C'est un vieux couple de professeurs à la fin du 19e siècle qui partent en expédition dans des contrées reculées d'Afrique noire après maintes aventures, ils arrivent chez les Kiniktous, et ils demandent à leur interprète de les conduire jusqu'au chef de la tribu.
Arrivés dans la hutte de ce dernier, ils sont stupéfaits de le trouver en train sodomiser à même le sol une magnifique jeune femme blanche, blonde comme les blés, mais avec une jambe de bois et un crochet.
Le chef les remarque, leur fait signe de patienter... tandis qu'il achève de limer la nana comme un sаlаud à grands coups de bite noueuse et veineuse, un monstre que l'аnus de la jeune femme ingurgite sans problème, comme une promesse politique
Puis il lui donne une воnnе ration de protéines masculines en se finissant à gros jets dans sa bouche après qu'elle ait dégusté son gland odorant, telle une grand-mère machinant un "mon chéri" le soir de Noël pour faire éclore la cerise.
Puis, repus, il fait sortir la sublime déesse à la jambe de bois et au crochet, et devant la stupeur du couple de professeurs, il s'explique :
- On l'a trouvé, adolescente, errant dans la forêt, amnésique et muette. une bande de gorilles avaient massacré ses parents avant d'abuser d'elle pendant des jours. comme mes guerriers étaient curieux de savoir si leurs gros membres pouvaient entrer dans sa petite moulasse qui avait l'air très serrée, on l'a ramenée au village où, depuis, elle nous donne bien du plaisir
Et pour illustrer son propos, il la désigne en train de faire un 69 en équilibre sur une énorme mama sur la place du village.
- C'est un scandale, s'écrient les deux vieux explorateurs. abuser ainsi de cette jeune fille !
- Ne dites pas ça avant de l'avoir essayée, les coupe le chef de la tribu et il appelle la déesse blonde qui les rejoint dans la case en boitant sur sa jambe de bois.
Le vieux couple d'explorateurs hésite un moment mais la nana sait y faire : de sa main valide, elle fait très v… >> Cliquez pour lire la suite

Quand la science s’en mêle…
Le Père Noël est une des plus grandes énigmes scientifique qui soit. L’analyse qui suit essaye de faire le point sur cet épineux problème :
Aucune espèce connue de renne ne peut voler. Bien que soient estimés à 300.000 espèces les organismes (dont la majorité est constituée d’insectes et de germes divers) qui doivent encore être découverts et classifiés, cela ne justifie en rien l’existence des rennes volants que seul le Père Noël utilise.
Il y a environ 2 milliards d’enfants dans le monde. Puisque le Père Noël ne semble pas desservir les populations musulmanes, hindoues, juives et bouddhistes, cela réduit de 55% cette quantité d’enfants, nous laissant 375 millions d’enfants à attendre le Père Noël à chaque fête.
D’après les données des derniers recensements effectués, avec une moyenne de 3,5 enfants par résidence, cela fait 91,5 millions de maisons à visiter. Nous supposons ici qu’il y a au moins un bon enfant dans chacune d’elles.
Le Père Noël dispose de 31 heures, le jour de Noël, pour effectuer son travail (en tenant compte des différentes zones horaires, de la rotation terrestre, et en supposant qu’il voyage d’est en ouest, ce qui semble logique). Cela signifie 522,5 visites de domiciles par seconde.
De façon pratique, cela signifie que pour chaque résidence ayant de bons enfants, le Père Noël a 1/1000ème de seconde pour stationner, sauter hors du traîneau, se laisser tomber dans la cheminée, remplir les bas, distribuer le reste des cadeaux sous l’arbre de Noël, manger le snack qui a été laisse a son intention, remonter la cheminée, grimper dans le traîneau et se mettre en route vers la prochaine résidence. En supposant que chacun de ces 91,5 millions d’arrêts soient uniformément distribués autour de la planète, nous parlons ici d’une distance de 1.200 mètres par résidence visitée soit un voyage total de 110 millions de kilomètres, sans compter les arrêts pour faire ce que la plupart d’entre nous faisons au moins une fois chaque 31 heures.
Cela signifie que le traîneau du Père Noël se déplace a 1.046 kilomètres par seconde, 3.000 fois la vitesse du son.
A titre de comparaison, le plus rapide artefact d’origine humaine, la sonde spatiale Ulysse, se déplace à une vitesse douloureuse de 44 kilomètres par seconde. Un renne conventionnel, lui, se déplace a une vitesse maximale de 24 kilomètres à l’heure, et encore, avec des anabolisants.
La charge portée par le traîneau ajoute un autre élément d’intérêt. En supposant que chaque enfant ne reçoive rien de plus qu’un jeu Lego de grandeur moyenne (un kilo), le traîneau transporte alors 321.300 tonnes, sans compter le Père Noël, qui est invariablement décrit comme souffrant d’embonpoint. Sur le plancher des vaches, les rennes conventionnels ne peuvent tirer plus de 150 kilos de marchandises. Même si l’on accordait aux rennes volants une capacité de traction 10 fois plus grande que la normale, il serait impossible de faire le travail avec huit ou neuf rennes : il faudrait 214.200 de ces rennes spéciaux.
