Durant l’Occupation, un soldat allemand vient acheter chaque matin son Pariser Zeitung chez le même marchand de journaux. Et, chaque matin, le kiosquier lui répète :
- Tiens, voilà ton journal, grand соn.
À la longue, l’Allemand finit par se poser des questions, et demande à un Français, dans la rue, la signification de « grand соn ».
- Ça veut dire « grand conquérant », répond le passant.
Le lendemain, le soldat revient acheter son journal, comme à l’accoutumée.
- Tiens, voilà ton journal, grand соn ! lui dit le kiosquier.
- Moi pas grand соn ! s’exclame alors le soldat. Moi petit соn, seulement. Нiтlеr, lui grand grand соn !
Au beau milieu de la guerre Iran-Irak, Khomeyni convoque le général en chef des armées iraniennes.
- Connais-tu le nom de l’amiral britannique qui battit Napoléon à Trafalgar ? lui demande-t-il.
Le général ne comprend pas très bien, mais il ne lui viendrait pas à l’idée d’argumenter avec le terrible ayatollah.
- Je crois qu’il s’agit de l’amiral Nelson, répond-il.
- Exact. Et quelle particularité avait-il ?
- Euh… Il était borgne, je crois.
- Exact. Connais-tu maintenant le général russe qui battit lui aussi Napoléon ?
S’il ne s’agit que d’un jeu, le général se sent rassuré, et répond d’une voix plus forte :
- Bien sûr ! Il s’agit de Koutousov ! Il était borgne lui aussi, d’ailleurs…
- Je ne te le fais pas dire, murmure Khomeyni. Et connais-tu le général israélien qui battit les Égyptiens en six jours ?
- Oui, dit le général. C’était Moshe Dayan.
- Il était borgne lui aussi, n’est-ce pas ?
- Ben oui.
- Parfait ! dit Khomeyni en regardant son général avec des yeux terribles. Eh bien, tu sais ce qu’il te reste à faire, maintenant !
De retour de Voyage, SARKOZY vient se recueillir sur la tombe du général DE GAULLE à Colombey.
Soudain, il entend une voix très très grave lui disant :
- Nicolas ... Nicolas ...
SARKO n'en revient pas; voila que DE GAULLE lui parle ! il prête mieux l'oreille et il entend :
- Nicolas, amène-moi un cheval !
Tout ému, il rentre à Paris et ne peux'empêcher d'en parler discrètement à François HOLLANDE ...
HOLLANDE, tout feu tout flamme :
- Tu deviens trop vieux Nicolas, ces élections, c'est plus pour toi, tu devrais te reposer voila que tu entends des voix !!! Viens, si tu veux, on va aller vérifier ensemble...
Arrivés tous les deux à Colombey, ils se penchent sur la tombe du Général et écoutent, mais il ne se passe rien.
HOLLANDE rit très fort :
- Je te l'avais dis, vas te reposer et ne joue plus aux élections, c'est plus pour toi... A chacun son tour !
Mais soudain la voix reprend :
- Nicolas .... Nicolas ...
SARKO et HOLLANDE écoutent et la voix continue :
- Nicolas .... Nicolas .... Je t'avais dis : UN CHEVAL, pas un ANE !!!