Tout a brûlé dans la cuisine. Le saumon frais est même devenu fumé.
Je suis tombée enceinte après votre passage chez moi et de ce fait je voudrais vous poser une question au sujet de mon assurance vie.
Je suivais une voiture quand celle-ci s'est arrêtée à un feu rouge à ma grande surprise.
Je me suis foulé le poignet en sucrant les fraises.
Je vois pas pourquoi je suis amputé de toute responsabilité, puisque l'autre ne savait pas conduire non plus.
M. X m'a blessé au pied en me donnant un coup de main pour scier du bois.
Ma femme a été commotionnée et aura sûrement des cicatrices à la figure mais c'est rien, le docteur y a mis des infectants.
En reculant, j'ai malencontreusement heurté un piéton avec mon pare-chocs qui a été touché à la jambe gauche.
Je me suis coupé la main droite en bricolant. La gauche n'est pas mal à droite, mais elle travaille quand même plus lentement.
En se relevant, le cycliste n'a formulé aucune déclaration intéressante au sujet de la collision. Il se contentait de répéter Aïe, aïe, aïe sur tous les tons.
C'était jour de verglas. Je circulais très lentement dans ma voiture, quand le piéton m'a doublé à toute vitesse, par la droite et sur les fesses.
Le témoin est venu témoigner comme quoi il n'avait rien vu et rien entendu.
Mon fils ne peut être civilement responsable de cet accident puisqu'il est militaire.
Ma femme m'a laissé seul pour aller habiter ailleurs. Faut-il communiquer à mon assureur le nom de la personne qui vit maintenant avec moi?
Ne pensez-vous pas qu'il y a un peu d'abus? Mon accident n'est toujours pas réglé, alors qu'il est survenu le 30 février dernier...
L'accident s'est produit alors que je suivais la voiture qui me précédait et que je précédais celle qui me suivait.
Mon grand danois a avalé les boucles d'oreilles en or de ma femme. Elles valent près de 2 000 euros. Elles étaient sur la table de chevet. Le chien les a vues, a bondi et les a avalées. Vous me demandez de vérifier si je ne pourrais pas les retrouver: j'aimerais savoir pendant combien de temps je dois vérifier les excréments de mon chien.
Je dois vous dire que les gendarmes m'ont posé des questions indiscrètes, du genre: D'où veniez-vous? Où alliez-vous? Avez-vous bu quelques verres? Avez-vous regardé à droite et à gauche avant de franchir le carrefour? Votre passagère est-elle un membre de votre famille? etc. Vous avouerez que c'est beaucoup de curiosité pour de la tôle froissée et que je n'ai pas à soulever le voile de ma vie intime sous prétexte que j'ai bousillé un pare-choc.
En avançant, j'ai cassé le feux arrière de la voiture qui me précédait. J'ai donc reculé, mais en reculant j'ai cabossé le pare-chocs de la voiture qui me suivait. C'est alors que je suis sorti pour remplir les constats, mais en sortant j'ai renversé un cycliste avec ma portière. C'est tous ce que j'ai à déclarer pour aujourd'hui.
Vous me demandez de vous donner mon accord sur les termes de votre lettre; or, cette lettre je ne l'ai jamais reçue. Comment voulez-vous que je vous donne mon accord sur le contenu d'une lettre que je n'ai jamais reçue? Je ne suis pas contre, mais je ne suis pas pour non plus. Comprenez-moi: quand on cause, il faut savoir de quoi on parle.
J'étais bien à droite et en me croisant, l'adversaire qui prenait son virage complètement à gauche m'a heuté et maintenant il profite de ce que j'avais bu pour me donner tous les torts. Honnêtement est-ce qu'il vaut mieux être saoul à droite ou chauffard à gauche? Il faut tout de même raisonner...
Un carrefour j'ai ralenti et j'ai laissé passer absolument toutes les voitures venant de ma droite que d'ailleurs il n'y en avait pas, alors j'ai avancé et j'ai été heurté par une 4L qui venait justement de ma droite par un moyen que j'ignore, j'ai heureusement freiné et c'est alors que le choc s'est montré sans réticence.
Je vous écris comme suite à votre lettre qui m'est survenu hier, consistant mon accident. Vous dites que je suis responsable pour la priorité, mais j'ai lu les lois et voilà ce qui en dérive:
"Quand il y a un croisement entre deux routes dont l'une ne traverse pas l'autre, celle que est la plus petite doit s'arrêter la première". Donc il n'y a pas de priorité qui tienne. C'est la loi qui est la plus forte. Vous seriez bien aimable de réviser vos conclusions pour me remettre dans mon bon droit lequel je me trouve déjà par ailleurs.
La Citroën avait priorité c'est un fait, mais je ne l'ai pas vue, d'ailleurs à la façon qu'il conduisait on voyait bien que la priorité il savait pas ce que c'était la preuve que si ca aurait été le contraire (une auto qu'aurait venu par la gauche) il emboutissait pareil. Donc il n'y a pas de motif à s'arrêter à cette question de priorité à laquelle vous donnez tant d'importance.
Je ne suis pas du tout d'accord sur le montant que vous m'allouez pour les bijoux. Ca ne représente même pas la somme des deux choses de mon fils, dont je vous ai envoyé les photos.
Je vous serais obligé de m'adresser le courrier le courrier concernant mon accident à un de mes amis M. car, pour la passagère blessée, ma femme n'est pas au courant, et il vaut mieux pas. Je compte sur votre compréhension pour ne pas déshonorer un honnête père de famille.
Je vous demanderais de ne tenir aucun compte du constat amiable. Vous comprendrez en effet que je fus brusquement pris d'une émotion subite : arrière défoncé, présence de la police, choc psychologique, tout concourrait à ce que je mette des croix au hasard.
A votre avis, est-il préférable d'acheter un chien méchant qui protégera la maison contre les voleurs ou de garder mon vieux toutou. Je vous pose la question parce que de toute façon c'est vous qui paierez les pots cassés, soit en indemnisant les blessés, soit en remboursant les objets volés.