Le "club des blondes de plus de Soixante ans" a mis sur pied une excursion à la campagne.
La finalité du voyage - dixit la présidente du club - est de "se replonger dans nos racines, même si certaines d'entre nous sont nées à la mer..."
Lorsque le bus arrive dans une petite ferme du Calvados, le paysan accueille les participantes et leur fait la visite guidée.
L'homme de la terre leur demande de ne pas hésiter et de poser toutes les questions qu'elles jugeront nécessaires.
Au bout d'un moment, Betty, la vétéran du groupe, n'y tient plus:
"Monsieur," demande t-elle, "pourquoi est-ce que vos vaches ne portent pas de cornes ?"
Le fermier se gratte la tête, semblant chercher ses mots, puis il répond d'un ton patient :
"Eh bien, madame, le bétail peut s'infliger de sacrées blessures avec les cornes. C'est pour cela qu'on préfère brûler les cornes à la naissance avec un genre de fer à souder. On peut aussi verser un peu de soude caustique sur les bourgeons des cornes. Et quand il s'agit d'animaux adultes, il est aussi possible de couper les cornes avec un fil métallique, une lame montée sur vérin ou une tronçonneuse à disque. Il faut aussi savoir qu'il existe certaines catégories de bétail qui naissent sans cornes... Pourtant, vous devez savoir une chose : la raison pour laquelle les vaches que je vous ai montrées ne portent pas de cornes, c'est parce que ce sont des chevaux."
- Monsieur le commissaire, annonce un mari éperdu, je viens vous déclarer la disparition de ma femme. Elle était sortie pour promener le chien et voilà une semaine qu’elle n’est pas rentrée à la maison.
- Pouvez-vous me donner son signalement ?
- Euh.. Elle est rousse. Non, blonde.. Pas très grande… Pas vraiment petite, non plus.. Et elle a les yeux verts. Non, bleus.. Non, verts, verts… Enfin je crois.
- Bien, dit le commissaire en soupirant. Et le chien, il état de quelle race ?
- Briard. Soixante-cinq centimètres au garrot, poil fauve clair, truffe noire, yeux marrons foncés, légère cicatrice sous le menton, numéro de tatouage VRZ 985 …
C’est un jeune homme qui fait de l’auto-stop sur la Nationale 7.
Une Mercedes 500 SL s’arrête. Le conducteur est en smoking, avec des lunettes noires et il fume un gros Havane.
- « Avant que vous montiez dans ma voiture », lui dit-il, « il faut que vous me disiez si vous êtes de droite ou de gauche en politique. »
Le jeune auto-stoppeur un peu naïf répond :
- « Je suis de gauche, monsieur. »
Et le type à la Mercedes lui répond « Dommage pour vous ! » en fermant la portière et en mettant les bouts.
Quelques minutes plus таrd, une BMW 840i s’arrête et il se passe exactement la même chose : le conducteur demande au jeune auto-stoppeur de quel bord politique il est. Le jeune gars répond encore qu’il est de gauche.
Comme pour la première fois, le type à la BMW démarre en laissant le jeune sur la route.
- « C’est débile », se dit l’auto-stoppeur, « la prochaine bagnole qui s’arrête, je lui dirai que je suis de droite et puis basta ! »
Quelques minutes après cette sage réflexion, une Porsche 911 s’arrête. Le conducteur est une conductrice, c’est même une blonde splendide, encore mieux carrossée que sa voiture. La blonde lui demande de quel bord politique il est. Laissant sa naïveté de coté, le jeune auto-stoppeur répond qu’il est de droite.
La fille l’invite alors à monter, ce qu’il fait. Il remarque vite que la fille porte une minijupe ultra courte, et qu’au moindre passage de vitesse, à la moindre accélération, la jupe remonte, remonte, remonte, …
L’auto-stoppeur a le regard fixé sur les cuisses et la petite culotte de sa bienfaitrice. Il est de plus en plus excité et commence à se sentir serré dans son jean. Finalement, il n’y tient plus et dit à la fille :
- « C’est marrant la politique : je ne suis pas de droite depuis dix minutes que j’ai déjà envie de baiser quelqu’un ! »