Une dame s'étonne, en voyant son mari se mettre au lit.
- Tu n'enlèves pas tes verres de contact, avant de te coucher ?
- Sûrement pas, répond-il. Hier soir, j'ai fait cette bêtise et, dans la nuit, j'ai rêvé que j'étais au Crazy Horse Saloon. Et, naturellement, sans mes verres de contact, je voyais les sтriр-teaseuses, qui se mettaient à poil, complètement floues.
Deux meilleurs amis sont présents dans des tribunes d'un stade lors d'un match de football lorsque l'un dit à l'autre :
- Tu sais j'ai rencontré une nana super, elle est belle, intelligente, drôle.
- Tant mieux pour toi, lui dit l'autre, je te souhaite que du bonheur.
- Merci et je te parle pas de son chien, il obéit au doigt et à l'oeil je l'ai vu à l'oeuvre.
- D'accord, mais j'aimerai bien suivre le match s'il te plait.
- Et sa voiture, quel petit bijou.
- Tu arrêtes maintenant, si t'en est si fier, t'aurai dû l'emmener au match à ma place, s'énerve t-il.
- Excuse moi je croyais que ça allait t'intéresser.
- Et pourquoi donc ?
- Je voudrai te dire, ta femme te quitte !
Les deux jeunes mariés sont en pleine lune de miel.
Ils sont allongés sur le lit et le mari, très amoureux, demande:
- Chérie, si j'étais, disons, défiguré, est-ce que tu m'aimerais toujours ?
- Bien sur mon chéri, je t'aimerai toujours, lui répond sa jeune épouse calmement en lui prenant la main.
- Et si je devenais impuissant, et que je ne pouvais plus te faire l'amour ? Continue-t-il avec inquiétude.
- Ne dis donc pas de bêtise, mon amour, tu sais bien que je t'aimerai toujours, insiste-t-elle.
- Bien, et si je perdais mon poste de vice-président dans l'usine de papa, et que mon père me déshéritait, est-ce que tu m'aimerais toujours alors ?
La jeune femme regarde avec tendresse le visage inquiet de son mari et lui répond :
- Je t'aimerai toujours mon bébé en sucre et tu ne peux pas savoir combien tu me manqueras.
Ceci est la fidèle traduction d'un AUTHENTIQUE extrait d'un manuel scolaire d'Economie Domestique anglo-saxon, publié en 1960.
FAITES EN SORTE QUE LE DINER SOIT PRET; Préparez les choses à l'avance, le soir précédent s'il le faut, afin qu'un délicieux repas l'attende à son retour du travail. C'est une façon de lui faire savoir que vous avez pensé à lui et vous souciez de ses besoins. La plupart des hommes ont faim lorsqu'ils rentrent à la maison et la perspective d'un bon repas (particulièrement leur plat favori) fait partie de la nécessaire chaleur d'un accueil.
SOYEZ РRЕТЕ. Prenez quinze minutes pour vous reposer afin d'être
Détendue lorsqu'il rentre. Retouchez votre maquillage, mettez un ruban dans vos cheveux et soyez fraîche et avenante. Il a passé la journée en compagnie de gens surchargés de soucis et de travail. Soyez enjouée et un peu plus intéressante que ces derniers. Sa dure journée a besoin d'être égayée et c'est un de vos devoirs de faire en sorte qu'elle le soit.
RANGEZ LE DESORDRE. Faîtes un dernier tour des principales pièces de la maison juste avant que votre mari ne rentre. Rassemblez les livres scolaires, les jouets, les papiers, etc. et passez ensuite un coup de chiffon à poussière sur les tables.
PENDANT LES MOIS LES PLUS FROIDS DE L'ANNEE, il vous faudra préparer et allumer un feu dans la cheminée, auprès duquel il puisse se détendre.
Votre mari aura le sentiment d'avoir atteint un havre de repos et d'ordre et cela vous rendra également heureuse. En définitive, veiller à son confort vous procurera une immense satisfaction personnelle.
REDUISEZ TOUS LES BRUITS AU MINIMUM. Au moment de son arrivée, éliminez tout bruit de machine à laver, séchoir à linge ou aspirateur. Essayez d'encourager les enfants à être calmes. Soyez heureuse de le voir.
Accueillez-le avec un chaleureux sourire et montrez de la sincérité dans votre désir de lui plaire.
ECOUTEZ-LE. Il se peu… >> Cliquez pour lire la suite
C'est l'histoire de deux jeunes mariés, quelques mois après le mariage.
L'air préoccupé, la jeune épouse invite son mari à se confier :
- Je sais que tu as connu pas mal d'autres femmes avant moi, dit-elle, mais j'aimerais que tu me dises combien il y en a eu vraiment...
Son époux lui répond:
- Écoute, je ne voudrais pas t'énerver tu sais. Tu devrais te contenter de savoir qu'il y en a eu quelques unes, c'est tout.
Mais comme toujours, mue par une curiosité irrésistible, la femme insiste. Et pour avoir la paix, le mari finit par céder:
- Alors voyons, réfléchit-il à haute voix, il y a eu la première, la deuxième, la troisième, la quatrième, la cinquième, toi , la septième, la huitième...