Dans la petite ville d'un petit pays de l'est, on discutait tous les mercredi de problèmes fondamentaux. De l'avenir de l'humanité et du communisme en général, de la ville en particulier.
À la fin de la séance, le camarade Président se lève, et dit :
- "Camarades, y a-t-il des questions ?"
Une main se lève.
- "Je t'écoute, camarade Popov", dit le camarade Président.
- Camarade Président, j'ai deux questions. Pourquoi les automobiles sont-elles si chères, et pourquoi ne trouve-t-on plus de beurre?
- Camarade Popov, tes deux questions sont fondamentales, le comité va y réfléchir, et t'apportera une réponse mercredi prochain.
Le mercredi suivant, on discute de problèmes fondamentaux. De l'avenir de l'humanité et du communisme en général, de la ville en particulier. À la fin de la séance, le camarade Président se lève, et dit :
- "Camarades, y a-t-il des questions ?"
Une main se lève.
- "Je t'écoute, camarade Souslov", dit le camarade Président.
- Camarade Président, j'ai trois questions : Pourquoi les automobiles sont-elles si chères, pourquoi ne trouve-t-on plus de beurre, et où est passé le camarade Popov ?
En Pologne, bien avant la Perestroïka et toutes ces sortes de choses, un pécheur sort un gigantesque poisson d'une rivière.
Il se dit :
- Si je me fais contrôler, on va croire que je l'ai acheté à l'étranger, ce poisson. Il n'y a rien d'aussi bien nourri en Pologne. Il le reflanque à l'eau et, роuf, le poisson se transforme en bon génie, qui lui propose 3 vœux (comme d'habitude).
Le Polonais réfléchit et dit :
- Je voudrais que les Chinois attaquent la Pologne.
Ce qui fut dit fut fait : cent millions de soldats chinois viennent, pillent, détruisent tout et s'en vont.
Le Génie : Quel est ton deuxième vœu ?
Le Polonais : Je voudrais que les Chinois attaquent la Pologne.
Le Génie : Ah ? Bon... Les Chinois reviennent, détruisent encore en plus la Pologne et repartent.
Le Génie : Quel est ton troisième et dernier vœu ?
Le Polonais : Je voudrais que les Chinois attaquent la Pologne.
Le Génie : ? Bon, les Chinois reviennent et, lorsqu'ils repartent, ils ne restent plus rien en Pologne, même plus de ruines : il n'y a plus une pierre posée sur une autre.
Le Génie : Dis-moi, pourquoi as-tu voulu que les Chinois attaquent 3 fois la Pologne ?
Le Polonais : Parce qu'ils sont passés 6 fois par l'URSS.
Dans un commissariat de police parisien, une jeune femme brune s'approche de l'officier de permanence, l'air hagard. A son accent, le policier comprend que la jeune femme est d'origine portugaise.
- Bonchour, je fiens me plaindre que che meu chuis fait fioler dans le buche ...
- Comment? Vous vous êtes fait violer dans le bus ?
- Oui, Il y en a un qui a commenché à me carrécher, puis il a abuché de moi , et ...
- Et personne ne vous a aidé dans le bus ?
- Non, les ch'autres, ils ont regardé et puis ils chont venus me fioler eux auchi !
- Tout le monde est venu vous violer ?
- Oui, tout le monde...
- Et le chauffeur, il ...
- Oui, le chauffeur, il a partichipé auchi ...
- Mais, vous n'avez pas crié ?
- Chi, chi, ch'ai crié ...
- Et personne n'a rien fait ? Ils ont continué ?
- Oui, che vous chure, che criai : Léchez-moi, léchez-moi...
Dans les tranchées, lors de la première guerre mondiale, des troupes alliées sont tenues en respect par les allemands, eux-mêmes dans des tranchées, deux cent mètres plus lоin.
Le moyen de communication des alliés est un рigеоn qui doit leur amener les ordres du commandement par un message porté à la patte.
Le рigеоn arrive, mais il passe à portée de tir des allemands et PAN, le рigеоn reçoit un projectile qui le fait tomber dans le no-man's-land.
Le capitaine du bataillon anglais demande à un volontaire d'aller chercher le message en retrouvant le рigеоn.
Le seul à faire un pas en avant est un irlandais, Раddy Mac Millan.
Paddy dit:
- Je le ferai pour mon pays!
Le capitaine le félicite, et Раddy sort de la tranchée en courant.
Pendant une heure, il subit le feu nourri de l'artillerie allemande, mais finalement, parvient à revenir sain et sauf dans sa tranchée.
Le capitaine lui demande:
- Alors Раddy, tu as trouvé le рigеоn ?
- Oui mon capitaine.
- Et il y avait un message ?
- Oui mon capitaine.
- Et quel était ce message ?
- Le message, c'était "coo! coo!"
Trois homosexuels assistent à l'incinération de leurs 3 compagnons respectifs décédés dans un accident de voiture.
Le premier déclare, en pleurs, "Il était commandant de bord, je vais prendre un avion et répandre ses cendres dans le ciel, je suis sur qu'il aurait aimé voler une dernière fois".
"Moi", dit le second, "comme il était capitaine de chalutier, je vais répandre ses cendres dans la mer, je suis sur qu'il aurait aimé voguer une dernière fois".
"Pour moi", réplique le troisième, "je vais répandre ses cendres sur mon chili соn carne...".
"Mais tu es fou" disent les 2 autres !
"Non pas du tout, je suis certain qu'il aurait aimé me déchirer le cul une dernière fois..."