Blagues sur les banques et les banquiers

Un homme perdu fait sa prière à Dieu :
- Mon Dieu, je vais travailler tous les jours, pendant 8 heures, et je ne compte pas les 3 heures que je passe en plus dans le bus... Tout ça pendant que ma femme reste à la maison ! Je voudrais qu'elle sache comment gagner l'argent est pénible. Pourriez-vous échanger nos corps, afin qu'elle se rende compte de mon саlvаirе?
Le Bon Dieu, dans son infinie bonté, exauça son souhait. Le lendemain matin l'homme se réveilla changé en femme.
Alors, sa journée commença : elle...
1. Fit cuire le déjeuner pour la famille
2. réveilla les enfants
3. prépara leurs vêtements pour l'école
4. Fit à manger
5. Remplit leurs boîtes à goûter
6. les conduisit à l'école
7. Reprit le linge du pressing en revenant à la maison
8. S'arrêta à la banque
9. Passa au supermarché pour quelques courses
10. Revint à la maison pour déballer et ranger les courses
11. Prit le courrier dans la boîte aux lettres et paya les factures
12. Nettoya la litière du chat et lava le chien
13. Mangea seule en 10 minutes
14. Se dépêcha de faire les lits
15. Fit la lessive
16. Passa l'aspirateur, épousseta, balaya et lava le sol
17. Courut à l'école ramener les enfants et dut subir leurs cris dans la voiture en revenant
18. Leur donna quelque chose à boire et à grignoter
19. Leur fit faire leurs devoirs
20. Sortit la planche à repasser et regarda la TV en repassant
21. Commença à éplucher les patates et laver les légumes pour la salade
22. prépara la viande et une tarte aux pomme pour le dessert
23. Servit le repas du soir, puis, elle nettoya la table et la cuisine
24. Emplit le lave-vaisselle
25. Ramassa le linge des uns et des autres qui traînait un peu n'importe où et l'enfourna dans le lave-linge
26. Donna le bain des enfants et les mit au lit et....
27. À 21h00, exténuée même si ses corvées de la journée n'étaient pas terminées, elle alla au lit où on attendait d'elle qu'elle veuille bien faire l'amour... Ce qu'elle fit s… >> Cliquez pour lire la suite

Au bord de l'eau dans un petit village côtier mexicain, un bateau rentre au port, ramenant plusieurs thons. L'Américain complimente le pêcheur mexicain sur la qualité de ses poissons et lui demande combien de temps il lui a fallu pour les capturer :
- Pas très longtemps , répond le Mexicain.
- Mais alors, pourquoi n'êtes-vous pas resté en mer plus longtemps pour en attraper plus, demande l'Américain ?
Le Mexicain répond que ces quelques poissons suffiront à subvenir aux besoins de sa famille. L'Américain demande alors :
- Mais que faites-vous le reste du temps?
- Je fais la grasse matinée, je pêche un peu, je joue avec mes enfants, je fais la sieste avec ma femme. Le soir, je vais au village voir mes amis. Nous buvons du vin et jouons de la guitare. J'ai une vie bien remplie.
L'Américain l'interrompt :
- J'ai un MBA de l'université de Harvard et je peux vous aider. Vous devriez commencer par pêcher plus longtemps. Avec les bénéfices dégagés, vous pourriez acheter un plus gros bateau. Avec l'argent que vous rapporterait ce bateau, vous pourriez en acheter un deuxième et ainsi de suite jusqu'à ce que vous possédiez une flotte de chalutiers. Au lieu de vendre vos poissons à un intermédiaire, vous pourriez négocier directement avec l'usine, et même ouvrir votre propre usine. Vous pourriez alors quitter votre petit village pour Mexico City, Los Angeles, puis peut-être New York, d'où vous dirigeriez toutes vos affaires.
Le Mexicain demande alors :
- Combien de temps cela prendrait-il?
- 15 à 20 ans , répond le banquier américain.
- Et après?
- Après, c'est là que ça devient intéressant , répond l'Américain en riant. Quand le moment sera venu, vous pourrez introduire votre société en bourse et vous gagnerez des millions .
- Des millions? Mais après?
- Après, vous pourrez prendre votre retraite, habiter dans un petit village côtier, faire la grasse matinée, jouer avec vos petits-enfants, pêcher un peu, faire la siest… >> Cliquez pour lire la suite

Samuel et Rachel viennent de fêter leur Noces d’or (50 ans de mariage).
Tous les invités sont partis maintenant et Samuel demande à celle qui l’a aidé et supporté toutes ses années :
- Dis-moi Rachel, maintenant, tu peux me le dire. Est-ce que tu m’as déjà trompé ?
- Pourquoi veux-tu savoir ça maintenant Samuel ? A quoi bon ?
- Si Rachel. Dis-moi, je veux savoir !
- Bon. Puisque tu insistes… Je t’ai trompé trois fois.
- 3 fois ? En 50 ans, ce n’est pas énorme. Raconte-moi quand cela était ?
- Et bien la première fois, c’était quand tu avais 35 ans et que tu voulais monter ton commerce d’import-export. Tu te souviens ? La banque ne voulait pas t’accorder de prêt… Tu te rappelles qu’un jour, alors que tout semblait sans espoir, le directeur de la banque lui-même s’est déplacé chez nous et qu’il a signé les papiers sans poser aucune question ?
- Oh Rachel, tu as fait ça pour moi ? Tu es une femme formidable. Dis-moi quelle était la deuxième fois ?
- Tu te souviens quand tu as eu cette troisième crise cardiaque, et que la seule chose envisageable pour toi était de tenter ce quintuple pontage coronarien, mais que personne ne voulait réaliser l’opération ? Et tu te souviens que sans qu’on comprenne pourquoi, le Pr. DeBakey est venu des États-Unis pour faire l’opération lui-même ? C’est grâce à lui que tu es à nouveau en воnnе santé. Et bien là encore…
- Oh chérie. Tu m’as sauvé la vie. Quelle chance j’ai eu de t’épouser ! Et comme tu dois m’aimer pour t’être sacrifiée comme ça, sans hésiter… Et quelle était la troisième fois ?
- Tu te souviens quand tu voulais être Président du Lion’s Club et qu’il te manquait 35 voix pour passer…