure plus таrd, elle revient rouge de confusion et dit à la Mère Supérieure :
- Ma Mère, si vous saviez ce qu’il m’a dit le droguiste…
- Qu’a-t-il dit qui puisse vous mettre dans cet état ?
- Il m’a demandé si « j’avais du poil au cul », ma Mère !
La Mère Supérieure prend alors le vélo et fonce au village pour tirer les choses au clair :
- C’est bien vous qui avez demandé a sœur Marie-Madeleine si « elle avait du poil au cul » ?
- Ben oui…, répond le droguiste, elle m’a bien demandé si j’avais des grelots à la pine !
Deux curés se croisent chaque dimanche à vélo à la sortie de leurs messes respectives. Un jour l'un d'entre eux est à pied. Le deuxième lui demande :
- Eh bien où est votre vélo ?
- On me l'a volé, et je ne sais pas qui a pu faire ça !
- J'ai une idée, dit le premier, à la prochaine messe, vous citez les 10 commandements, et arrivé au passage de " tu ne voleras point " vous marquez une pause et vous regardez le public, je suis sûr que le coupable va se dénoncer.
Le dimanche suivant, les deux curés se croisent à nouveau sur leurs vélos.
Le premier dit :
- Ah ! Je vois que vous avez récupéré votre vélo, mon conseil a marché.
- Pas exactement, réponds le deuxième, c'est bien grâce au 10 commandement que j'y suis arrivé, c'est au moment ou j'ai cité " Tu ne convoiteras pas la femme de ton prochain " que je me suis souvenu ou j'avais laissé mon vélo !
Monsieur le curé fait son petit tour à vélo dans le village, lorsqu’il croise Robert, un vagabond un peu jardinier, un peu braconnier, et très bricoleur, qui ne met jamais les pieds à l’église.
- Robert, je t’attends demain au confessionnal ! Ca fait bien vingt ans que je ne t’ai pas vu dans la Maison de Dieu… Tu dois en avoir des choses à raconter !
Robert, pas enthousiaste du tout à cette idée accepte malgré tout l’invitation. Le lendemain dans le confessionnal, Monsieur le Curé commence l’interrogatoire :
- Alors Robert, raconte-moi un peu tes péchés. Tu as bien du en faire des bêtises depuis ta Communion Solennelle…
- Ben, heu… oui. J’ai volé un peu de bois chez le charpentier, répond Robert honteux.
- Un peu de bois, ça veut dire combien ?
- Ben, juste assez pour construire un chenil à mon chien.
- Hmmm… Ca va encore dans ce cas.
Robert continue :
- Il me restait un peu de bois, alors je me suis construit une remise pour mes outils…
- Ah ! C’est un peu plus sérieux alors.
- Monsieur le curé… il me restait encore un peu de bois après la remise, alors j’en ai profité pour construire un garage…
Là, le curé marque une pause, puis il dit :
- Ca c’est quand même beaucoup plus grave. Pour ça, j’ai bien peur que tu doives me faire une neuvaine.
- Monsieur le curé, je ne sais pas trop ce que c’est qu’une neuvaine, mais si vous me donnez les plans, moi, j’ai le bois…