C’est une blonde qui s’aperçoit qu’elle n’a pas de photo de sa petite сhатте qu’elle adore…
- Mon Dieu, se dit-elle. Cette pauvre bête commence à se faire vieille et je n’ai même pas de photo d’elle. Comment je pourrais faire pour avoir une photo de minette ?
Alors elle va demander conseil à une brune, sa voisine, qui lui dit :
- J’ai un ami à la rue Ducon qui est photographe. Tu y vas avec le métro et il se fera un plaisir de te tirer le portrait de ta сhатте. Il n’y a pas de problème !
- Oh très bien, merci !
La blonde prend le métro avec minette dans le panier, elle descend rue Ducon, et là, elle a un petit trou de mémoire (normal, pour une blonde) :
- Qu’est-ce qu’elle m’a dit déjà, la voisine ? D’aller chez le… oh zuт, je sais seulement que ça se termine par « graphe » !
Tout à coup, sur un panneau, elle voit écrit télégraphe. Ça doit être ça ! Alors elle entre, se dirige vers le guichet et dit :
- Bonjour monsieur. Voilà, je voudrais que vous me fassiez minette !
- Pardon ? Qu’est-ce que vous voulez ?
- Je voudrais minette dans toutes les positions, debout, assise et couchée.
Le type réfléchit un moment et lui répond :
- Bon, posez votre cul sur le guichet. Je vais chercher du renfort !
C’est une blonde qui s’est mariée. Le lendemain de sa nuit de noces, toute gaie, elle descend à la salle à manger, retrouve toute sa famille et dit :
- Oh la la ! Maman, quel panard, c’était super : on a tiré quatre coups !
Alors sa mère lui fait :
- Faut pas dire ça, ma chérie ! Quand il y a du monde, tu n’as qu’à dire « on a mangé quatre sardines », c’est plus élégant !
- Ah bon, excuse-moi...
Le lendemain, la blonde redescend et dit :
- Mamaaaan !
- Qu’est-ce qu’il y a, ma chérie ?
- J’ai encore mangé quatre sardines : Il a trouvé ça tellement bon qu’il a léché la boîte et moi j’ai sucé la clé !
C’est l’histoire du père Mathieu, un fermier de Normandie.
Un jour qu’il était tranquillement en train de traire la Marguerite, y’a sa fille, Marie qu’est belle comme le jour (et blonde comme les blés), qui arrive :
- Dis moi, p’pa ...
- Qu’est-ce-qu’y a donc, la Marie ?
- Ben voilà ... Tu sais, ce soir, y’a une fête chez Jean-Louis.
- Ben plutôt, que je’l’sais ! C’est-y pas moi qu’ai refilé à Jean-Louis queques bonnes bouteilles de calvados de 20 ans d’âge ?
- Chais bin, p’pa. Bah voilà... j’vroudrais te d’mander : tu me laisserais-t-y pas y’aller, à la fête de Jean-Louis, ce soir ?
- Ah non ! Pas question, la Marie ! Tu es bin trop jeune...
- Mais j’ai quand même mes vingt-quatre ans passés...
- Non, la Marie ! Pas question ! Hé pis on sait bin ce qu’y s’y passe, dans ce genre de soirées. Comme tu vas y aller toute seule, et que tu es timide, tu pourras donc pas refuser l’invitation d’un garçon à danser. Et pis après, y va te payer un verre, pis deux, pis trois. Et pis ensuite tu vas avoir chaud, très chaud, tellement que quand le garçon te proposera d’aller dehors, tu pourras pas refuser. Et moi, ces gars là, je les connais... Le garçon va t’emmener dans la grange de Jean-Louis, tout en t’embrassant dans le cou. Toi, tu pourras pas réagir, vu que tu seras ronde. Ouais, je vois ça d’ici ! il va t’allonger dans la paille, et pis il va se déshabiller, et toi aussi. Et après il va te sauter dessus, et dans neuf mois, on sera déshonoré !
- Allez, s’il te plaît, ‘pa ! je te promets de faire très attention.
- Bon allez, vas-y-donc, après tout !
Le lendemain, au même endroit, y’a le Mathieu qui trait la Marguerite, et sa fille approche.
- Alors, la Marie, comment ça s’est-y passé, ta soirée ?
- Bin dis donc, p’pa, on dirait que tu y étais, tellement ça s’est passé comme t’as dit : un garçon m’a invité à danser. Et pis après, il’ma payé un verre, pis deux, pis trois, de ton bon calva de 20 ans d’âge. Et pis ensuite j’ai eu très chaud, tellement qu’on est allé dehors, lui et moi. Pis le garçon m’a emmené dans la grange de Jean-Louis, tout en m’embrassant dans le cou. Exactement ce que t’avais dit ! Pis il m’a allongé dans la paille, et pis il s’est déshabillé, et moi aussi. Mais là, c’est MOI qui lui ai sauté dessus, et dans neuf mois, c’est LUI qui sera déshonoré !
