Blague sur les belle-mères, Blague belles-meres

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Un gendre affectionné a reçu la plus belle paire de claques lorsqu’il se présenta devant sa belle-mère, et cela à cause d’une étourderie des PTT. Il avait rédigé ce télégramme à l’intention de sa belle-mère :
- « Bon anniversaire, je vous en souhaite encore 100 comme cela. »
Mais, au moment de reporter le nombre 100 sur la formule de distribution, l’employé de la poste, dans un moment de distraction, avait fait sauter les deux zéros.

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En revenant du cimetière , un homme s’écrie d’un air réjoui :
- Quand je pense que voilà vingt-trois ans qu’elle nous empoisonnait l’existence en vivant sur notre dos, quel soulagement que ta mère soit enfin morte.
- Comment, ma mère ? s étonne sa femme. Mais j’ai toujours été persuadée que c’était la tienne.

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- Ma belle-mère est terrible, raconte un employé. A peine suis-je rentré du bureau, à six heures et demie, qu’elle commence à me traiter de tous les noms !
- Et quand tu fais des heures supplémentaires ?
- Ces jours-là, elle commence sans moi.

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Une paysanne rentre à sa ferme, les vêtements déchirés et couverte de boue :
- Ma pauvre Berthe, dit-elle à sa fille, affolée, je l’ai échappé belle. Figure-toi que je suis passée sous les roues de la Mercédès du châtelain et je m’en suis tirée indemne.
- C’est trop bête, fait son gendre, contrarié. Pour une fois où on tenait quelqu’un qui pouvait nous verser une belle indemnité.

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- Etes-vous content de vos abeilles, cette année ? demande un Parisien à un apiculteur.
- Oui et non, répond celui-ci. Non, parce qu’elles ne m’ont pas donné beaucoup de miel. Et oui, parce qu’elles ont tellement piqué ma belle-mère que celle-ci a décidé de ne plus jamais remettre les pieds chez nous.

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- Que se passe-t-il ? Vous avez l’air terriblement contrarié.
- Il y a de quoi ! Je me suis disputé avec ma femme et elle a décidé de quitter la maison.
- Je comprends.
- Pas du tout. Ce qui me désole, c’est que sa mère, elle, a décidé de rester.

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C’est l’histoire d’une belle-mère qui avait tellement besoin de gagner un peu d’argent qu’elle loua ses services à un paysan pour faire l’épouvantail dans un champ.
Elle remplit si bien son office que le paysan lui doubla son salaire : non seulement les corbeaux n’étaient pas venus pour manger les graines, mais ils avaient même rendu celles qu’ils avaient volées l’année précédente !

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Bâti comme une armoire normande et velu comme un ours des Rocheuses, un manutentionnaire à Rungis demande à sa fiancée :
- Alors, qu’ont dit tes parents après cette soirée de présentation ?
- Eh bien… maman te trouve un peu efféminé.
- Ça, je dois bien reconnaître qu’à côté d’elle, je le suis.

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- Auriez-vous une place pour mon gendre? demande une dame à l’employé de l’Agence nationale pour l’emploi. Mais, surtout, quelque chose de pas trop fatigant.
- Et où est-il, votre gendre, en ce moment ?
- Il dort, dans la voiture, en attendant d’aller faire sa sieste.

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Un monsieur explique au vétérinaire :
- Ma belle-mère vient passer huit jours chez nous. Or, mon chien ne peut pas la sentir.
- Ah ! Vous m’amenez cette bête pour que je lui administre un calmant ?
- Non ! Pour que vous lui aiguisiez les dents.

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Deux amies se rencontrent après plusieurs années.
- Et tes enfants, ils doivent être grands ?
- Oui, ils sont mariés tous les deux. Mon gendre est très bien, il apporte son café au lit à ma fille, fait tout ce qu’elle veut et lui a même acheté un beau manteau de fourrure !
- Et ton fils ?
- Oh, lui, il n’a pas de chance. Sa femme est une paresseuse et une dépensière. Il faut qu’il lui apporte son café au lit, qu’il fasse tout ce qu’elle veut. Il a même dû lui acheter un manteau de fourrure !

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- Tu sais, dit la jeune femme en embrassant son nouvel époux, à présent que nous sommes mariés, tu vas avoir chez toi un fin cordon-bleu.
- Mais, fait-il, surpris, j’ignorais que tu savais si bien cuisiner.
- Je ne parle pas de moi, chéri, mais de maman qui vient vivre avec nous.

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C’est un monsieur qui dit à sa femme :
- Tu sais ce qui me ferait plaisir, pour ma fête ? J’aimerais que tu ailles voir un sculpteur et que tu fasses sculpter le portrait de ta mère sur ma pipe.
Sa femme s’étonne :
- En voilà une idée, mais pourquoi ?
- Parce que j’ai décidé d’arrêter de fumer.

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Après sa première visite chez ses futurs beaux-parents, un jeune homme s’inquiète, auprès de sa fiancée :
- Alors, quelle est leur opinion sur moi ?
- Eh bien, papa n’a encore rien dit. Et maman attend qu’il ait ouvert la bouche pour dire le contraire.

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- Ma belle-mère, raconte un monsieur, avait fait confiance à un médecin qui lui recommandait un remède miracle pour maigrir.
- Ah ! oui. Quel remède ?
- Tout simplement manger douze têtes d’ail par jour.
- Et elle a perdu quelque chose, avec ce système ?
- Deux cents grammes… et toutes ses amies.

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- Vous devriez, dit une dame à son gendre, vous rajeunir en cessant de porter la barbe.
- Je veux bien, belle-maman, répond-il, mais à une condition : que vous cessiez de m’offrir des cravates.

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Un jeune homme, rayonnant, annonce à un ami :
- Ça y est, j’ai rencontré la femme idéale.
- Comment le sais-tu ?
- Sa mère me l’a dit.

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Une châtelaine avait prié un artiste de peindre, d’après une photo d’identité, le portrait de son futur gendre.
Quand le tableau fut terminé, sa fille avait brisé ses fiançailles et la dame en concevait une grande amertume.
- Mais ça ne fait rien, dit-elle au peintre. Je le prends quand même. Il me servira de cible pour m’entraîner à tirer à la carabine dans le parc de mon château.

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