Blague sur les Agriculteurs, Blagues sur les Paysans

C'est dans le Périgord noir. Un pauvre paysan crève la faim avec toute sa famille, mais il a un trésor ! Et ce trésor, c'est son cochon. D'après lui, ce cochon est « le cochon le plus intelligent du monde »…
Un beau jour, un journaliste du quotidien local vient à apprendre qu'un cochon plus intelligent que la moyenne vit dans une ferme du voisinage. Le journaliste prend sa voiture et va se rendre compte sur place de lui même.
Lorsqu'il arrive dans la ferme, il voit les bâtiments en ruine, et se demande comment à notre époque on peut encore vivre comme ça… Puis le paysan sort de la baraque. Alors le journaliste lui demande :
- Bonjour ! Je suis journaliste au « Périgourdin On-line » et j'ai appris que vous possédiez un cochon extraordinaire.
Le pauvre paysan lui répond « c'est vrai ». Puis il siffle un coup entre ses dents, et un cochon qui n'a plus que trois pattes sort de l'étable. « C'est lui » dit le paysan.
Le journaliste voit le cochon et demande :
- Et qu'est-ce qui vous fait dire qu'il est le cochon le plus intelligent du monde ?
Le paysan répond :
- L'hiver dernier, j'étais dehors en train de réparer des clôtures et ma femme était en ville pour vendre du fromage. Notre petit bébé était à l'étage dans la maison en train de dormir dans son berceau…. lorsqu'un incendie a enflammé la maison (ma femme avait laissé son fer à repasser sur le linge). A ce moment là, le cochon a couru dans la maison, monté l'escalier, il a attrapé le bébé en prenant son bras dans sa mâchoire sans lui faire mal, puis il est redescendu et a déposé le bébé sur le sol à l'abri des flammes. Ensuite il est parti me chercher dans le pré et j'ai pu éteindre l'incendie avant qu'il n'y ait trop de dégâts.
- Wow, dit le journaliste, c'est incroyable.
- Et ce n'est pas tout ! Un jour que je travaillais la terre dans le champ d'à côté, la herse était bourrée avec de la terre et de l'herbe. Alors je met le tracteur au point mort, je descend et je commence à nettoyer sous la herse. Mais la vitesse s'est enclenchée toute seule et je me suis trouvé renversé par la herse et entraîné par l'attelage. J'ai cru que j'étais un homme mort… mais le cochon avait du sentir qu'il se passait quelque chose : Il est allé chercher une corde, a rattrapé le tracteur et la herse, m'a laissé un bout de corde, et a tiré de toutes ses forces à l'autre bout. C'est grâce à lui si je suis encore là aujourd'hui.
- C'est vraiment extraordinaire, lui répond le journaliste. Mais dites-moi, comment se fait-il qu'il n'ait plus que trois pattes ?
- Ben, quand on a un cochon aussi bon et intelligent, on ne peut pas le manger tout d'un coup.

Dans un endroit reculé, à la campagne, un couple vit péniblement avec ses huit enfants. Un jour, la femme dit à son mari :
- Albert, dis-moi, j’ai deux mois de rетаrd.
- Deux mois d’rетаrd ! T’en es bien sûre ?
- Oui, j’en suis sûre !
- Faut pas qu’on en parle, faut pas qu’on en parle, OK ?
- Pas d’problème, j’en parle à personne, je t’y promet.
Puis l’homme part travailler aux champs. Un peu plus таrd, dans la matinée, un employé du gaz et de l’électricité sonne à la porte. La femme lui ouvre.
- Bonjour madame, c’est l’employé du gaz et de l’électricité,
- Bonjour monsieur,
- Je viens pour relever les compteurs.
- C’est par ici
Après avoir regardé ses papiers, l’homme déclare :
- Mais dites-moi, vous avez 2 mois de rетаrd !
La femme très troublée lui répond :
- Mais comment qu’vous le savez ? C’est mon mari qui vous en a parlé ?
- C’est inscrit sur mon papier, faudra dire à votre mari qu’il passe nous voir au bureau à la ville le plus tôt possible.
- Ok, j’lui dirai, répond-elle très inquiète.
Le soir, quand le mari rentre, la femme lui raconte la visite de l’employé du gaz et son mari lui assure qu’il n’en a parlé à personne.
Le lendemain matin, il prend la route de la ville et se rend au bureau du gaz et de l’électricité.
- Bonjour madame.
- Bonjour monsieur, lui répond une jeune femme derrière un bureau.
- J’viens ici car y parait que j’ai deux mois de rетаrd !
- Quel est votre nom ?
L’homme donne son nom. La jeune femme lui répond :
- Ah oui, effectivement, vous avez deux mois de rетаrd.
- Mais comment qu’vous le savez ?
- C’est l’ordinateur qui me le confirme !
- Mais qu’est-ce que je dois faire ?
- Il faut l’acquitter répond la jeune femme impassible.
- Mais j’peux pas la quitter, c’est impossible.
- Si vous ne l’acquittez pas, on vous la coupe !
- Mais c’est impossible, répond l’homme de plus en plus inquiet, vous pouvez pas m’la couper !
- Si, si, répond la jeune femme, ça arrive souvent vous savez !
- Mais si vous m’la coupez, comment que j’vais faire ?
- Avec une bougie, comme tout le monde !
C’est un représentant au porte-à-porte qui cherche l’hébergement pour la nuit dans une ferme.
Le vieil agriculteur veut bien le recevoir, mais dans sa maison, il n’y a qu’un seul lit libre, celui où se couche sa très belle fille.
- « Bon, jeune homme, on va s’arranger », dit le vieux. Il sort dans la basse-cour et quelques minutes après, revient avec un panier plein d’oeufs.
Dans la chambre de sa fille, il met les oeufs en rang au milieu du lit et ensuite, il indique que sa fille se couchera d’un côté des oeufs, et de l’autre, le représentant.
- « Mais demain, si un seul de ces oeufs est brisé, je vous abattrai avec ce fusil », lui sourit l’agriculteur.
Le jeune homme comprend, et se couche gentiment sans commentaire de son côté du lit. Malheureusement, dans la nuit, sans y penser, il se retourne et bien sûr qu’il brise plusieurs oeufs.
La fille, réveillée par ses cris d’alarme, lui propose de réparer les coquilles avec de la colle, et les deux passent le reste de la nuit à réparer les dégâts.
Le lendemain, le vieil agriculteur fait son inspection et le voilà content que la chasteté de sa fille reste aussi intacte que les oeufs. Il invite donc le représentant à déjeuner, mais le jeune homme profite de sa chance et de la воnnе humeur du vieux pour se sauver.
L’agriculteur décide alors de se préparer une omelette, et il prend les oeufs pour en faire. Mais, bien sûr, en brisant l’un après l’autre, il découvre que tous les oeufs sont vides.
Ahuri, le vieux prend son fusil et se précipite au dehors en criant :
- « Alors, où t’es рuтаin de coq ! Tu vas m’expliquer depuis quand tu mets des capotes !? »