Un matin d'hiver un couple écoute la radio avant de se lever et ils entendent :
- « Nous annonçons 10 cm de neige aujourd'hui alors veuillez mettre vos voitures du côté pair de la rue pour le déneigement ! »
La femme, une belle blonde se lève, s'habille précipitamment et va placer la voiture du côté pair.
Le lendemain, ils écoutent encore la radio qui dit :
- « Nous annonçons 15 cm de neige aujourd'hui alors veuillez mettre vos voitures du côté impair de la rue pour le déneigement ! »
La blonde se lève, se dépêche et va placer l'auto du côté impair.
Le surlendemain, ils écoutent encore la radio :
- « Nous annonçons 30 cm de neige aujourd'hui alors veuillez mettre vos voitures krrrrrrrrhhhrrrrrrr... ! »
Et une panne d'électricité interrompt l'émission.
La blonde perplexe regarde son mari et lui dit :
- Qu'est-ce que je vais faire, il n'a pas dit de quel côté mettre l'auto ?
L'homme la regarde et lui dit alors, avec beaucoup de compassion... mais alors avec beaucoup, beaucoup, beaucoup de compassion :
- Chérie, pourquoi tu ne la laisserais pas dans le garage aujourd'hui ?
Un homme et une femme de la haute société dînaient aux chandelles dans un grand restaurant, quand une sculpturale blonde vient rouler une pelleau mari avant de s'éclipser.
- Qu'est-ce que c'était que ça ? Grinça la femme.
- C'était ma maîtresse, ma chère !
- Je demande immédiatement le divorce, tu m'entends, immédiatement !
- Comment ? Lui assure son mari les yeux dans les yeux, tu veux abandonner notre petit palais dans les quartiers chic, ta Mercedes, te fourrures, tes bijoux, notre maison de vacance sur la côte ? Mmmm ?
Ils continuent de dîner en silence, puis le femme pousse son mari du coude et dit :
- Pss, ce ne serait pas Martin, là à l'autre table ? Et avec lui ce n'est pas sa femme !
- C'est sa maîtresse.
- Mm mm ! Dit-elle en reprenant du dessert, la nôtre est mieux !
La langue americaine est a la portee de vous tous maintenant. Alors au boulot !
Voici quelques conseils pour devenir bilingue :
Si vous demandez un COCA-COLA dites GUIMI A COOUC.
Si vous demandez un café et un biscuit dites COFI AN DOUNAT.
Si vous demandez des oeufs et du jambon dites DJAM AN EGS.
Si vous vous coincez un doigt dans la porte du taxi (ou autre) dites FOC.
Si quelque chose vous semble cher dites FOC.
Si vous tombez dans le métro (ou ailleurs d'ailleurs) dites FOC.
Si on vous dévalise dans le Bronx (ou ailleurs d'ailleurs) dites FOC.
Si vous croisez une de ces filles que l'on ne voit qu'à l'écran dites OUATA FOC !
Si on vous crie dessus en employant FOC répondez FOQUIOU TOU.
Si vous perdez votre passeport, avisez un policier et dites AI LOST MAI FOQUIN PEIPERS.
Si vous vous perdez en ville (ou ailleurs d'ailleurs), criez AI AM FOQUIN LOST.
En vous référant à un tiers dites DE FOQUIN GАI OVERDER.
Si vous voulez coucher avec cette belle blonde, dites-lui AI OUANA FOC WIZ IOU.
Si vous voulez coucher avec cette belle brune, dites-lui HAI, CAN AI FOQUIOU ?
Si vous ne savez pas où prendre un taxi, dites HAOU TOU GUET A FOQUIN CAB ?
Si ce que vous faites ne marche pas, dites : FOC ZAT SHIT
Si vous êtes très faché, ne dites pas REFOC, mais simplement FOC plusieurs fois.
Si on vous charrie, demandez ARIOU FOQUIN MI ?
Et si ces instructions s'avéraient insuffisantes... Ouat da foc Iou ouant ?
Une blonde arrive au casino, achète pour 10000$ de jetons et se dirige vers la roulette. Elle place tout sur la table et, en regardant les deux croupiers :
- Ça vous dérange si j'enlève mes sous-vêtements pour jouer ? J'ai toujours plus de chance quand je joue toute nue.
- Euh… Non, non, bien sûr.
La blonde se déshabille complètement. Puis l'un des croupiers lance la roulette. Aussitôt, la blonde se met à hurler:
- Gagne! Gagne ! Oui ! Maman a besoin de nouvelles chaussures !
Lorsque la roulette s'arrête, elle bondit très haut sur place, toujours en hurlant:
- Oui ! J'ai gagné !
Elle se penche sur la table, rafle tout l'argent et les jetons, puis elle disparaît à toute vitesse. Reprenant ses esprits, le premier croupier dit au second:
- As-tu regardé sur quoi elle a misé ?
- Euh, non. Je croyais que ... que toi, tu avais regardé.
- Fuск...