Tous ces rennes augmentent le poids total à un sommet de 353.430 tonnes, quatre fois le poids du paquebot Queen Elisabeth – et nous ne tenons pas compte du poids du traîneau lui-même.
353.000 tonnes voyageant à 1.046 kilomètres par seconde créent une résistance énorme à l’air, chauffant les rennes de la même manière que la navette rentrant dans l’atmosphère terrestre. Les rennes de tête absorberont 14,3 milliards de milliards de joules d’énergie. Par seconde. Par renne.
En résumé, ils exploseront en flammes presque instantanément, exposant les rennes adjacents à des dommages collatéraux sévères et créant des boums soniques assourdissants lors de leur passage au-dessus des agglomérations endormies et sereines. L’attelage entier de rennes sera vaporisé, en moins de 4,26 millièmes de seconde.
Pendant ce temps, le Père Noël sera sujet à des forces centrifuges 17.500,06 fois plus fortes que la force gravitationnelle. Un Père Noël de 125 kilos (ce qui semble très conservateur) serait écrasé au fond de son traîneau par 2.157.500 kilos de force.
Conclusion :
L’apparition miraculeuse du Père Noël reste pour les plus grands scientifiques une donnée inexplicable !
Ça se passe en classe. C’est une institutrice qui n’a pas de bol, il y a un inspecteur qui arrive. Et c’est toujours embêtant quand il y a un inspecteur, parce qu’il faut que la classe soit mieux ce jour-là que les autres jours. Et l’inspecteur fait :
- Bonjour Mademoiselle, c’est pour une inspection académique, je vais me mettre dans un coin, faites votre cours comme si de rien n’était.
- Bon, j’étais en train de faire un cours de morale, justement, sur les considérations générales de la vie. André, dis à Monsieur l’inspecteur ce que tu voudrais faire quand tu seras grand !
- Moi je voudrais être mécanicien ! Parce que j’adore la mécanique, j’ai des petites voitures et chez moi, c’est moi qui les remonte, c’est moi qui les trafique, je veux être mécanicien.
- Vous voyez, Monsieur l’inspecteur, on a de tout, il y en a qui sont tentés par les travaux manuels. Et toi, mon petit Pascal ?
- Ah, bah moi, je veux être menuisier parce qu’à la maison, pour Noël, j’ai eu un petit établi avec tout pour fabriquer de petits meubles…
- Vous voyez, ils sont plutôt manuels, mais enfin, c’est un collège technique. Et toi Toto ?
- Moi, quand je serai grand, je vais avoir le corps couvert de poils.
Là, la prof est un peu consternée quand même :
- Comment ça, comment ça, couvert de poils ?
- Ouais, ouais, je vais avoir le corps couvert, mais plein plein, plein, plein de poils des pieds à la tête, même sur le bout des pieds. Plein de poils.
- Je ne comprends pas, mais pourquoi ?
Toto répond :
- Parce que ma soeur elle en a juste un petit peu en bas et tu verrais le pognon qu’elle gagne !
Ça se passe pendant la période de Noël. Toto (4 ans) est avec sa maman qui a décidé de l’emmener dans un grand magasin pour qu’il parle un peu au Père-Noël.
Ils arrivent et se placent dans la file d’attente. Seulement, Toto est vraiment hyper excité, et il lâche la main de sa maman pour foncer dans le magasin et essayer tous les jouets en libre-service.
Finalement, la maman retrouve Toto sur un cheval à bascule qui traînait par là. Elle le laisse jouer avec deux minutes, puis elle lui demande de reprendre la queue du Père-Noël. Mais Toto ne s’en laisse pas compter et il reste sur le cheval. Elle lui promet des friandises, des jouets, des tours de caddie etc… mais rien n’y fait : cette petite teigne de Toto veut rester sur son bidet et tire une langue comme ça à sa mère !
Alors Papa Noël lui-même qui avait regardé de lоin ce drame familial se lève de son fauteuil et vient proposer à la maman au bord de la crise de nerfs :
- Peut-être que j’arriverai à persuader votre fils de coopérer…
- Oh j’en doute, mais vous pouvez toujours essayer.
Alors Papa Noël, avec un grand sourire s’avance vers Toto et lui murmure quelque chose à l’oreille.
A la grande surprise de la maman, Toto écarquille les yeux, descend tout de suite du cheval et vient prendre la main de sa maman. Puis tous les deux quittent le magasin sans plus de problème.
Sur la route, la maman curieuse demande à son fils ce que Papa Noël a dit pour le convaincre. Mais Toto ne veut pas parler. A la maison, la maman réitère ses questions mais Toto persévère dans son mutisme.
Finalement, au moment d’aller se coucher, à force de cajoleries, Toto se confie à sa maman :
- Il a dit :
- « Ecoute bien, sale petit соn ! Si tu ne lève pas ton cul de ce cheval pour aller rejoindre ta mère dans la seconde, je vais te filer une torgnole que dans 20 ans tu en pleureras encore ! »