Blagues sur les fonctionnaires
A l'attention de la direction générale des impôts CDI
Bande de moins que rien,
Je me permet de vous écrire cet émail parce que je suis à bout.
Je savais déjà que tous les fonctionnaires des administrations françaises étaient des pauvres d'еsрriт, des tires au flancs et des incapables et qu'ils sont la cause numéro un de l'engluement administratif qui ralentit énormément l'essor de la France.
Mais aujourd'hui, je viens de comprendre qu'en plus de tout cela vous n'êtes qu'un ramassis de voleurs.
En effet aujourd'hui, je viens de recevoir un avis d'imposition de la taxe d'habitation de Toulon au domicile de mes parents en région parisienne.
Comme vous le savez très bien (suite maintes appels et lettres de ma part) je n'habite plus a Toulon depuis maintenant presque 2 ans. Vous le savez d'ailleurs d'autant plus, que vous n'envoyez même pas l'avis a mon ancienne adresse Toulonnaise mais directement chez mes parents. Il est donc totalement utopique que je vous verse le moindre centime des 185 Euros que vous tentez de m'extorquer.
Je sais très bien que vous n'aurez pas l'amabilité, ni le savoir vivre pour m'adresser la moindre excuse pour l'incapacité chronique dont vous faites preuve. Alors, je vous souhaite de vous enfoncer, bien profondément, votre taxe d'habitation dans l'аnus, au moins vous serez payé à faire quelque chose de vos journées...
Alain C.
Suite.....
Objet : Réclamation sur taxe d'habitation (2)
Madame, Monsieur,
Je suis la personne qui s'est permise de vous envoyer, la semaine dernière, un courrier injurieux, irrespectueux et ordurier a propos de votre incompétence. Aujourd'hui, je prends le temps et l'humilité, de vous adressez mes cordiales excuses au sujet de ce comportement.
En effet, il semblerait que m… >> Cliquez pour lire la suite
C’est un chef de service de la fonction publique qui convoque trois employés dans son bureau :
- Si je vous ai réunis aujourd’hui, c’est que j’ai l’intention de prendre l’un de vous comme chef de service adjoint. Il me faut un homme qui ait de l’étoffe pour me seconder ! Voyons voir… S’adressant au premier de ces messieurs :
- Vous Gérard, ça n’est pas possible ! Vous m’êtes trop utile à votre poste actuel. Si vous l’abandonniez, la boite coulerait !
S’adressant au deuxième :
- C’est pareil avec vous Michel ! Si je vous retire de votre poste actuel, c’en est fini de notre entreprise !
Alors il se retourne vers le troisième :
- Ah mais vous , par contre, je peux vous prendre avec moi.
- Quoi ! s’écrient les deux autres. Pas lui ! Il est si bête qu’il ne sait même pas quel jour on est !
- Mais si, il sait. Hein, mon petit François, que vous savez qu’on est Jeudi ?
- Mais Chef ! Dirent les deux autres en choeur, on est Mardi aujourd’hui…