Le mec il rentre chez lui le soir, il va direct sur le canapé, s'assoie devant la TV et demande à sa femme :
"Tu peux m'amener une bière avant que ça ne commence ?" Sa femme lui apporte sa bière...
Il se dépêche d'avaler le breuvage et rappelle sa femme :
"Tu peux me ramener une bière avant que ça ne commence ?"
Sa femme revient avec une bière en faisant un peu la moue. Rebelote, le mec s'abreuve et appelle à nouveau sa femme :
"Dépêches-toi STP, ramène une bière avant que ça ne commence..."
Et là sa femme lui ramène sa bière et lui dit :
"T'as peut-être eu une journée chargée, mais je te signale que moi j'ai conduit les enfants à l'école, j'ai été bosser, j'ai recherché les enfants à l'école, j'ai repassé tes chemises, j'ai préparé le dîner... Et, tu ne crois pas que 3 bières, ça suffit !"
Et le mec :
"Ca y est ça commence...."
À l'occasion de son passage à Paris pour sa visite traditionnelle du Salon de l'Agriculture, un paysan plutôt rustaud décide de se payer un bon gueuleton dans un restau chic de la capitale.
Le serveur vient ensuite prendre la commande du paysan et un peu plus таrd, il lui amène les plats commandés.
Fidèle à ses habitudes, notre campagnard mange avec les doigts, bâfre comme un porc et renverse une воnnе partie des aliments qu'on lui apporte sur la nappe, par terre et aussi sur lui-même...
Vient le moment de l'addition. Le serveur pensant le culpabiliser sur ses manières lui dit:
- Ah monsieur, quel plaisir de servir un client comme vous. On peut dire que vous aidez les serveurs à bien travailler. Par exemple, pas besoin de regarder mes papiers pour vous récapituler l'addition: le petit morceau de feuille de salade qui vous reste coincé sur les dents et le reste de vinaigrette dans votre barbe atteste de votre choix de hors-d'œuvre, les taches de sauce sur votre cravate sont la signature du Coq au vin que vous avez pris en plat principal, la forte odeur qui se dégаgе de vos mains atteste que vous avez pris du Maroilles en fromage et le chocolat sur vos manches de chemise montre que vous avez terminé par une Dame Blanche.
À ce moment là, le paysan qui avait écouté le serveur avec un sourire goguenard acquiesce :
- Ouais, t'as raison mon garçon. C'est exactement ce que j'ai pris !
Et il ponctue sa phrase d'un gros pet bien gras... Le serveur lui dit:
- Ah merci monsieur, j'avais oublié votre bière!
Une femme aussi large que haute, rentre dans un bar, vêtue d'une légère robe d'été. Elle va au comptoir, lève le doigt bien haut, révélant ainsi une aisselle velue à en faire pâlir un yéti et crie:
- Quel homme ici va offrir à boire à une dame?
Silence dans le bar, le barman l'ignore. Mais au bout du bar, le vieux Jean, myope comme une taupe et déjà bien bourré, tape sur le comptoir, sort un billet et dit:
- Servez un verre à la ballerine !
Le barman sert un verre à la dame. Elle le boit d'un coup, puis pivote sur elle même en dévisageant tout le monde. Elle relève le doigt bien haut et crie à nouveau:
- Quel homme ici va offrir à boire à une dame?
Le vieux Jean lance sa pièce sur le comptoir et dit.
- Servez un autre verre à la ballerine!
Gab, le barman, s'approche de Jean et lui dit:
- Ecoutes vieux pochtron, si tu veux payer à boire a cette vielle c'est ton problème, mais pourquoi l'appelles-tu la ballerine?
Et Jean répond:
- Une femme qui lève la jambe aussi haut est certainement une ballerine.
- Comment se fait-il, demande une dame à son petit garçon, qu'en arrivant je trouve la femme de ménage évanouie ?
- Je ne sais pas, répond le gamin. On bavardait, tous les deux. Elle me demandait comment j'avais occupé mon après-midi, hier, où je n'allais pas à l'école. Je lui ai dit que, dans le tiroir du bureau de papa, j'avais trouvé une boîte avec plein de petits sacs en caoutchouc et que je m'étais amusé à les percer tous avec une épingle. Et c'est là, qu'en poussant un grand cri, elle est tombée dans les pommes.
Chez un marchand de vin, l'ancien testeur de vin est décédé et le directeur cherche à le remplacer. Un ivrogne, à l'allure très sale est venu pour le poste. Le directeur du magasin cherche à s'en débarasser. Il lui donne un verre de vin . L'ivrogne boit et dit :
- C'est un muscat, trois ans d'âge, provient du nord et à été mûri dans un conteneur en métal. Bas de gamme, mais acceptable.
- D'accord dit le patron. Un autre verre, lui demande-t-il ?
L'ivrogne le boit et dit :
- C'est un cabernet, huit ans d'âge, provient du sud ouest, mûri dans un baril en chêne à huit degrès. Demanderait trois autres années pour de meilleurs résultats.
- Exact dit le patron.
Un troisième verre ...
- C'est un pinot blanc champagne, très côté et exclusif, dit l'ivrogne calmement.
Le directeur est épaté.
Ce dernier fait un signe à sa secrétaire de suggérer quelque chose d'autre.
Elle sort du bureau et revient avec un verre rempli d'urinе.
L'ivrogne goûte et dit :
- Elle est blonde, 26 ans, enceinte de trois mois et si vous ne me donnez pas le job, je vais donner le nom du père.
Le professeur a donné un travail à ses élèves d'une classe de cinquième :
- Demandez à vos parents de vous raconter une histoire avec une morale à la fin .
Le lendemain, les enfants sont revenus, et, un par un, ont commencé à raconter leurs histoires .
Seul P' ti Pierre n'avait rien raconté .
- Ti' Pierre, as tu une histoire à partager avec nous ?
- Oui Madame. Mon papa m'a raconté une histoire au sujet de ma maman. Elle été pilote et son avion a été touché. Elle a dû s'éjecter de l'avion au dessus du territoire ennemi, et tout ce qu'elle avait, était un flacon de whisky, un pistolet et un couteau de survie.
- Elle a bu le whisky en descendant, afin que la bouteille ne se brise pas, et puis son parachute se posa au milieu de 20 soldats ennemis .
- Elle en a abattu 12 avec son pistolet jusqu'à ce qu'elle n'ait plus de balles, puis en a tué 4 avec son couteau, jusqu'à ce que la lame se brise, et puis elle a tué les 4 derniers à mains nues .
- Seigneur! Dit le professeur horrifié !
- Qu'est ce que ton papa t'a dit au sujet de la morale de cette histoire horrible ?
- Qu'il ne faut pas faire C.... maman quand elle a bu !
Un jour, une épouse appelle son mari, furieuse, sur son téléphone portable :
- Et bien, vieux soûlard, où est-ce que tu es ?
- Et bien, te souviens-tu de cette bijouterie où, il y a très longtemps, tu avais repéré une superbe bague sertie de diamants et tu en étais tombée dingue amoureuse. Je t’avais dit à ce moment :
" Un jour elle sera à toi ". Mais à cette époque je n’avais pas encore assez d’argent pour te l’offrir.
La femme, calmée et soudainement toute émue, la voix presque sanglotante :
- Oh oui, mon amour, je me souviens !
- Et bien, je suis dans le bistrot juste à côté.